Selon une nouvelle étude publiée dans la revue Depression Research and Treatment, le taux de dépression, d’obésité et de tendances suicidaires chez les adultes élevés par des couples de même sexe est plus élevé que chez les adultes élevés par une famille traditionnelle formée par des parents hétérosexuels.
Selon l’étude, qui a suivi le développement des enfants jusqu’à l’âge adulte, 51 pour cent de ceux élevés par des couples de même sexe avaient souffert de dépression, comparé à seulement 19,7 pour cent pour ceux élevés dans le cadre de familles traditionnelles hétérosexuelles.
« À 28 ans, les enfants élevés par des parents de même sexe sont 2,25 fois plus susceptibles d’éprouver une dépression que les jeunes adultes de la population générale. La dépression chez l’adulte est associée à de plus fréquents cas de victimisation, d’obésité, de stigmatisation et d’éloignement envers un ou deux parents ».
Trente pour cent des adultes élevés dans des ménages homosexuels avaient des pensées suicidaires en comparaison à 7 pour cent des adultes issus de ménages traditionnels. Aussi, 71,9 pour cent des adultes élevés dans des foyers homosexuels étaient obèses, par rapport à 37 pour cent pour ceux éduqués dans des foyers hétérosexuels.
L’étude montre que les enfants élevés par des homos ont davantage été giflés ou frappés par un des parents ou gardiens. Davantage de ces enfants ont déclaré qu’ils avaient subi des attouchements sexuels, qu’ils avaient été forcés de pratiquer des caresses sexuelles ou qu’ils avaient été contraints à avoir des relations sexuelles.
L’étude contredit les prétentions des militants LGBTQQIAAP[1] selon lesquels il n’y a pas de différence entre le fait d’être élevé par des homosexuels ou par des hétérosexuels.
L’étude se fonde sur les données impartiales de l’Enquête longitudinale nationale sur la santé des adolescents. Elle a été dirigée par le professeur Paul Sullins de l’Initiative Leo. Il travaille avec le Département de sociologie de l’Université catholique d’Amérique depuis de nombreuses années.
La principale limite de l’étude est que la base de données nationale ne contient des informations sur les enfants élevés par seulement vingt couples de même sexe. Mais, ce très faible échantillon se comprend : il y a très peu d’enfants élevés par des homosexuels et encore moins pendant de nombreuses années. Malgré cela, comme le dit le sociologue Mark Regnerus au sujet de cette étude, « si l’estimation du nombre de ménages de même sexe dans les graphiques est imprécise, cela ne mine en rien l’importance des différences entre les groupes. »
L’étude a déjà été attaquée par des blogues LGBTQQIAAP qui ont tendance à bondir sur toute étude aux données négatives pour leur cause.
À la demande pressante de blogueurs homosexuels, en 2012, une enquête à l’encontre de Mark Regnerus de l’Université du Texas à Austin avait été diligentée par son université. Les militants voulaient le faire condamner et faire renvoyer de son poste après qu’il ait publié une étude aux conclusions similaires à celles de Paul Sullins. Bien que l’Université du Texas l’ait soutenu et la revue scientifique qui a publié son article n’est pas retiré celui-ci, il est toujours l’objet de critiques virulentes de la part des militants LGBTQQIAAP.
Un des sites militants ThinkProgress a tenté de salir Sullins en raison de sa foi et de sa prêtrise. L’auteur, l’éditorialiste Zack Ford, en rien un expert en recherche sociologique, a déclaré l’étude « extrêmement viciée » et a illustré son article d’une photo de Sullins dans son habit sacerdotal. Pour Zack Ford l’étude a été réalisée sur les enfants élevés par des homosexuels avant la légalisation du mariage homosexuel, suggérant par là que l’officialisation du mariage entraînerait une différence sensible dans les résultats des enfants. Malheureusement pour Zack Ford, des résultats publiés récemment dans un mémoire d’amicus curiae déposé par l’American College of Pediatricians le 3 avril 2015 devant la Cour suprême des États-Unis indiquent bien un effet possible du mariage homosexuel, mais dans un sens inverse à celui escompté par les militants LGBTQQIAAP : la situation des enfants élevés par des couples de même sexe pourrait empirer quand ces couples homosexuels se marient... Voir le diagramme ci-dessous qui résume les résultats mentionnés dans ce mémoire.
Les défenseurs progressistes aux États-Unis admettent généralement que les enfants s’en sortent le mieux lorsqu’ils sont élevés par leur propre père et mère. La sociologue Sara McLanahan (très « laïque ») de l’Université de Princeton et d’autres experts tout aussi laïques affirment depuis des décennies que les enfants s’en tirent mieux quand ils sont élevés dans des familles traditionnelles hétérosexuelles.
Selon l’étude, qui a suivi le développement des enfants jusqu’à l’âge adulte, 51 pour cent de ceux élevés par des couples de même sexe avaient souffert de dépression, comparé à seulement 19,7 pour cent pour ceux élevés dans le cadre de familles traditionnelles hétérosexuelles.
