vendredi 12 mars 2021

Vidéo colloque sur la Liberté d'enseignement - Fondation Kairos - Institut de France

Partie 2 : La liberté d’enseignement, l’histoire et la laïcité

Sous la présidence du Pr. Anne-Marie Le Pourhiet

Pierre-Hugues Barré : « La loi de 1901 et les congrégations enseignantes »

Hélène Orizet : « Le service public de l’Éducation nationale sous la Troisième République »

Pr. Nicolas Sild : « La conception républicaine de la liberté d’enseignement, de Ferdinand Buisson à Vincent Peillon »

Conclusion Pr. Pierre Delvolvé


Des téléphones gratuits pour les Noirs francophones de Toronto...

L'initiative est financée par Réseau pour l'avancement des communautés noires (NABC) de la faculté de l’Éducation de l’Université York.

Le Centre francophone du Grand Toronto (CFGT) va distribuer une centaine de téléphones portables à ses clients de race noire à faible revenu. Prolongement du Mois des Noirs

Cette initiative, lancée ce jeudi 11 mars, s’inscrit «dans le prolongement du Mois de l’histoire des Noirs 2021», indique la directrice générale Florence Ngenzebuhoro.

Florence Ngenzebuhoro


«Il nous incombe de contribuer à l’élimination des barrières systémiques et matérielles qui entravent à la pleine participation des Noirs dans la prise en charge complète de leur bien-être et épanouissement à tous les niveaux.»

Avec l’Université York

Cette initiative est financée par Réseau pour l’avancement des communautés noires (NABC) de la faculté de l’Éducation de l’Université York, dans le cadre d’un programme pour palier aux conséquences économiques et sociales de la pandémie.

Il faudra notamment: être membre de la communauté noire; être client du CFGT ou vouloir le devenir; être à faible revenu et/ou bénéficier de programmes gouvernementaux d’aide sociale; avoir un revenu de ménage ne dépassant pas 40 000 $ par année.

Par ailleurs, des catégories sont prioritaires: les personnes victimes de violence entre partenaires; une famille nouvellement arrivée au Canada ou à Toronto; les jeunes adultes issues d’une grande famille (plus de trois enfants).


Ces historiens américains et canadiens de l’Antiquité qui haïssent l’Antiquité...gréco-latine

Des universitaires américains, qui enseignent eux-mêmes l’histoire ancienne, mènent une croisade pour… limiter l’enseignement de l’héritage gréco-romain. Cet activisme absurde résulte de la passion de condamner le passé de façon moralisatrice, comme le démontre Raphaël Doan dans les colonnes du Figaro. Raphaël Doan est agrégé de lettres classiques, ancien élève de l’École normale supérieure et de l’ENA. Il a publié Quand Rome inventait le populisme (éd. du Cerf, 2019).

« Les civilisations grecque et romaine, sont restées omniprésentes dans nos imaginaires. »

Faut-il brûler l’héritage gréco-romain ? Cette question saugrenue n’émane pas d’un Wisigoth du Ve siècle, mais des meilleures universités américaines du XXIe.

Dan-el Padilla Peralta
 
 
Un professeur d’histoire romaine de Stanford, Dan-el Padilla Peralta (ci-contre), a ainsi qualifié ce que les Anglo-saxons appellent les classics, à une conférence de la Society of Classical Studies de janvier 2019, de matière « mi-vampire, mi-cannibale ». « Loin d’être extérieure à l’étude de l’Antiquité, affirmait-il, la production de la blanchité réside dans les entrailles même des classiques. » Aussi concluait-il, sous les applaudissements : « j’espère que la matière va mourir, et le plus tôt possible. »

Padilla est loin d’être seul dans cette croisade. Pour un autre professeur de Stanford, Ian Morris, « l’Antiquité classique est un mythe de fondation euro-américain. Est-ce qu’on souhaite vraiment ce genre de choses ? » Johanna Hanink, professeur associé de lettres classiques à l’université de Brown, voit dans la discipline « un produit et un complice de la suprématie blanche. » Donna Zuckerberg, classiciste et fondatrice du site Eidolon, se demande si l’on peut sauver une « discipline qui a été historiquement impliquée dans le fascisme et le colonialisme, et qui continue d’être liée à la suprématie blanche et à la misogynie. »

Ian Morris
 

Conclusion logique : une colonne régulière sur son site pour appeler à « tout détruire par les flammes » une expression courante de ce mouvement. Bref, résume Nadhira Hill, doctorante en histoire de l’art et archéologie à l’université du Michigan, « les classiques sont toxiques. »

Ce n’est pas la première attaque subie par les études anciennes, mais elle est inédite de la part de spécialistes de l’Antiquité et par son ambition destructrice. Ce n’est bien sûr pas la première attaque subie par les études anciennes. Mais elle est inédite par son caractère kamikaze — de la part de spécialistes de l’Antiquité — et par son ambition explicitement destructrice.

