Carnet voué à la promotion d'une véritable liberté scolaire au Québec, pour une diversité de programmes, pour une plus grande concurrence dans l'enseignement.
Panneaux solaires, éoliennes, voitures électriques… ces technologies vertes sont déployées à grande échelle pour accélérer la transition énergétique. Or les Technologies vertes nécessitent des métaux tels que le cuivre et des minerais, plus rares, comme le graphite, le cobalt ou le lithium. En Amérique Latine et en Asie, des pays miniers paient déjà un lourd tribut environnemental et humain pour permettre à l’Occident de passer au vert. Et si le remède des énergies vertes n’était qu’une vaste illusion ?
Éric Zemmour le célèbre essayiste a entamé une tournée de la France pour promouvoir son dernier ouvrage La France n’a pas dit son dernier mot. Il a suscité l’intérêt de la foule et des médias dans son premier déplacement à Toulon. Cette conférence n’a pas attiré que les aficionados de l’essayiste, mais aussi tous les journalistes, de Quotidien à BFMTV en passant par l’AFP, C dans l’air et bien d’autres, venus surveiller les paroles et espérer un dérapage de celui qui semble être le phénomène politique de ces dernières années.
Sorti en librairie jeudi 16 septembre, le nouveau livre d’Éric Zemmour, La France n’a pas dit son dernier mot (éditions Rubempré) caracole en tête des ventes. Une réédition est même déjà en cours.
L’engouement du public est tel que l’ouvrage était d’ailleurs déjà numéro un des ventes sur certaines plates-formes d’achat avant même sa sortie.
Imprimé initialement à 200 000 exemplaires, le livre est maintenant en rupture de stock dans plusieurs points de vente. Ce faisant, il vient d’être réédité à 100 000 nouveaux exemplaires.
Dans cet essai de 350 pages, que l’éditorialiste édite lui-même dans la mesure où sa maison historique, Albin Michel, a renoncé à le publier, Éric Zemmour relate notamment des conversations avec Marine Le Pen, Emmanuel Macron ou encore Xavier Bertrand.
L’immigration y tient également une grande place, notamment lorsque le polémiste évoque le cas de la Seine–Saint-Denis, qu’il qualifie « d’enclave étrangère » en France.
Vers 18 h, le service de sécurité ouvre les portes et commence à contrôler : billets, passes sanitaires et sac à dos. Les mesures de sécurité sont dures, même les gourdes sont confisquées pour ne pas être jetées sur la scène. Les premières personnes s’installent dans l’auditorium de 800 places. Mais les restrictions sanitaires retardent le début de la conférence, initialement prévue à 19 h. Alors que les premières personnes s’installent, une dizaine d’antifas s’approchent devant le palais de Congrès et profèrent des insultes telles que « sale sioniste » ou encore « retourne en Israël ».
« Guerre de civilisation », « s’affranchir de la CEDH » : pour Zemmour, les candidats à la présidentielle « commencent à courir après ses idées »
Alors que l’attente s’étire, la foule tape des mains pour marquer son impatience et faire venir Éric Zemmour. Voyant l’impatience des gens, le journaliste qui animera l’entretien, Jérôme Lévy, prend un micro et essaye tant bien que mal de meubler. Dans son monologue improvisé, il tient à rappeler « à tous les services politiques [des rédactions] que l’objectif de cette soirée est de présenter un ouvrage et non pas d’annoncer une candidature à la présidentielle ».
Les derniers retardataires prennent place dans leurs confortables fauteuils et à 19 h 40, l’homme de la soirée entre en scène. Eric Zemmour se place au milieu de la scène, la salle se lève, les caméras s’agglutinent sur le devant de la scène pour filmer la « bête médiatique ». La salle s’embrase, le public scande le nom du polémiste à tue-tête et chante « Zemmour président », les applaudissements n’en finissent plus.
