Maxime Bernier estime que les cours d’éducation sexuelle dans les écoles québécoises briment les droits individuels.
Dans une entrevue accordée à un pasteur baptiste montréalais, le chef du Parti populaire du Canada (PPC) encourage les parents québécois à se battre contre l’imposition de ces cours. Il ne veut cependant pas participer personnellement à cette bataille, question de respecter les champs de compétence ; l’éducation relève de Québec et non pas d’Ottawa.
Le pasteur de l’Église baptiste de l’espoir du grand Montréal George Antonios a publié l’entrevue avec le chef du PPC samedi sur YouTube.
« Ce genre de programme va à l’encontre d’une manière très profonde des valeurs morales, religieuses, de plusieurs personnes », offre en entrée de matière M. Antonios avant de demander à son invité ce qu’il faut faire « pour au moins donner le choix aux parents de ne pas impliquer leurs enfants dans de tels programmes ».
Aux premières protestations venant, celles-là, de l’église catholique en janvier dernier, le Premier ministre François Legault a affirmé qu’aucun enfant ne pourra être exempté de ces cours.
« Je ne veux pas m’ingérer dans les champs de compétence des provinces », a commencé par répondre M. Bernier avant de choisir clairement son camp.
« Il y a une certaine partie de la population qui n’est pas encore au courant que cette législation-là brime les droits individuels des Québécois », a-t-il dit.
« Je vous encourage à faire cette bataille-là pour défendre vos propres droits », a-t-il conseillé.
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Les omissions de l’éducation sexuelle à l’école québécoise
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