dimanche 20 décembre 2020

Explosion de jeunes ados qui se disent « transgenres » à l'école... Épidémie psychologique à la mode ?

Le nombre d’adolescents qui se présentent aux cliniques d’identité de genre avec une dysphorie du genre a grimpé en flèche ces dernières années au Canada. Alors qu’un nombre croissant de jeunes disent avoir besoin d’aide, certains parents, des professionnels de la santé mentale et d’autres s’inquiètent de la façon dont ils sont traités.

La fille de Mary était à l’école primaire lorsqu’elle s’est dite d’abord bisexuelle, puis lesbienne. Mais ce qui s’est passé lorsque la fille est entrée en 9e année dans une école secondaire en Ontario était inattendu. La jeune femme a voulu rencontrer d’autres élèves LGBTQ, dont un garçon transgenre. Puis, l’année suivante, cet automne, le garçon n’était plus seul : au moins une demi-douzaine d’autres filles biologiques du même groupe d’amis élargis, y compris la fille de Mary, se sont dites transgenres.

« C’est devenu beaucoup plus important en un an », a déclaré la mère, qui a demandé que son nom complet et celui de l’école ne soient pas divulgués au National Post pour protéger la vie privée de la famille. « Cela ne semble pas statistiquement possible. » Pourtant, une école primaire de l’est de l’Ontario a connu le même phénomène il y a quatre ans. Quelques mois après la présentation d’un groupe extérieur sur l’identité de genre à une classe de 7e année [habituellement 12/13 ans], au moins cinq des 32 élèves ont déclaré qu’ils étaient transgenres, a déclaré Carolyn, un parent de l’école. Son fils de 11 ans était parmi eux, annonçant qu’il était une « demi-fille ». « On leur a dit en quelque sorte (à l’école) que si vous n’êtes pas à l’aise dans votre corps, vous pourriez être transgenre », a déclaré la mère, qui est également assistante sociale et conseille les jeunes en difficulté. « Cela a fait tilt pour plusieurs enfants dans cette classe. »

Ces surprenantes éclosions de dysphorie de genre — le sentiment d’avoir une identité de genre différente de son sexe de naissance — sont apparues alors que le nombre d’adolescents canadiens qui se présentent aux cliniques d’identité de genre avec dysphorie a grimpé en flèche ces dernières années, une grande majorité d’entre eux étant des filles.

Certains experts expliquent cette soudaine poussée par des facteurs comme une « contagion sociale » au sein de groupes de connaissances. Voir à ce sujet : Jordan Peterson et les jeunes « trans » (M-à-j avis de Debra Soh sur l’augmentation de ceux-ci) et Démystifier les mythes diversitaires sur le sexe et l’identité de genre.

Beaucoup de ces jeunes patients souffrent de divers autres problèmes de santé mentale. Mais le « traitement » standard proposé par les militants transgenres est ce que l’on appelle l’« affirmation » — une acceptation immédiate de la conviction d’un patient que son genre est différent de son sexe biologique. Suit souvent la transition médicale : des médicaments qui bloquent la puberté, puis des hormones sexuelles comme la testostérone et des modifications chirurgicales.

Les critiques condamnent le fait que ces militants s’abstiennent de traiter ces problèmes psychologiques complexes et multiformes et ne proposent que des traitements médicaux qui peuvent être irréversibles.

Sadie, qui a demandé que son nom complet ne soit pas publié, a déclaré que l’hôpital de Colombie-Britannique pour enfants lui a prescrit de la testostérone alors qu’elle avait 17 ans, après seulement deux heures de séances avec des psychologues. Elle pensait alors qu’elle était un garçon trans. « Même moi, je pensais que cela allait trop vite et pourtant je le voulais », a déclaré Sadie. « Je me souviens d’une [thérapeute], je parlais d’anxiété, de dépression et elle me répondait : “Oh oui, cela disparaîtra une fois que vous prendrez des T.” Et j’ai pensé : “Oh, pas très utile, mais merci, je suppose.” » Aujourd’hui âgée de 21 ans, elle dit avoir un genre fluide ou non binaire et qu’elle était reconnaissante de ne jamais avoir modifié médicalement son corps.