La guerre est déclarée
En terrain conquis, le « Z » joue sa partition à la perfection, évoque Toulon, le siège de la ville de 1793, sa passion pour Napoélon Ier. Vient ensuite le temps de parler d’actualité. Jeudi dernier, l’humoriste de France Inter Charline Vanhoenacker s’est filmée en train de dessiner une moustache d’Hitler sur le visage du journaliste, et d’écrire « zob » sur une affiche électorale d’Éric Zemmour. Interrogé à ce sujet, il n’y va pas par quatre chemins : « Tout le monde sait, qu’ils sont des agents de contrôle politique […] ce ne sont pas des comiques, ce sont les chiens de garde de l’idéologie dominante. » « Ça, ce n’est pas de la politique, c’est de l’humour et ce n’est pas décompté dans leur temps de parole », poursuit-il, en référence à son éviction de CNews depuis que le CSA a décidé de décompter son temps de parole au même titre que les partis politiques. Il en vient même à faire une proposition : « Il faut en finir avec le service public et le privatiser. » Une idée qu’il avait déjà formulée il y a quelque temps dans Face à l’info. À ce sujet, il n’a pas hésité à lancer une pique à Marine Le Pen qui a repris sa proposition il y a une semaine. Au fil de l’échange, différents thèmes seront abordés comme la discrimination positive et la crise des sous-marins entre la France, l’Australie et les États-Unis.
Éric Zemmour, fervent défenseur du débat, a longtemps souhaité débattre avec le chef de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon. Ce dernier s’est souvent défilé, avant que l’on apprenne lors de cette conférence, que les deux personnalités débattront jeudi 23 septembre sur BFMTV de 21 h à 23 h. Malgré son éviction forcée de CNews, l’essayiste à succès n’est pas prêt de quitter les écrans français.
Après plus d’une heure d’échanges, la conférence prend fin. Les journalistes se précipitent avec leurs caméras et micros afin de recueillir la moindre parole. Et surtout, espèrent-ils, une phrase, un mot, un signe qui donnerait un indice sur l’officialisation de sa participation à la présidentielle. « C’est à moi de choisir le moment, ce n’est pas une décision facile, on me promet des grands malheurs si je fais ça, on me menace. C’est une décision lourde, il faut la mesurer. Mais ne vous inquiétez pas, je le dirai ». Pour les confidences, il faudra repasser…
Les dédicaces et photos se poursuivent tard dans la soirée ; aux alentours de 23 h 25 Éric Zemmour signe son dernier livre à une jeune fille réjouie.
C’est un rythme marathonien qui commence pour le journaliste qui sera dès le lendemain à Nice pour une nouvelle conférence.
De l’arrivée des libéraux au pouvoir en octobre 2015 à juillet 2021, nous pouvons observer que l'indice des prix des propriétés MLS® a bondi de 303 500 $, ou 70 %. Le prix de référence s’établissait alors à 1,176 million de dollars dans le Grand Vancouver et à 1,054 million dans le Grand Toronto. La région métropolitaine de Montréal se trouvait sous la moyenne canadienne, à 496 000 $. En 2019, Toronto a attiré 118.000 immigrants, Vancouver 40.000 et Montréal 34.000.
Si les prix ont évolué très rapidement à compter de 2016 et tout particulièrement pendant la pandémie, une accélération s’observait déjà sous l’ère du gouvernement conservateur de Stephen Harper.
Au premier du rang du G7
L’indice des prix de l’immobilier de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) démontre en effet que le pays a connu la plus importante progression aux côtés des États-Unis, du Royaume-Uni, de la France, de l’Allemagne, du Japon et de l’Italie.
Une analyse de la Banque Scotia soulevait en mai que le Canada comptabilise le moins grand nombre de logements par tranche de 1000 résidents parmi tous les pays du G7. La raison invoquée : la brusque hausse de la croissance de la population due à l’immigration. Autrement dit, la construction ne suit pas le rythme et la demande devient plus forte que l’offre.