« À 28 ans, les enfants élevés par des parents de même sexe sont 2,25 fois plus susceptibles d’éprouver une dépression que les jeunes adultes de la population générale. La dépression chez l’adulte est associée à de plus fréquents cas de victimisation, d’obésité, de stigmatisation et d’éloignement envers un ou deux parents ».
Trente pour cent des adultes élevés dans des ménages homosexuels avaient des pensées suicidaires en comparaison à 7 pour cent des adultes issus de ménages traditionnels. Aussi, 71,9 pour cent des adultes élevés dans des foyers homosexuels étaient obèses, par rapport à 37 pour cent pour ceux éduqués dans des foyers hétérosexuels.
L’étude montre que les enfants élevés par des homos ont davantage été giflés ou frappés par un des parents ou gardiens. Davantage de ces enfants ont déclaré qu’ils avaient subi des attouchements sexuels, qu’ils avaient été forcés de pratiquer des caresses sexuelles ou qu’ils avaient été contraints à avoir des relations sexuelles.
L’étude contredit les prétentions des militants LGBTQQIAAP[1] selon lesquels il n’y a pas de différence entre le fait d’être élevé par des homosexuels ou par des hétérosexuels.
L’étude se fonde sur les données impartiales de l’Enquête longitudinale nationale sur la santé des adolescents. Elle a été dirigée par le professeur Paul Sullins de l’Initiative Leo. Il travaille avec le Département de sociologie de l’Université catholique d’Amérique depuis de nombreuses années.
La principale limite de l’étude est que la base de données nationale ne contient des informations sur les enfants élevés par seulement vingt couples de même sexe. Mais, ce très faible échantillon se comprend : il y a très peu d’enfants élevés par des homosexuels et encore moins pendant de nombreuses années. Malgré cela, comme le dit le sociologue Mark Regnerus au sujet de cette étude, « si l’estimation du nombre de ménages de même sexe dans les graphiques est imprécise, cela ne mine en rien l’importance des différences entre les groupes. »
L’étude a déjà été attaquée par des blogues LGBTQQIAAP qui ont tendance à bondir sur toute étude aux données négatives pour leur cause.
À la demande pressante de blogueurs homosexuels, en 2012, une enquête à l’encontre de Mark Regnerus de l’Université du Texas à Austin avait été diligentée par son université. Les militants voulaient le faire condamner et faire renvoyer de son poste après qu’il ait publié une étude aux conclusions similaires à celles de Paul Sullins. Bien que l’Université du Texas l’ait soutenu et la revue scientifique qui a publié son article n’est pas retiré celui-ci, il est toujours l’objet de critiques virulentes de la part des militants LGBTQQIAAP.
Un des sites militants ThinkProgress a tenté de salir Sullins en raison de sa foi et de sa prêtrise. L’auteur, l’éditorialiste Zack Ford, en rien un expert en recherche sociologique, a déclaré l’étude « extrêmement viciée » et a illustré son article d’une photo de Sullins dans son habit sacerdotal. Pour Zack Ford l’étude a été réalisée sur les enfants élevés par des homosexuels avant la légalisation du mariage homosexuel, suggérant par là que l’officialisation du mariage entraînerait une différence sensible dans les résultats des enfants. Malheureusement pour Zack Ford, des résultats publiés récemment dans un mémoire d’amicus curiae déposé par l’American College of Pediatricians le 3 avril 2015 devant la Cour suprême des États-Unis indiquent bien un effet possible du mariage homosexuel, mais dans un sens inverse à celui escompté par les militants LGBTQQIAAP : la situation des enfants élevés par des couples de même sexe pourrait empirer quand ces couples homosexuels se marient... Voir le diagramme ci-dessous qui résume les résultats mentionnés dans ce mémoire.
Les défenseurs progressistes aux États-Unis admettent généralement que les enfants s’en sortent le mieux lorsqu’ils sont élevés par leur propre père et mère. La sociologue Sara McLanahan (très « laïque ») de l’Université de Princeton et d’autres experts tout aussi laïques affirment depuis des décennies que les enfants s’en tirent mieux quand ils sont élevés dans des familles traditionnelles hétérosexuelles.
[1] LGBTQQIAAP = lesbiennes (d’où le L), les gays (G), les bisexuels (B), les trans (T), les « queer » ou allosexuels (Q), ceux qui « se posent des questions » (Q pour « en questionnement »), les intersexués (I), les asexuels (A), les alliés (A pour celles et ceux qui luttent auprès des LGBT contre l’homophobie) et les pansexuels (P pour les personnes qui peuvent être attirées par toute autre personne sans distinction de sexe ou de genre : femme, homme, personne trans, androgyne ou intersexuée). Il existe une version plus longue : LGBTQQIP2SAA qui inclut les « 2 S » les bispirituels, les berdaches des Premières nations qui possèderaient à la fois les esprits masculins et féminins.
Voir aussi
Étude suédoise : les « mariés » de même sexe sont trois fois plus susceptibles de commettre un suicide
Étude suggère des risques pour les enfants élevés par des couples homosexuels
Enfants de couples homosexuels : « toutes les études [militantes] sont invalides »