« Napoléon sur le champ de bataille d’Eylau », d’Antoine-Jean Gros, 1807. Les combats entre Français et Russo- Prussiens firent près de 60 000 victimes, dont au moins 12 000 morts. |
Fossoyeur de la Révolution ?
Carnet voué à la promotion d'une véritable liberté scolaire au Québec, pour une diversité de programmes, pour une plus grande concurrence dans l'enseignement.
« Napoléon sur le champ de bataille d’Eylau », d’Antoine-Jean Gros, 1807. Les combats entre Français et Russo- Prussiens firent près de 60 000 victimes, dont au moins 12 000 morts. |
1. Il faut associer le moins possible le niveau des frais de scolarité à la situation du français (dont tout ce beau monde se préoccupe infiniment, comme de bien entendu…)
2. C’est carrément la réputation internationale Montréal qui est en jeu — on s’en inquiète, paraît-il jusqu’à Hong Kong que l’on aurait cru plus préoccupé par les visées liberticides de Xi Jinping… [Note du carnet: Surtout la très célèbre Concordia, alma mater du professeur Fabrikant qui y a tué ses collègues connue pour son militantisme pro-palestinien de longue date, voir les émeutes de 2002 contre la visite de Netanyahou et Police obligée de départager les étudiants juifs et arabes à Concordia (M. à j. coups de feu sur deux écoles juives)]
Le professeur Valery Fabrikant de Concordia emmené après avoir tué 4 de ses collègues en 1992 |
3. Les universités anglophones sont en péril… [Note du carnet : en quoi est-ce grave ? Pourquoi ne pas les franciser ?]
Rappelons que, s’il y a péril en la demeure, c’est au sujet de la langue d’usage dans l’ouest du centre-ville de Montréal qui est en train de redevenir l’anglais comme dans les bonnes vieilles années 1950. Et s’il y a une université en danger, c’est l’UQAM, menacée de se faire damer le pion par Concordia (cf. sur ces sujets les textes du chercheur Frédéric Lacroix).