dimanche 5 janvier 2025

Royaume-Uni — Comment le scandale des gangs de violeurs pédophiles a été étouffé

Les enfants victimes de viols ont été privés de justice et de protection par l'État afin de préserver l'image d'une société multiculturelle heureuse.

La décision de Jess Phillips, ministre de la Protection de l'Enfance, de bloquer une enquête publique sur les gangs de violeurs d'Oldham semble, de l'extérieur, presque inexplicable. Des enfants ont été violés et abusés par des bandes d'hommes, sans que les autorités ne les protègent.

Quelques-uns des violeurs pédophiles en bande musulmans d’Oxford


Un rapport sur les abus commis à Oldham a été publié en 2022, mais son mandat ne couvrait que la période 2011-2014. Les survivants de la ville ont déclaré qu'ils souhaitaient que l'enquête menée par le gouvernement couvre une période plus longue et qu'elle permette de combler les lacunes de l'enquête précédente. Dans sa lettre au conseil municipal, révélée par GB News, Jess Phillips a déclaré qu'elle comprenait la force des sentiments dans la ville, mais qu'elle pensait qu'il était préférable qu'un autre examen soit effectué au niveau local.

Il s'agit d'un scandale qui devrait être totalement élucidé et qui devrait faire l'objet d'une enquête de la part de l'État britannique dans toute sa puissance. Des voix allant d'Elon Musk à Kemi Badenoch [qui dirige le parti conservateur] se sont jointes aux appels à l'ouverture d'une enquête. Pourtant, le gouvernement semble curieusement réticent à enquêter sur les manquements des fonctionnaires.

Cette réticence n'est pas nouvelle. Dans tout le pays, dans les villes, dans nos rues et dans les institutions publiques conçues pour protéger les membres les plus vulnérables de notre société, les autorités ont délibérément fermé les yeux sur d'horribles sévices infligés à des enfants en grande partie blancs par des bandes d'hommes majoritairement d'origine pakistanaise.

Au fil du temps, des détails ont été révélés sur les abus commis à Rotherham, à Telford, à Rochdale et dans des dizaines d'autres endroits. Mais comme les histoires sont publiées au compte-gouttes et que les détails sont si horribles qu'ils en sont presque illisibles, l'ampleur du scandale n'a pas encore été révélée au public.

La souffrance des enfants

Le paragraphe suivant est difficile à lire. Mais vous devriez le lire, si vous le pouvez. Il est tiré de la sentence prononcée en 2013 par le juge Peter Rook à l'encontre de Mohammed Karrar à Oxford.

Mohammed a préparé sa victime « à un viol anal collectif en utilisant une pompe... Vous l'avez soumise à un viol collectif par cinq ou six hommes. À un moment donné, quatre hommes étaient à l'intérieur d'elle. Une balle rouge a été placée dans sa bouche pour la faire taire ».

Son histoire est horrible. Elle est loin d'être unique.

« On aime Laval. C’est comme si on était au Liban ! Il y a plus d’Arabes que de Québécois ici »

Elcy Hamzo, sa fille Maeven et son mari Charbel Kamel sont arrivés du Liban en mai dernier.


Pour Elcy Hamzo et sa famille, l’hiver québécois ressemble davantage à une scène de carte postale qu’à un défi. Installés à Laval depuis mai dernier, après avoir quitté le Liban, ils se préparent à vivre leur tout premier Noël sous la neige.

[...]

Laval ou le Liban du Québec (faux « multiculturalisme », vrai remplacement ?)

 « On aime Laval. C’est comme si on était au Liban ! Il y a plus d’Arabes que de Québécois ici », plaisante Elcy. 

Ce multiculturalisme [quel multiculturalisme puisque l'arabe domine... ?] est un atout pour son mari, Charbel Kamel, qui ne maîtrise pas encore bien le français.

« Ici, il est à l’aise avec la langue », souligne-t-elle.

La famille chrétienne libanaise ne manquera pas de compagnie pour les Fêtes.

« Toute ma famille est ici : mes parents, mes deux frères et leurs conjointes. Nous allons fêter ensemble et même passer deux jours à Québec. C’est trop joli là-bas », confie Elcy.

La décision de quitter le Liban a été provoquée par un évènement marquant : l’explosion au port de Beyrouth en 2020. Ancien pompier, M. Kamel a échappé de peu à cette tragédie qui a détruit des quartiers entiers et fait des milliers de victimes.

Si on a décidé de s’installer au Québec, c’est parce que mon frère était déjà là. J’ai aussi bien fait mes recherches, et j’ai vu que la vie est sécuritaire ici. Il y a un bon système scolaire, un bon système de santé. Les gens sont heureux. Ils se sentent en sécurité. C’est calme.

Le couple n’est pas arrivé les mains vides : il a décroché sa résidence permanente avant de mettre les pieds au Québec. Avec 20 ans d’expérience en comptabilité, Elcy a entrepris un diplôme d’études professionnelles (DEP) pour s’adapter au système québécois, en attendant la reconnaissance de son diplôme obtenu au Liban. Pendant ce temps, son mari, titulaire d’un baccalauréat en mathématiques au Liban, suit une formation en lancement d’entreprises [dans quelle langue puisqu'il ne maîtrise pas le français ?]

« Je veux aller jusqu’au bout, au CPA [comptable professionnel agréé]. C’est ce que j’aimerais avoir », affirme Elcy.

« On ne pense pas à retourner au Liban, ajoute Elcy. Ici, les enfants sont déjà engagés dans leurs études. Je ne vais pas les déraciner une deuxième fois. J’ai pris la décision définitive de venir ici et je suis heureuse. »

Source : La Presse, de Montréal

Douglas Murray sur les gangs musulmans violeurs, Tommy Robinson et ce qui cloche en Grande-Bretagne

Douglas Murray, essayiste et chroniqueur au Spectator, rejoint Freddy Gray, animateur de l’émission Americano et rédacteur en chef adjoint du Spectator. Cette semaine, la ministre travailliste britannique de l’Intérieur Jess Phillips a rejeté la demande du conseil municipal d’Oldham, qui souhaitait une enquête gouvernementale sur l’horrible scandale des gangs de conditionnement psychologique et de viols dans des dizaines de villes britanniques. Sa décision a suscité une véritable levée de boucliers : Elon Musk, propriétaire de 𝕏, a appelé à l’emprisonnement de Jess Phillips et à la dissolution du parlement par le roi. Les hommes politiques ont-ils sous-estimé la force de l’opinion publique au Royaume-Uni et aux États-Unis ? Douglas Murray et Freddy Gray évoquent également les émeutes de Southport qui se sont conclues par l’emprisonnement de manifestants trop peu politiquement correct et la libération de criminels pour faire de la place en prison pour les manifestants, les passants présents lors de ces manifestations et les twitteurs trop bruyants et trop francs. Ils se demandent pourquoi certains hommes politiques ne veulent pas affronter les problèmes de société au nom du correctivisme politique.

Transcription résumée de la vidéo de Douglas Murray ci-dessus.

Cela fait maintenant un quart de siècle que l’histoire des réseaux de violeurs enfle en Grande-Bretagne.