Les « détransitionneurs » partagent des inquiétudes similaires, il s’agit de personnes qui ont « transitionné » de sexe et en viennent à regretter leur décision. Un nouveau groupe canadien détrans (https://detranscanada.com/) fait partie de ce qui pourrait bien devenir une cohorte grandissante.

Les écoles promeuvent aussi parfois activement la transition entre les sexes, acceptant même les changements de nom sans en informer les parents. Pam Buffone, une résidente d’Ottawa, a déclaré au National Post que son enfant de six ans est rentrée à la maison bouleversée après une leçon sur l’identité de genre dans laquelle son enseignante a dit que « les garçons ne sont pas réels et les filles ne sont pas réelles ». Le Tribunal des droits de la personne de l’Ontario prévoit une audience sur la plainte de la mère à ce sujet. Voir à ce sujet : Jordan Peterson : La théorie du genre n’a pas sa place en classe (M-à-j : poursuite judiciaire).

« Ce qui se passe au Canada est une expérience médicale incontrôlée sur des enfants sans aucune surveillance indépendante ni aucune obligation de suivi médical », a déclaré Buffone, qui dirige le Canada Gender Report, un groupe qui soulève des questions sur ces problèmes. « Nous avançons totalement à l’aveuglette. »

On assiste à un certain ressac. À la demande d’une mère, un juge de la Colombie-Britannique a imposé une injonction pour retarder temporairement une mastectomie à une fille de 17 ans qui dit être un garçon. Mais plutôt que de faire une pause et de réévaluer les méthodes actuelles, la législation soumise par le gouvernement libéral de Justin Trudeau à l’examen du Parlement pourrait encore renforcer la solution prônée par la coterie LGBTQ2SAI+ : l’affirmation. C’est ainsi que le projet de loi C-6 interdit la « thérapie de conversion », les traitements conçus pour corriger l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, ce projet de loi pourrait aboutir à criminaliser les options non médicales, comme la psychothérapie, pour traiter la dysphorie de genre. Voir : Est-il permis d’être LGBT, d’être mal dans sa peau et de vouloir devenir hétéro « cisgenre » ?

Pendant ce temps, certains autres pays qui ont connu des tendances similaires reconsidèrent cette stratégie. La Haute Cour du Royaume-Uni a statué plus tôt ce mois-ci qu’il était très peu probable que des enfants de moins de 16 ans puissent dûment consentir à prendre des bloqueurs de puberté. La Haute Cour a suggéré qu’une ordonnance du tribunal s’imposerait pour autoriser ce traitement « expérimental ». Voir La justice britannique recommande l’arrêt des transitions de genre avant 16 ans.

Le gouvernement suédois de centre gauche a mis de côté son plan visant à abaisser l’âge minimum pour la chirurgie de changement de sexe, et a préféré lancer une révision du traitement de la dysphorie de genre.

Au Canada, le nombre de clients mineurs dans 10 cliniques de genre à travers le pays augmente régulièrement. Ce nombre est passé de presque zéro en 2004 à plus de 1000 en 2016, selon Trans Youth Can !, une étude sur le traitement hormonal de la dysphorie. Plus de 80 % étaient des enfants nés filles qui se disent des garçons et les deux tiers se sont présentés aux cliniques à 14 ou 15 ans, selon les données du projet.

En Ontario, l’assurance-maladie provinciale a remboursé une chirurgie de changement de sexe pour 1460 personnes en 2018 alors que ce nombre n’était que de 59 en 2010, rapporte l’Association professionnelle canadienne pour la santé des transgenres. On ne sait pas combien d’entre elles étaient mineures.

