mercredi 5 octobre 2011

France — Prégnance croissante de l'islam dans les banlieues et leurs écoles

Xavier Lemoine, maire de Montfermeil, est l’invité de Robert Ménard, fondateur de Reporters sans frontière.


iTELE – 05/X/2011





Soutenons les familles dans leurs combats juridiques (reçu fiscal pour tout don supérieur à 50 $)

Vaccination imposée aux écolières de 9 ans pour une épidémie inventée ?

Isabelle Maréchal dénonce ce qu'elle considère comme une épidémie inventée.

Le Québec est aux prises avec une épidémie de cancer du col de l'utérus. Vous ne le saviez pas ? C'est pourtant ce que le gouvernement veut nous faire croire depuis trois ans en investissant des sommes affolantes dans une campagne de vaccination massive contre le virus du papillome humain dans toutes les écoles du Québec. Le VPH est une maladie transmissible sexuellement qui peut effectivement causer le cancer du col de l'utérus.

Coût du vaccin : 400 $ [!]

Toutes les petites filles de 9 ans vont recevoir, ces jours-ci, la première dose de Gardasil à l'école. Trois injections sont nécessaires pour être efficaces et coûtent 400 $. [Ce vaccin est fortement contesté dans certains milieux, y compris sur ProtégezVous.ca.]

Ce vaccin est mis en marché par la compagnie Merck, qui ne lésine pas sur les publicités pour nous faire croire que si on ne vaccine pas nos filles, elles mourront d'un cancer du col de l'utérus. On peut toujours refuser la vaccination, mais les parents se résignent et acceptent. « Parents, pensez-y&nbsp! Voulez-vous que vos filles meurent de ce terrible cancer ?»

Extrait de la brochure du gouvernement aux parents : « Enfin, un vaccin qui protège contre un cancer.» On nous fait croire que le Gardasil est une assurance tout risque contre le VPH. C'est faux. Même vaccinées, les jeunes filles peuvent développer une infection au VPH.
« À cause des campagnes de publicité alarmistes financées par l’industrie, certaines femmes ont fini par penser qu’elles étaient de mauvaises mères si elles ne faisaient pas vacciner leurs filles. »

Abby Lippman, Université McGill, Montréal cité par Protégez-vous.ca

Evangelical Fellowship of Canada : why the ERC court case matters for Canada

The Evangelical Fellowship of Canada stood before the Supreme Court of Canada on May 18 in defence of the parental right to decide on education — particularly the religious education — of their children.

In 2008, the Quebec government introduced the controversial Ethics and Religion and Culture (ERC) program as mandatory in all schools. With the goal of teaching “harmonious social relations,” the grade one to 11 program instructs on the place of religion – Catholicism, Protestantism, Judaism, Native Spiritualism, etc – in Quebec’s history.

[Blog comment: even religions on Quebec's history with very little impact are taught  are taught: Hindouism, Buddhism. In high school, new religious movements such as Wicca are studied, see here, as well as atheism.]

While there may be good intent, the development of a curriculum that regards all religions as equal and without distinct and true claims on the life of believers provides an unbalanced view. The program also regards ethics arising from a communal or conversational and situational basis, without regard for religious claims of absolute truth being foundational in both belief and practice.

The ERC has been criticized by secularists for imposing instruction on religion — and by people in the faith community for imposing inaccurate instruction about religious beliefs and practices. In short, the ERC does not recognize the legitimacy of the sincerely held religious beliefs of Christians — or any other faith community.

Although the program is not a requirement for graduation, every student is compelled by law to attend, without exception. This applies to public schools, private schools, religious schools, and home schooling.

Some evangelical parents have noted the benefit of having the place of religious contribution to the development of Quebec society recognized. Others are greatly concerned about the impact, on their children, of parental authority on religious instruction challenged by the authority of the teacher.

“The right to pass on one’s religious and cultural heritage to their children is a fundamental aspect of religious freedom and parental authority in Canada,” noted Faye Sonier, EFC legal counsel.

In addition to parental concern, several teachers are concerned that they are required to teach the program which inaccurately depicts their personal faith and does not permit them to teach from that faith perspective.

“The goal of the ERC – to develop ‘attitudes of tolerance, respect and openness’ in order to prepare children ‘to live in a pluralist and democratic society’ – is betrayed by the very lack of tolerance, respect and openness to pluralism and democracy that is demonstrated in the curriculum itself, and by the Government of Quebec’s approach to mandatory instruction,” said Don Hutchinson, EFC’s general legal counsel.

Source : CanadaWatch




Soutenons les familles dans leurs combats juridiques (reçu fiscal pour tout don supérieur à 50 $)

France — « L’école publique a un besoin vital d’écoles privées qui lui fassent concurrence »

Anne Coffinier, présidente et fondatrice de la Fondation pour l’École, lance son carnet. Extraits d'un entretien autour de son combat.

1/ Vous venez de lancer un nouveau blog, quelle est son adresse et quel est son but ?

L’adresse de notre nouveau blog est www.liberte-scolaire.com, avec son équivalent sur Facebook et Twitter. Son but ? Apporter toutes les informations et réflexions qui peuvent être utiles pour relever l’école en France. Notre prisme : la liberté scolaire, car nous avons la ferme conviction que c’est en appelant les acteurs éducatifs à leurs responsabilités et à leurs libertés propres que nous parviendrons ensemble à sauver l’école. C’est au niveau local, à savoir au niveau de l’établissement scolaire et peut-être aussi de la commune, qu’aura lieu le sauvetage de l’école. La rue de Grenelle [le Ministère] a, quant à elle, fait la preuve ces quarante dernières années de son incapacité à conduire les réformes qui s’imposaient. En raison de son gigantisme, de sa gestion centralisée, de sa politisation et de son conservatisme corporatiste, l’Éducation nationale est incapable de se réformer d’elle-même. Pour sauver l’école de la Nation, il est urgent de stimuler l’Éducation nationale de l’extérieur. Le développement d’un secteur privé dynamique, réellement libre de ses choix de programmes, de méthodes et de recrutement pour assurer la meilleure efficacité pédagogique possible, est indubitablement un aiguillon précieux pour l’école publique. Notons d’ailleurs que le monopole dans lequel l’Éducation nationale s’est installée ne va pas de soi. Il n’est en tout cas pas conforme à la conception qu’en avaient les pères fondateurs de la République, telle que définie brillamment par le grand Condorcet (cf. nos articles du 11 août 2011 (vidéo) et du 15 février 2010 sur Pour une école libre). Selon l’auteur des Cinq mémoires sur l’instruction publique (1791), l’école publique a un besoin vital d’écoles privées qui lui fassent concurrence ; ce serait le meilleur moyen pour que les écoles publiques ne s’endorment pas sur leurs lauriers mais que, cherchant toujours à supplanter les écoles privées, elles soient poussées à se dépasser elles-mêmes. L’école publique monopolistique actuelle est donc, dans son principe comme dans ses résultats, une trahison de l’école républicaine authentique.

[...]