Une émission qui tourne au fiasco aux vues des défaillances linguistiques de la présentatrice.
Soutenons les familles dans leurs combats juridiques (reçu fiscal pour tout don supérieur à 50 $)
Carnet voué à la promotion d'une véritable liberté scolaire au Québec, pour une diversité de programmes, pour une plus grande concurrence dans l'enseignement.
« [L’étude] des conflits et échanges en Méditerranée au Moyen Âge : les croisades, la découverte d’une autre civilisation, l’islam », des enseignants se voient systématiquement opposer un refus de parents musulmans à l’étude, par leurs enfants, de la christianisation. Les mouvements migratoires, conséquences des croisades, sont remis en cause au prétexte que les chevaliers n’ont pas existé ou que, dans le meilleur des cas, ils n’ont jamais atteint le Proche-Orient !
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Pour des générations d’enfants d’immigrés, la remise en question de l’histoire ne s’est pas posée. La formule bien connue de “nos ancêtres les Gaulois”, aujourd’hui considérée comme assimilatrice, était conçue comme un moyen d’intégrer dans une même histoire des écoliers venus de pays différents. La France étant une terre de droit du sol, le lien qui unit les nationaux est un lien de communauté choisie qui s’incarne dans une histoire nationale. Or, depuis plusieurs années, dans un nombre croissant d’établissements, les cours d’histoire sont le lieu de contestations ou d’affrontements, de mise en concurrence de mémoires particulières qui témoignent du refus de partager une histoire commune.
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Trois questions provoquent des situations de tension dans certains établissements : l’enseignement du fait religieux ; l’extermination des juifs d’Europe ; le Proche-Orient (le conflit israélo-palestinien). On peut y ajouter la décolonisation, notamment la guerre d’Algérie, et les États-Unis (guerre du Golfe, guerre d’Irak, attentats de septembre 2001).
L’enseignement du fait religieux est souvent assimilé à du catéchisme. Certains parents y voient des tentatives d’évangélisation. »