Longtemps, le débat public sur l’intérêt de ces études, cristallisé dans la question de l’enseignement du latin et du grec, a porté sur l’utilité de ces disciplines. Est-il encore nécessaire, au XIXe, XXe ou XXIe siècle, d’étudier ces civilisations mortes il y a deux millénaires ? Nos élèves n’ont-ils pas mieux à apprendre ? Le monde n’a-t-il pas changé ?

Nadhira Hill

À la limite, certains y voyaient une matière élitiste, bourgeoise, un peu snob, justement parce qu’elle semblait inutile. Toutefois, même chez les adversaires du latin et du grec, on affichait une déférence polie : on les jugeait superflus, mais il ne serait venu à l’idée de personne d’y voir une influence néfaste. Tout au plus débattait-on de la nature de notre lien à ces civilisations anciennes.

Face à ceux qui voyaient dans les Grecs et les Romains la source d’une grande tradition dont nous étions les héritiers, et qui méritait d’être étudiée en tant que telle, d’autres affirmaient s’y intéresser au contraire comme à de riches mondes perdus, sans aucune ressemblance avec le nôtre, et pour cette raison même intéressants, car fortement exotiques.

Parmi les premiers, la plus importante figure française a été Jacqueline de Romilly, qui a consacré la majorité de sa carrière à défendre une « certaine idée de la Grèce » propre à inspirer le monde contemporain ; dans le camp d’en face, on compte des savants comme Jean-Pierre Vernant ou Paul Veyne, qui se plaisent à révéler l’étrangeté des mondes antiques. Mais cette opposition intellectuelle, au demeurant parfaitement amicale, se dissipait sur un point : tous étaient d’accord pour défendre l’extrême intérêt de l’étude des civilisations classiques, et aucun ne la jugeait dangereuse.

La nouvelle guerre qui fait rage en Amérique est de toute autre nature. Il s’agit de spécialistes de l’Antiquité, ayant consacré leur vie à ces études, et qui pourtant les condamnent et aspirent à les voir brûler. Comme ce qui s’invente dans les universités aux États-Unis surgit souvent chez nous quelque temps plus tard, il n’est pas inintéressant de chercher les raisons d’une telle manie destructrice.

Professeure de droit de Georgetown parle des mauvais résultats de ses étudiants noirs, elle est licenciée

Bâtiment de l’université Georgetown à Washington, une prestigieuse université privée jésuite

La professeure de droit de Georgetown, Sandra Sellers, dont une vidéo (ci-dessous) la montrait en train de discuter les résultats des étudiants noirs, n’est plus « affiliée à l’université », a déclaré jeudi le doyen de la faculté de droit.

Des étudiants en droit de l’Université de Georgetown et des anciens élèves avaient demandé le licenciement de la professeure après qu’une vidéo où deux professeurs de droit de Georgetown discutaient des résultats des étudiants noirs dans leur classe soit devenue virale. Une pétition de l’Association des étudiants de droit noirs de l’université demandant à l’école de prendre des mesures et de licencier la professeure avait recueilli plus de 1000 signatures.

Dans la vidéo, on pouvait entendre Mme Sellers dire : « Je déteste l’avouer. Mais je finis, chaque semestre, par avoir cette angoisse que beaucoup des plus faibles seront des Noirs, cela se produit presque tous les semestres. Il y en a quelques bons. » Un deuxième professeur, David Baston n’intervient pas verbalement et ne contredit pas Mme Sellers.

La conversation a été filmée et publiée sur la base de données en ligne Panopto, où les étudiants peuvent accéder aux enregistrements des cours. La vidéo n’est plus disponible sur la plateforme.

« Nous avons appris plus tôt cette semaine que deux membres de notre faculté ont participé à une conversation qui comprenait des déclarations répréhensibles sur l’évaluation des étudiants noirs », a déclaré mercredi le doyen du droit de Georgetown Bill Treanor dans une lettre à l’université.

Dans une autre note de service jeudi, Treanor a déclaré : « J’ai informé le professeur Sellers que je mettais fin à sa relation avec la faculté de loi de Georgetown avec effet immédiat. »

Plus tôt dans la semaine, Treanor a déclaré que le « bureau de la diversité et de l’équité de l’université » avait ouvert une enquête sur la question.