Immigration au Canada, une des plus fortes dans le G7
En 2015, on comptait près de 8 millions d'immigrants au Canada, ce qui
représentait 21,8 % de la population. Le Canada figure parmi les pays
ayant une des plus fortes proportions d'immigrants, devant les États-Unis et
la moyenne des pays européens.
Mal informés, terrifiés, pas étonnant que les gens approuvent des mesures extraordinaires
Le professeur de psychologie à l'université de Toronto, Jordan Peterson, revient sur ce sondage qui souligne les Démocrates exagèrent nettement plus les effets de la Covid-19. Merci les gros médias subventionnés qui prétendent être du côté de la « Science » !
Traduction: J'ai été informé hier par une source fiable [le New York Times dans un graphique] que la moitié [41 %] des démocrates enregistrés pensent que l'infection à Covid comporte 50% de risques d'hospitalisation. Si cela est vrai [oui, selon le sondage Franklin Templeton-Gallup], il n'est pas étonnant que les gens soient terrifiés. Le vrai risque est de 2 % et bien inférieur à celui des jeunes en bonne santé.
Billet originel du 18 abril 2021
L’institut Brookings a utilisé les données mensuelles de 35 000 adultes qui ont répondu à l’étude économique Franklin Templeton-Gallup pour analyser les différences entre les électeurs démocrates et républicains sur une série de faits reliés à la Covid-19.
L’affiliation politique a profondément façonné la manière dont les Américains comprennent et réagissent à la pandémie. Comme l’indique une autre étude de Gallup et d’autres instituts, les attitudes concernant les risques de la Covid-19 et la volonté d’adopter des gestes barrières comme la distanciation sociale sont fortement liées à l’affiliation politique des personnes interrogées, davantage que l’exposition locale au virus ou à des facteurs démographiques comme l’âge ou des comorbidités existantes.
La recherche nous apprend également que l’adoption de la distanciation sociale variait parmi les républicains qui regardaient Fox News, selon qu’ils étaient plus susceptibles de regarder Tucker Carlson — qui avait mis en garde contre le virus — ou Sean Hannity — qui l’avait d’abord minimisé.
Désaccord sur les faits fondamentaux
Risque par tranche d’âge
Lorsqu’on lui demande d’estimer la part des décès par groupe d’âge, l’Américain moyen surestime considérablement la part des décès dus à la Covid-19 chez les personnes âgées de 24 ans et moins, la situant autour de 8 %, alors qu’en fait, elle était de 0,1 % jusqu’en août 2020 et est restée proche de ce niveau depuis. Pendant ce temps, les personnes âgées, celles de 65 ans et plus, représentaient 81 % des décès au moment de l’enquête (et 79 % jusqu’en novembre). Les démocrates surestimaient nettement plus que les républicains les risques pour les jeunes, même quand on tient compte des différences d’âge, de race, de sexe, de géographie et d’éducation. Le fait que la Covid-19 présente un risque de mortalité beaucoup plus élevé pour les personnes âgées que pour les jeunes était la caractéristique la plus claire du virus dès le début ; il est remarquable que de nombreux Américains restent mal informés sur ce facteur fondamental. Ce fait est peut-être moins étonnant quand on considère à quel point les médias progressistes pro-démocrates ont dramatisé les effets de la Covid-19 quitte à monter en épingle les très rares cas de jeunes qui mouraient de la Covid-19.
Le risque grave en cas d’infection
Le public américain, et particulièrement le partisan démocrate moyen, est également profondément mal informé sur la gravité du virus pour une personne infectée. En décembre, l’Institut Brookings a demandé : « Quel pourcentage de personnes infectées par le coronavirus a dû être hospitalisé ? »
La bonne réponse n’est pas connue avec précision, mais il est fort probable qu’elle se situe entre 1 % et 5 % selon les meilleures estimations disponibles, et il est peu probable qu’elle soit beaucoup plus élevée ou beaucoup plus basse. (Plus de détails ici.)
