Les abonnés de X, par le biais d’une note de la communauté, lui ont rappelé qu’elle a elle-même été prise la main dans le sac et qu’elle a dû s’excuser récemment pour des informations trompeuses.
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dimanche 22 octobre 2023
Quis custodiet veritatis custodes ?
Les abonnés de X, par le biais d’une note de la communauté, lui ont rappelé qu’elle a elle-même été prise la main dans le sac et qu’elle a dû s’excuser récemment pour des informations trompeuses.
Données mondiales sur la fécondité (2023)
Comment lire: pendant les 6 premiers de 2023, il est né au Québec 4,2 % moins de bébés qu'en 2022. Si cette tendance se maintient, l'indice synthétique de fécondité (le nombre d'enfants par femme) sera de 1,39 au Québec en 2023 alors qu'il sera de 1,03 en Colombie britannique et 1,24 pour l'ensemble du Canada.
Niveaux de fécondité par religion en Israël. Cette année, l'ISF des juifs pourrait passer à 2,98, celui des musulmans à 2,79, celui des chrétiens à 1,59, celui des druzes à 1,79 et celui des personnes non classées par religion à 1,19 enfant par femme.
L'écart de fécondité entre Juifs et Arabes en Israël et en Palestine se réduit. Entre 1950 et 2000, les Arabes ont maintenu un taux de fécondité deux fois plus élevé que celui des Juifs, mais au cours des 20 dernières années, les taux de fécondité ont presque convergé et devraient se croiser au cours de la présente décennie.
Variation des naissances aux États-Unis de janvier à juin 2023 p/r 2022 (% part janv-juin 2023):
Groupe racial | Variation | Part (jan.-juin) |
---|---|---|
Blancs | -2,261% | (50,06%) |
Noirs | -2,377% | (13,77%) |
Hispaniques | +1,416% | (25,72%) |
Asiatiques | -1,517% | (6,03%) |
Amérindiens | -3,070% | (0,69%) |
Insulaires (Polynésiens) | +0,300% | (0,28%) |
2 races et + | +1,387% | (2,46%) |
Comment lire : la part des naissances des blancs a baissé de 2,261% pour les six premiers mois de 2023 comparé aux même mois de 2022. Très légèrement plus de la moitié des naissances aux États-Unis (50,06%) était déclarée comme celles de nourrissons blancs.
La baisse du nombre de naissances en Pologne s'accélère : Au premier semestre 2023, il y a eu 139 500 naissances, soit 9,2 % de moins qu'en 2022. En mai, la baisse était de 12,4 % et en juin de 15,4 %. Au troisième trimestre, la baisse s'est encore accélérée : Il y a eu 13,3% de naissances en moins qu'au troisième trimestre 2022 en Pologne, ce qui porte la baisse globale cette année à 10,6%. L'ISF devrait baisser à 1,22 enfant par femme, ce qui serait la valeur la plus basse jamais enregistrée pour la Pologne.
Étudiants anglophones résidents hors Québec — La hausse de leurs frais de scolarité se ferait déjà sentir
Malgré la forte participation, la directrice du recrutement étudiant de Concordia, Savvy Papayiannis, a eu l’impression que la foule était plus petite que les années précédentes.
Mme Papayiannis soutient que son bureau constate déjà les effets de la hausse des frais de scolarité qui devrait entrer en vigueur l’année prochaine, alors que de nombreux candidats potentiels annulent leur visite du campus et se retirent des évènements de recrutement.
Et depuis l’annonce du 13 octobre par le gouvernement provincial, des appels et des courriels ont afflué d’étudiants potentiels inquiets, a-t-elle fait savoir, dont beaucoup affirment que la hausse des frais de scolarité – de 8992 $ à environ 17 000 $ par an pour les Canadiens hors Québec – est une barrière financière insurmontable.
« Nous sommes de plus en plus critiqués chaque jour, a indiqué Mme Papayiannis.
Plusieurs élèves présents à la journée portes ouvertes ont déclaré que cette augmentation influencerait leurs décisions concernant l’université. Pour Gage Crouchman, 17 ans et originaire d’Ottawa, cela pourrait signifier renoncer à aller à l’école au Québec.
« C’est dommage, a-t-il déploré. [Pour] beaucoup d’étudiants, cela va enlever Montréal comme option. »
M. Crouchman envisageait Concordia et l’Université McGill voisine pour ses études de premier cycle. Il a dit que si le gouvernement revenait sur sa décision d’imposer une hausse des frais de scolarité, ce serait une toujours une possibilité. Autrement, « c’est définitivement non », a assuré son père, Cameron.
Coco Clément, une jeune de 17 ans qui a voyagé de Vancouver à Montréal pour visiter l’Université Concordia, soutient que les nouveaux frais de scolarité la rendent moins intéressée par le Québec en raison du fardeau financier supplémentaire.
« C’est extrêmement cher et cela fait que je ne veux pas autant venir ici simplement parce que c’est une autre chose que je dois surmonter », a raconté Mme Clément.
Il envisage les programmes renommés d’ingénierie et d’aérospatiale de la province, mais son père affirme que cette augmentation les encouragera à explorer plus sérieusement les options en Ontario, aux États-Unis et en Europe.
Déclin du français au Québec
Selon les données préliminaires de Statistique Canada pour l’année scolaire 2023-2024, les frais de scolarité de premier cycle d’environ 17 000 $ seraient parmi les plus élevés au pays pour les étudiants nationaux et les plus élevés en dehors des programmes spécialisés de premier cycle en droit, en gestion, en dentisterie, en médecine, en médecine vétérinaire et en pharmacie.
« Je ne pense pas que ce soit juste », a mentionné Jaco Lokker, pointant du doigt les frais de scolarité dans d’autres provinces.
Québec a fait valoir que cette augmentation lui permettrait de récupérer le coût de l’éducation des non-résidents du Québec. Le gouvernement provincial prévoit également de facturer aux universités 20 000 $ pour chaque étudiant international qu’elles recrutent. Le premier ministre François Legault a défendu cette décision, insistant sur le fait que les contribuables québécois ne devraient pas avoir à subventionner les étudiants de l’extérieur de la province.
Cette mesure devrait toucher principalement les trois universités anglophones du Québec – Concordia, McGill et Bishop’s – qui accueillent plus de non-Québécois que les écoles francophones. Des membres du gouvernement ont évoqué ce qu’ils affirment être un déclin du français dans la province dans leur décision d’augmenter les frais de scolarité. M. Legault a soutenu mardi que l’afflux d’étudiants anglophones « menace la survie du français ».
Le Québec s’est engagé à réinvestir ses fonds récupérés dans le réseau universitaire francophone.
La Saskatchewan adopte sa loi sur les jeunes de moins de 16 ans qui se disent trans à l'école
La nouvelle loi interdit donc aux jeunes de moins de 16 ans de changer de prénom ou de pronoms à l'école sans l'accord de leurs parents.
Le gouvernement a eu recours à la disposition de dérogation de la Charte canadienne des droits et libertés pour outrepasser certains articles de la Charte et du Code des droits de la personne de la Saskatchewan.
Le Premier ministre de la Saskatchewan, Scott Moe |
Lors du débat final en Chambre, vendredi matin, le ministre de la Société d’investissements de la Couronne, Dustin Duncan, a souligné que pour son gouvernement, «les parents sont des partenaires dans l'éducation de leurs enfants».