« Le professeur Batson a été mis en congé administratif en attendant l’enquête du Bureau de la diversité, de l’équité et de la discrimination positive, dont les résultats éclaireront nos prochaines étapes », a écrit Treanor.

Pourtant le niveau décevant des étudiants en droit noirs est bien connu. Voici la traduction d’un extrait d’un article du L. A. Times (en rien un journal conservateur, bien au contraire).

En abaissant la note minimale admissible à l’examen du barreau, la Californie produira-t-elle plus d’avocats noirs et latinos ?

Par MAURA DOLAN RÉDACTRICE
26 JUILLET 2020, 5 h

Depuis plus de trois décennies, la Californie a maintenu un des examens les plus stricts du pays pour les étudiants en droit qui espèrent pratiquer le droit dans l’État le plus peuplé du pays.

Mais ce mois-ci, la Cour suprême de Californie, qui supervise le barreau de l’État, a accepté de baisser la note de passage à l’examen, une victoire pour les doyens des facultés de droit qui espéraient depuis longtemps que le changement augmenterait le nombre de Noirs et de Latinos pratiquant le droit….

Quarante pour cent de la population californienne est blanche, 60 % sont des personnes de couleur. Mais 68 % des avocats californiens sont blancs, et seulement 32 % sont des personnes de couleur, selon un nouveau rapport du barreau de l’État de Californie. …

Certains ont émis l’hypothèse que les résultats de l’examen du barreau de février pourraient également avoir influencé le tribunal.

En février, alors que de nombreux diplômés qui ont échoué à l’examen du barreau une première fois le repassent, seuls 26,8 % de tous les candidats avaient réussi.

Parmi les nouveaux candidats des écoles de droit accréditées par l’Association du Barreau américain, considérées comme les meilleures facultés de l’État, 51,7 % des diplômés blancs ont réussi, contre 5 % des diplômés noirs, 32,6 % des Latinos et 42,2 % des Asiatiques.

Quel professeur de droit, y compris le doyen du droit de Georgetown Bill Treanor, se féliciterait de ce 5 % ? Cinq pour cent des candidats noirs détenteurs dun diplôme de droit, c’est vraiment très peu. Il semble interdit de le regretter.


Progressistes et très progressistes pensent de plus en plus que la violence est justifiée en matière politique


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Il y a une raison pourquoi aucun gouvernement n’a fait une analyse coûts-bénéfices des confinements...

Les confinements n’en valaient pas la peine, c’est que conclut une longue étude de Philippe Lemoine. Pour lui, il y a une raison pour laquelle aucun gouvernement n’a fait une analyse coûts-bénéfices: la politique échouerait sûrement.

Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a annoncé la semaine dernière que son État mettait fin à l’obligation du port de masque et au nombre maximum de chalands dans les commerces. Alors que les démocrates et de nombreux responsables de la santé publique ont dénoncé cette décision, de nombreuses données existent maintenant pour démontrer que les avantages de mesures strictes ne valent pas les coûts associés à celles-ci.

Montréal pendant le confinement

Cela n’a pas toujours été le cas. Il y a un an, j’avais publiquement préconisé de confiner parce que cela semblait prudent étant donné le peu de connaissances à l’époque sur le virus et ses effets. Mais confiner la société est devenu l’option par défaut des gouvernements du monde entier, quel qu’en soit le coût.

Plus d’un an après le début de la pandémie, la vaccination est en cours en Europe et aux États-Unis. Pourtant, des restrictions strictes sont toujours en place des deux côtés de l’Atlantique. L’Allemagne, l’Irlande et le Royaume-Uni sont toujours soumis à des restrictions rigoureuses, tandis que la France impose un couvre-feu à 18 heures depuis deux mois à 18 heures. Couvre-feu qui, selon le gouvernement français, durera au moins quatre semaines supplémentaires. Dans de nombreux États américains, l’enseignement en personne est encore rare dans les écoles.

À cette époque l’an dernier, nous ne savions pas du tout à quel point il serait difficile de maîtriser le virus. Compte tenu de la rapidité de sa propagation, les gens ont fait l’hypothèse raisonnable que la majeure partie de la population serait infectée dans quelques semaines à moins que nous ne réduisions d’une manière ou d’une autre la transmission. Les projections de l’équipe d’intervention Covid-19 de l’Imperial College à Londres prévoyaient que plus de deux millions d’Américains pourraient mourir en quelques mois. Un confinement réduirait la transmission, et même s’il ne pouvait pas empêcher toutes les infections, il empêcherait les hôpitaux d’être submergés. Cela « aplatirait la courbe ».

