Transcriptions
[Tout au long de cette campagne], je continuerai de rendre publiques les mesures que je propose pour la France. Notre projet politique s’inscrit dans la durée. Nous nous engageons pour les décennies suivantes et pour les prochaines générations et sur le long terme puissance rime avec éducation.
Pour l’école, nous serons du côté de l’excellence.
[Applaudissements]
Le modèle scolaire français doit revenir à ses fondamentaux avec une attention particulière pour les mathématiques et les humanités.
[Applaudissements]
Nous devons retrouver ce modèle qui a fait notre succès hier et qui fait aujourd’hui la réussite des pays asiatiques qui nous ont imités :
- culture classique,
- études scientifiques,
- valorisation des savoir-faire manuel,
- transmission des savoirs et
- culte du mérite et de l’excellence.
[Applaudissements]
Dès la rentrée prochaine, nous referons de l’école l’instrument de l’assimilation à la française et nous chasserons des classes de nos enfants :
- le pédagogisme,
- l’islamo gauchisme et
- l’idéologie LGBT.
[Applaudissements]
Nous redonnerons aux enseignants les moyens de travailler, nous rétablirons leurs autorités.
Nous interdirons
- l’usage de l’écriture inclusive et
- nous bannirons toute forme de discrimination positive.
[Applaudissements]
Oui, oui, je le promets, oui, je le promets : l’école ne sera plus laboratoire idéologique de la gauche et nos enfants ne seront plus ses cobayes.
L’école de la République l’école de la République doit redevenir le sanctuaire qu’elle fut et l’école libre, à qui nous devons tant, doit rester libre.
[Applaudissements]
L’école doit retrouver son objectif prioritaire : la transmission des savoirs, seule à même de réduire les inégalités elle ne doit plus chercher, elle ne doit plus chercher à toute force être la plus « inclusive » possible, mais au contraire rétablir le culte du mérite et de l’effort.
[Applaudissements]
Et, c’est parce qu’on transmettra de nouveau les savoirs, parce qu’on rétablira le culte de l’effort et du mérite qu’on luttera efficacement contre les inégalités sociales.
[Applaudissements]
Je veux, je veux en finir avec ce pédagogisme qui n’aura eu de cesse depuis quarante ans que de rabaisser le niveau scolaire. Au nom de l’égalité entre tous les élèves, ils les ont privés de culture.
Ils ont empêché les évaluations, ils ont banni les classements. Ils pensaient rendre service aux élèves, ils les ont privés d’excellence les empêchant de démontrer leur talent, leur intelligence et leur travail.
C’était l’école de mon enfance et, j’en suis sûr, celle de beaucoup d’entre vous ici. Cette école qui permettait en une génération de gravir les plus hauts échelons de la République. Souvenez-vous de Georges Pompidou, normalien agrégé de lettres, haut fonctionnaire, chef de l’État, dont les parents étaient enseignants et les grands-parents de modestes paysans. C’est ce type de destinée que je veux pour les prochaines générations de Français, quel que soit leur milieu social.
[Applaudissements]
Oui, oui, cette France oubliée, notre France oubliée, a le droit de retrouver une école de qualité. Cette France méprisée a le droit de retrouver des services publics. Cette France abandonnée qui manque de commissariats, qui manque de trains, qui manque de médecins, qui manque d’hôpitaux, on la prive aussi d’une école à la hauteur de ses rêves pour ses enfants. C’est injuste et c’est inadmissible.
[Applaudissements]
Mais, mais impossible n’est pas français. L’État peut partir à la reconquête de cette France abandonnée. Il doit revenir dans chaque village, dans chaque commune, dans chaque département pour proposer son modèle fondé sur l’excellence : l’excellence industrielle, l’excellence scientifique, l’excellence scolaire, l’excellence de nos services publics.
[Applaudissements]
Oui, notre combat est celui de l’excellence. Mais notre combat est avant tout celui pour la France, car face aux changements de peuples qui s’accélère, nous sommes les seuls qui osons dire la vérité les seuls à prononcer les mots qui fâchent et à proposer les mesures qui s’imposent.
Par ailleurs, dans ses priorités affichées sur son site internet, Éric Zemmour affirme:
L’apprentissage des savoir-faire fondamentaux à l’école primaire, la suppression du collège unique ou encore le relèvement du niveau du baccalauréat sont autant de mesures urgentes à mettre en œuvre pour redresser le niveau global.