mardi 9 novembre 2010

Régis Debray : « L'idéologie du sans-frontière est l'idéologie du riche et du fort »


Régis Debray, écrivain et médiologue, sur France-Culture ce 9 novembre 2010.
Auteur de Éloge des frontières (éd. Gallimard)




Soutenons les familles dans leurs combats juridiques (reçu fiscal pour tout don supérieur à 50 $)

Émile Robichaud : « la fin de ÉCR est proche »

Raouf Ayas, du journal Famille Québec, a interviewé Émile Robichaud, professeur et directeur d'école durant plus de cinquante ans. 


Le cours Éthique et culture religieuse a-t-il un avenir, lui a-t-on demandé ?


« Il n'a pas d'avenir. Nous leur avons toujours dit qu'il était irréalisable, que les enseignants n'oseraient pas enseigner un cours de six religions pour lequel eux-mêmes n'étaient pas formés. Sur ce sujet être "neutre" dans la société est une utopie. Ces philosophes-théologiens, comme Georges Leroux, Pierre Lucier, Jean-Pierre Proulx, Gilles Routhier et les autres pensaient connaître les besoins des Québécois et les y mener malgré eux mais la fin de ÉCR est proche », avance-t-il.




Soutenons les familles dans leurs combats juridiques (reçu fiscal pour tout don supérieur à 50 $)

Plus de 200 000 visiteurs uniques

Pendant la nuit, le carnet Pour une école libre au Québec a atteint le chiffre de plus de 200 000 visiteurs uniques et près de 350 000 pages uniques visitées. Le nombre de visiteurs uniques par jour oscille entre 250 et plus de 1500 les jours de grande affluence.

Nos billets sont repris par plusieurs agrégateurs (notamment République de bananes et Éthique et culture religieuse) et envoyés par courriel automatiquement à nos nombreux abonnés. Les 350 000 pages uniques visitées ne comprennent pas ces autres sites et les dépêches par courriel.


Georges Leroux, Gilles Routhier, Jean-Pierre Proulx


Soutenons les familles dans leurs combats juridiques (reçu fiscal pour tout don supérieur à 50 $)

Comtesse de Ségur épurée

Addendum du 15/XI

La directrice éditoriale du secteur jeunesse chez Max Milo, Jeannine de Cardaillac, apporte les précisions suivantes :

Pour ce qui est du chapitre de la communion, pas l’ombre d’une condamnation dans notre choix. Mais plutôt une volonté de donner une chance à ce texte d’entrer dans les écoles où un débat sur la religion, aurait pu mal évoluer et provoquer quelques dérives, s’il était reçu comme imposé.

Plutôt que d’ouvrir sur la démonstration d’une cérémonie strictement catholique, nous nous sommes dit qu’il serait peut-être plus riche et plus large de laisser s’ouvrir le débat dans les classes : chaque élève, suivant sa confession, pourrait exprimer de quelle façon il trouve les outils pour se tenir debout face aux épreuves qu’il rencontre.

Nous ne connaissons aucune école publique qui fasse lire la Comtesse de Ségur.



Les éditions Max Milo rééditent Pauvre Blaise de la Comtesse de Ségur, mais deux chapitres ont été supprimés : celui relatant la première communion du petit domestique pieux et celui qui décrit la mort par noyade d'un petit garçon de deux ans où l'auteur insiste sur le recours à Dieu face à l'épreuve.

Cette édition n'est pas destinée aux écoles « laïques » françaises.


Les éditions Max Milo insiste cependant (voir ci-dessus) sur le fait « de donner au texte son ampleur initiale »...






Soutenons les familles dans leurs combats juridiques (reçu fiscal pour tout don supérieur à 50 $)