Nous avons appris depuis lors que le virus ne se propage jamais de manière exponentielle pendant très longtemps, même en l’absence de restrictions strictes. L’épidémie recule toujours bien avant que l’immunité collective ne soit atteinte. Comme je l’écris dans un rapport pour le Center for the Study of Partisanship and Ideology, [même sans confinement décrété par le gouvernement] les gens ont peur et changent de comportement à mesure que les hospitalisations et les décès augmentent. Ceci, à son tour, réduit la transmission.

J’ai examiné plus de 100 régions et pays. Aucun n’a connu la croissance exponentielle de la pandémie se poursuivre jusqu’à ce que l’immunité collective ne soit atteinte, que le gouvernement ait décrété ou non un confinement ou toute une autre mesure stricte. Les gens reviennent après un certain temps baisse leur garde. Quand ils le font, le virus recommence à se propager. C’est pourquoi nous voyons partout la « forme en U inversé » des cas et des décès.

La Suède a été la première à tirer cette leçon, mais de nombreux autres pays l’ont confirmée. Initialement considérée comme une catastrophe par de nombreux partisans des confinements, la Suède s’est retrouvée avec un taux de mortalité par habitant indiscernable de celui de l’Union européenne [ou du Québec]. Aux États-Unis, la politique de non-intervention de la Géorgie était autrefois qualifiée d’« expérience de sacrifice humain » par The Atlantic. [Voir Radio-Canada Coronavirus — Les médias ont-ils fait preuve d’alarmisme ? mentionne Géorgie où la situation se dégraderait selon la SRC (c’était faux) et revenait en même temps la Grippe espagnole, épouvantail très utile et spectre souvent utilisé.] Mais comme la Suède, la Géorgie a aujourd’hui un taux de mortalité par habitant qui est en fait le même que celui du reste du pays.

On voit que le nombre de morts par 100 000 habitants au Québec, en Suède, en Italie et en France est quasiment le même, malgré les politiques anti-Covid fort variées de ces pays.

Cela ne veut pas dire que les restrictions n’ont aucun effet. Si la Suède avait adopté des restrictions plus strictes, il est probable que l’épidémie aurait commencé à reculer un peu plus tôt et l’incidence aurait chuté un peu plus vite. Mais la politique n’a peut-être pas autant d’importance que les gens l’ont supposé. Les confinements peuvent détruire l’économie, mais on commence à penser qu’ils ont un effet minimal sur la propagation de Covid-19.

Après une année d’observation et de collecte de données, les arguments en faveur des confinements sont nettement moins convaincants. Personne ne nie que des hôpitaux surchargés sont une mauvaise chose, mais c’est aussi vrai de priver les gens d’une vie normale, y compris les enfants qui ne peuvent pas aller à l’école ou socialiser pendant les plus précieuses années de leur vie. Puisque tout le monde n’a pas été vacciné, beaucoup ne vivent toujours pas normalement, même sans restrictions. Mais les mandats gouvernementaux peuvent aggraver les choses en empêchant les gens de se socialiser et de gagner leur vie.

Les confinements contre les coronavirus constituent les attaques les plus importantes contre la liberté individuelle en Occident depuis la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, pas un seul gouvernement n’a publié une analyse coûts-bénéfices pour justifier les politiques de confinement — ce que les décideurs sont souvent tenus de faire quand ils prennent des décisions pourtant beaucoup moins conséquentes. Si mes arguments sont erronés et que les politiques de confinements sont efficaces en termes d’avantages-coûts, un document gouvernemental devrait pouvoir le démontrer. Aucun gouvernement n’a produit un tel document, peut-être parce que les fonctionnaires savent quelle en serait la conclusion.

M. Lemoine est licencié en informatique, détenteur d’une maîtrise en sciences politiques et d’une autre en philosophie, il est doctorant en philosophie de la science à l’Université Cornell et membre du Centre pour l’étude de la partisanerie et de l’idéologie (CSPI).

Voir aussi 

Covid-19 : étude affirme que confinement et fermeture des commerces ont peu d’utilité une fois mesures plus douces prises [cette étude est celle du Pr John Ioannidis, sa conférence sur ce sujet sous-titrée ci-dessous.]

 

 Angleterre — Autorités déclarent que les enfants du primaire ne devraient pas porter de masque    

Covid — Floride se félicite d'avoir gardé les écoles ouvertes

La Californie confine depuis longtemps, la Floride a déconfiné très tôt...