Selon une étude de l'Agence de Santé du Bas St-Laurent, les garçons des classes maternelles sont mieux préparés que les filles pour le primaire. C'est le résultat d'une étude effectuée auprès de 1546 enfants des classes maternelles de quatre commissions scolaires du Bas-Saint-Laurent afin de mesurer leur indice de développement.
Toutefois, les garçons décrochent nettement plus au secondaire que que les filles. C'est ainsi que seuls 55 % des garçons obtiennent leur diplôme d'étude secondaire en cinq ans, alors que 67,5 % des filles y parvenaient en 2008-2009, un écart de plus de 12 %, selon les données du ministère de l'Éducation.
Globalement, tous sexes confondus, les trois quarts des enfants sont considérés comme prêts pour l'école au regard des indices de développement en santé physique et bien-être, en compétences sociales, communication et connaissances générales. Les deux tiers sont prêts sur le plan du développement cognitif et langagier.
Relativement au développement cognitif et langagier, les garçons (67,4 %) et les filles (62 %) ont un indice inférieur à un échantillon de référence canadien (75 %). La maturité des filles (62 %) est beaucoup moins importante que dans l'échantillon canadien (75 %).
Les enfants vivant en milieu rural se démarquent positivement lorsqu'on les compare aux enfants qui vivent en milieu urbain.
Sources: Le Soleil et CFYX 93
Toutefois, les garçons décrochent nettement plus au secondaire que que les filles. C'est ainsi que seuls 55 % des garçons obtiennent leur diplôme d'étude secondaire en cinq ans, alors que 67,5 % des filles y parvenaient en 2008-2009, un écart de plus de 12 %, selon les données du ministère de l'Éducation.
Globalement, tous sexes confondus, les trois quarts des enfants sont considérés comme prêts pour l'école au regard des indices de développement en santé physique et bien-être, en compétences sociales, communication et connaissances générales. Les deux tiers sont prêts sur le plan du développement cognitif et langagier.
Relativement au développement cognitif et langagier, les garçons (67,4 %) et les filles (62 %) ont un indice inférieur à un échantillon de référence canadien (75 %). La maturité des filles (62 %) est beaucoup moins importante que dans l'échantillon canadien (75 %).
Les enfants vivant en milieu rural se démarquent positivement lorsqu'on les compare aux enfants qui vivent en milieu urbain.
Sources: Le Soleil et CFYX 93
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