Pour mettre en lumière des perspectives plus critiques, le National Post s’est entretenu avec sept parents d’enfants qui se sont révélés transgenres, des jeunes qui ont abandonné ou inversé leur transition, et des scientifiques sceptiques quant à l’approche thérapeutique dominante. Les non-experts ont demandé que leurs noms complets ne soient pas publiés, craignant d’exacerber les tensions familiales ou d’exposer les enfants au harcèlement.

Les parents ont affirmé être d’esprit ouvert quant à l’orientation sexuelle et à l’identité de genre, mais ils estimaient que l’on encourageait avec précipitation leurs propres enfants vers la « transition ». Ils ont décrit les souffrances émotionnelles et psychologiques de leur progéniture — dépression, anxiété, troubles de l’alimentation, automutilation, TDAH, brimades — avant que celle-ci déclare brusquement au milieu de la puberté ou du début de l’adolescence qu’ils étaient transgenres. Certains ont abandonné par la suite cette identification à des transgenres.

Chris, qui vit dans la région du Grand Toronto, a déclaré que sa fille souffrait de dépression et d’anxiété, mais qu’elle semblait par ailleurs être une fille « typique », jusqu’à ce qu’elle déclare, l’été après la 9e année, qu’il était un garçon. Il s’est avéré qu’elle avait déjà adopté un prénom à consonance masculine et des pronoms masculins à l’école ; le personnel de l’école a expliqué plus tard qu’il n’informait pas les familles de tels changements de peur que les parents ne soient pas d’accord…

Chris a déclaré que le personnel de la clinique transgenre de l’Hôpital pour enfants malade de Toronto avait recommandé, après la deuxième de deux séances relativement brèves, que l’enfant commence à bloquer la puberté. Techniquement appelés « agonistes de l’hormone de libération de la gonatropine », les médicaments gagnent essentiellement du temps, permettant à un jeune de décider s’il veut faire la transition avant que des caractéristiques plus masculines ou féminines ne s’installent.

On ne sait pas si les médicaments expérimentaux pourraient avoir des effets négatifs à long terme sur des questions telles que le développement des os et du cerveau a conclu la décision du tribunal britannique. Certaines recherches préliminaires, en revanche, ont suggéré qu’elles réduisent la probabilité que les personnes transgenres se suicident. Chris, convaincu qu’il était trop tôt pour faire une telle démarche et inquiet des effets secondaires des médicaments, n’a jamais ramené son adolescent à la clinique.

M., une mère d’une ville de taille moyenne de l’Ontario, a déclaré que sa fille avait déclaré à 15 ans — « à l’improviste », alors qu’elle souffrait d’une grave anxiété — qu’elle était transgenre, et a clairement indiqué qu’elle souhaitait passer rapidement à un traitement à la testostérone et subir une chirurgie de changement de sexe.

À son lycée, il y avait « neuf ou dix » autres « filles de naissance » qui se disaient garçons trans, y compris une copine qui était déjà en transition médicale.

« Cela m’a brisé le cœur d’entendre une de ses amies prendre des hormones, entendre sa voix commencer à changer », a déclaré M. « J’étais terrifié à propos de ma fille, parce que tu n’en reviens pas. » Finalement, elle n’a pas fait de transition médicale, semble plus heureuse et se considère comme bisexuelle ou lesbienne, selon la mère.

James Cantor a une théorie pour expliquer le flot soudain de filles se déclarant être des garçons trans à l’adolescence. Ancien scientifique du comportement sexuel au Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH) de l’Ontario, Cantor critique le traitement actuel. Il pense que ces filles sont tout simplement mal diagnostiquées, tout comme les problèmes de santé mentale d’une génération précédente ont souvent été imputés à des souvenirs réprimés d’abus sexuels durant l’enfance, théorie depuis largement discréditée. Cantor soupçonne que beaucoup souffrent d’un trouble de la personnalité limite (TPL), une condition marquée en partie par une identité de soi peu sûre et des pensées suicidaires.