Moins d’un adulte américain sur cinq (18 %) donne une réponse correcte comprise entre 1 et 5 %. De nombreux adultes (35 %) disent qu’au moins la moitié des personnes infectées doivent être hospitalisées. Si cela était vrai, les millions de patients qui en auraient résulté auraient submergé les hôpitaux tout au long de la pandémie.
Les démocrates sont beaucoup plus susceptibles que les républicains de surestimer ce risque. Quarante et un pour cent des démocrates et 28 % des républicains ont répondu que la moitié ou plus des personnes infectées par la Covid-19 doivent être hospitalisées. Les républicains étaient également beaucoup plus susceptibles d’obtenir la bonne réponse, 26 % identifiant correctement le risque contre seulement 10 % des démocrates.
Les chercheurs se sont ensuite demandé si la compétence en calcul (la numératie) de base pouvait jouer un rôle important dans la capacité des gens à appréhender correctement les risques. Cette supposition a été confirmée par les données. La numératie a été mesurée à l’aide d’une version modifiée du test de numératie de Berlin. Les personnes avec un score de numératie important ont choisi nettement plus souvent les réponses correctes quant au taux d’hospitalisation des personnes infectées, mais un écart partisan important subsistait, même parmi ceux qui avaient une numératie élevée. Ceux qui ont de faibles scores en numératie surestiment considérablement les risques d’hospitalisation, quel que soit le parti, mais les démocrates sont encore plus susceptibles de se tromper.
Ces chiffres n’ont pas échappé à Bill Maher, un libertarien de gauche
L’animateur vedette de « Real Time » sur HBO, Bill Maher, a eu des mots durs à l’encontre des progressistes et à leur gestion de l’épidémie de Covid-19.
Dans son monologue de clôture ce vendredi soir, Maher a pris pour cible le traitement des médias pendant la pandémie, citant une étude de l'université Dartmouth qui révèle que « près de 90 % » de la couverture médiatique aux États-Unis sur la Covid-19 était négative alors qu'elle était de 50 % dans les médias non américains alors même que les conditions s’amélioraient.
« Quand toutes nos sources d’information médicale ont un angle politique, oui, vous vous retrouvez avec une population mal informée, y compris à gauche », a déclaré Maher aux téléspectateurs. Les libéraux se moquent souvent de la bulle de désinformation républicaine… mais qu’en est-il des libéraux ? Vous savez, ces gens très bien informés, ces partisans de la Science ?
Maher a ensuite présenté l’enquête Franklin Templeton-Gallup dont nous avons parlé ci-dessus.
« [Les démocrates] ont également une vision très exagérée du danger de la Covid-19 et du taux de mortalité chez les enfants, ce qui explique pourquoi aujourd’hui les États avec la plus forte proportion d’écoles encore fermées sont tous des États démocrates », a déploré Maher.
La vedette de HBO a critiqué le magazine Atlantic pour son utilisation de photos de plage quand ce magazine veut sensibiliser sur la propagation du virus « alors même qu’il semble de plus en plus que la plage est le meilleur endroit pour l’éviter ».
« La lumière du soleil est le meilleur désinfectant et la vitamine D est la clé d’un système immunitaire robuste », s’est exclamé Maher. « Le Texas a récemment éliminé les restrictions liées à la Covid et leurs taux d’infection ont diminué en partie à cause du fait que les gens sont sortis pour laisser le soleil et le vent faire leur travail. Mais pour de nombreux libéraux, “cela ne peut pas marcher parce que le Texas et la Floride qui aiment la plage ont des gouverneurs républicains”, mais la vie est compliquée ! »
Maher a ensuite félicité le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, pour être « un consommateur vorace de la littérature scientifique ».
« Et c’est peut-être pour cela qu’il a protégé sa population la plus vulnérable, les personnes âgées, bien mieux que le gouverneur de New York », a déclaré Maher, éreintant le gouverneur démocrate Andrew Cuomo. « Ce ne sont que des faits, je sais que c’est irresponsable de ma part de les rappeler. »