samedi 10 décembre 2016

La gauche progressiste, les « agités du global », principale responsable pour Patrick Buisson de la radicalisation islamiste en France

À l’occasion de la sortie de son livre La Cause du peuple, Patrick Buisson évoque Nicolas Sarkozy, Donald Trump, le hiatus entre les promesses de campagne et l’action politique, le combat entre « les enracinés du local » et « les agités du global », l’absence de culture de la classe politique, l’identité, l’amitié française, le lien social, les enjeux métapolitiques, la révolution conservatrice, le fait religieux, le sursaut identitaire, la possible guerre civile... mais aussi son espérance : nous sommes à la fin d’un cycle et au début d’un autre.

Pour Patrick Buisson, la gauche progressiste est incapable de comprendre le fait religieux et que l’homme est un animal religieux qui a un besoin de sacré (ce n’est pas une phase dépassée).

Cette même gauche est une des principales responsables de la radicalisation islamiste en France : « “le mariage pour tous”, la banalisation de l’avortement, la dépréciation des valeurs masculines, la théorie du genre, l’ABC de l’égalité [la lutte contre les  “stéréotypes sexuels” à l’école], la pornographie à la télévision, tout cela est vécu comme des agressions [par les croyants musulmans qui considère leur religion-culture comme supérieure et moins décadente]. Et cette radicalisation de l’islam, elle est vue -- effectivement -- à l’évolution de notre société sous l’impulsion de la gauche progressiste qui a considéré que c’était des avancées sociales et qui est finalement confrontée à ce qui est son imposture fondatrice et fondamentale. »

À savoir que la gauche progressiste veut bien reconnaître la différence culturelle, et même l’exalter en paroles, mais dès qu’elle s’affirme quotidienne, alors là elle doit être bannie de l’espace public. Cette gauche veut bien aimer l’Autre, à condition qu’il renonce à être lui-même.





Sous les bombes avec les sœurs de l'Hôpital Saint-Louis d'Alep en Syrie

Depuis six ans, les sœurs de Saint-Joseph de l’Apparition vivent dans l’horreur de la bataille d’Alep.

Très émue à l’évocation de son quotidien douloureux, sœur Archangella vous livre le témoignage de sa vie « en enfer » et raconte comment la guerre a éprouvé sa foi. En dépit des bombardements et des combats, « devant la violence, devant les morts, on ne peut pas se résigner » : chaque jour, les sœurs sauvent des vies à l’hôpital Saint-Louis d’Alep.

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