lundi 7 juin 2010

Les Français veulent bénéficier d’un véritable choix pour l’école de leurs enfants.

Des solutions innovantes sont littéralement plébiscitées par les Français :
  1. 74 % des Français (échantillon représentatif de 1287 personnes, sondés par l’IFOP) pensent que l’échec scolaire diminuerait si l’État encourageait la diversification des types d’écoles accessibles à tous (différentes pédagogies et styles éducatifs variés).

  2. 87 % des personnes interrogées sont favorables à ce que les directeurs d’établissement scolaires aient des pouvoirs renforcés en matière de discipline, d’organisation des enseignements et de gestion de l’équipe des professeurs dans leur établissement.

  3. 81 % des personnes interrogées estiment que le directeur d’un établissement scolaire doit avoir la possibilité de recruter son équipe de professeurs par rapport à un projet éducatif bien défini pour disposer d’une équipe professorale soudée autour d’objectifs partagés par tous.

  4. 81 % des personnes interrogées sont d’accord pour dire que « seules les familles plutôt aisées ont la possibilité effective de choisir l’école dans laquelle leur enfant sera scolarisé ». Les ouvriers sont même 85 % à trouver que le choix de l’école n’est effectif en France que pour les familles plutôt aisées.

  5. 74 % des personnes interrogées souhaitent que l’Etat mette en place un système pour permettre à chaque famille de financer la scolarité de ses enfants, quel que soit l’établissement choisi. Il était précisé dans le sondage que « ce système pourrait être un bon scolaire, un ticket scolaire, un chèque éducation ou un crédit d’impôt. »

  6. Ils sont même 84 % chez les ouvriers et 85 % chez les sympathisants de gauche a vouloir la mise en place d’un tel système de financement de la scolarité pour toutes les familles.

  7. 65 % des personnes interrogées sont favorables à ce que l’ensemble des établissements scolaires publics et privés soit évalué par une agence indépendante incluant les différents acteurs de l’éducation, pour que les parents disposent d’une meilleure information.

Téléchargez le dossier de presse (90 ko)

Téléchargez le sondage IFOP (3 Mo)





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2 commentaires:

Sébas a dit…

Voilà une bonne nouvelle !!!

Partout en occident, les individus et parents qui composent les différents peuples, sont plus sages, plus avisés, plus «tout» pour gérer LEURS écoles, LEURS enfants, et LEURS démocraties. (pensez à la Suisse avec sa démocratie directe: ÇA FONCTIONNE!)

ABOLISSONS TOUS LES MINISTÈRES DE «DÉS-ÉDUCATION».

Pour l'instant, les enfants des occidentaux appartiennent à l'état-PROVIDENCE... et l'état-providence tue la providence et ce genre d'état, ce n'est PAS «nous», n'a JAMAIS été «nous» et ne sera JAMAIS «nous».


p.s.
En passant, dans la plupart des pays occidentaux, les mères qui ne veulent pas avorter, ne peuvent même pas choisir les parents qui s'occuperont de leurs enfants (par adoption). Ce sont les «sévices» sociaux qui décident (avec tous les abus de ces 'sévices' que nous connaissons... cela n'est vraiment pas une idée réjouissante pour ces mères!). Encore une LOI, encore une autre intervention de l'état-providence, qui est DICTARORIALE et/ou NON-DÉMOCRATIQUE. (n'ayons pas peur de décrire LA réalité!) !


Les personnes pleines de bonne volonté et d'amour doivent se réveiller: CE SONT TOUJOURS DES INTERVENTIONS DE L'ÉTAT QUI TUE L'AVENIR DE NOS ENFANTS... VIVANTS OU À NAITRE. Toujours, toujours, toujours ! Plus les individus auront de liberté, moins il y aura d'intervention de l'état dans nos vies, mieux ce sera. L'état-providence ce n'est PAS NOUS et est TOUJOURS néfaste!

Anonyme a dit…

"Plus les individus auront de liberté, moins il y aura d'intervention de l'état dans nos vies, mieux ce sera".

Ne serait-ce pas le contraire? "Moins il y a aura d'intervention de l'État dans nos vie, plus les individus auront de liberté"!

Cela dit, il n'y a pas que l'État qui réduit nos libertés. Il y a l'ignorance, la pauvreté, l'injustice sous toutes ses formes, notamment la loi du plus fort qui s'impose au plus faible.

Et parfois l'État aide les gens à sortir de l'ignorance, à se procurer des services (comme ceux de la santé) même quand ils sont pauvres et qui rendent les gens moins vulnérables, et des lois qui empêchent les plus forts de toujours empocher au détriment des plus pauvres.

Toute est une question d'équilibre.