« En tant que clinicien-chercheur, il faut être curieux », de déclarer Ken Zucker, qui a dirigé la clinique de genre du CAMH jusqu’à sa fermeture en 2015. « Nous voyons désormais un ensemble d’enfants que nous ne voyions jamais auparavant. Que se passe-t-il ? … Quiconque voit des adolescents atteints de dysphorie du genre doit y réfléchir. » Un article très controversé publié en 2018 par le professeur de santé publique de l’Université Brown, le Dr Lisa Littman, a même inventé un terme pour le phénomène possible — dysphorie de genre à apparition rapide (ROGD) — et a émis l’hypothèse que ce phénomène récent s’expliquerait par une contagion sociale.

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Bobard : le New-York Times s'excuse de s’être laissé avoir par un affabulateur

Dean Baquet, rédacteur en chef du journal, a déclaré vendredi que l’échec n’était pas imputable à un journaliste. « Je pense que c’était un échec institutionnel », a-t-il lancé.

Le New York Times a reconnu vendredi qu’il ne pouvait pas confirmer les récits d’un individu résidant au Canada, qui racontait avoir commis des atrocités pour l’État islamique en Syrie.

Cette histoire était au cœur d’un feuilleton audio du journal intitulé « Califat » en 2018.

La série avait remporté un prix Peabody, le tout premier obtenu par le New York Times pour un de ses balados. Elle était également finaliste pour un prix Pulitzer.

Le NY Times a ajouté une correction audio au début de chacun des 12 épisodes de la série. Il a publié vendredi une contre-enquête. La journaliste Rukmini Callimachi sera réaffectée à l’extérieur du domaine du terrorisme, a indiqué le journal.

Le Times a chargé une équipe d’enquêteurs de se pencher sur l’histoire après que la police canadienne a arrêté en septembre Shehroze Chaudhry, alias Abu Huzayfah, pour avoir commis un canular terroriste. Il a déclaré au Times qu’en tant que soldat de l’État islamique, il avait tiré à la tête d’une victime et en avait poignardé une autre au cœur.

L’histoire de Chaudhry s’est effondrée après un examen plus approfondi. Les enquêteurs ont conclu qu’ils ne pouvaient pas être sûrs qu’il s’était jamais rendu en Syrie et qu’il n’avait presque certainement pas commis les atrocités qu’il avait revendiquées. Des preuves supposées qu’il a proposées pour étayer son histoire, y compris des photos de Syrie, ont été recueillies auprès d’autres sources. Le Times a conclu qu’il était un « affabulateur » qui a concocté des histoires pour échapper à sa vie routinière dans une banlieue de Toronto ou chez ses grands-parents au Pakistan.

Le Times avait pourtant de nombreuses raisons de se méfier du récit de Chaudhry, puisqu’un épisode de « Califat » était consacré à des divergences dans son histoire et à sa propre vérification des faits. Mais Baquet a comparé cela à un biais de confirmation, la volonté de croire ce qui semblait être une bonne histoire.

« C’est l’un de ces cas où je pense que nous n’avons tout simplement pas écouté assez fort ce qui remettait en question l’histoire ou les signes que l’histoire n’était pas aussi forte que nous le pensions », a-t-il déclaré.

Dans une interview avec la radio subventionnée progressiste NPR, Baquet a déclaré que les rédacteurs habitués à réviser des pièces écrites étaient plus respectueux du matériel audio présentant un fil narratif convaincant.

Déclaration qui a suscité l’ire de Madhulika Sikka, une ancienne cadre de NPR qui était également productrice exécutive audio au Washington Post avant de se lancer dans l’édition. Elle a tweeté que si les produits audio étaient évalués selon des règles différentes de celles du reste de la salle de rédaction, le problème venait de la salle de rédaction, pas du médium.

« S’il s’était agi d’un article imprimé, y aurait-il eu des règles différentes appliquées ? » Sikka a déclaré dans une interview. « Je ne sais pas. C’est l’implication de la citation de Dean Baquet que j’ai trouvée répréhensible. »

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