Le Devoir nous parlait la semaine passée d'Une École au goût des parents. Il s'agissait de faire l'éloge de l'école publique.
Qu'apprend-on dans l'article ?
Qu'apprend-on dans l'article ?
- « Afin de mieux servir la population environnante à forte dominance juive et italienne, l'école [publique] pourrait offrir, en plus du programme régulier du ministère de l'Éducation, des cours de culture et d'histoire juives, des cours d'italien, mais également d'arts ou un programme sport-études. »
Intéressant. Pourquoi la culture juive alors qu'ECR (culture religieuse) est supposé satisfaire tout le monde ? Et si des parents québécois de souche demandaient des cours de « culture chrétienne » et d'« histoire québécoise » à l'ancienne d'avant la réforme pédagogique ? - « Pourvu qu'on ait un nombre suffisant [environ 25] de personnes intéressées par un programme, on va l'avoir. »
Vingt-cinq parents québécois de souche aussi dans une autre école publique ? Chiche ! - « La Ville de Côte-Saint-Luc ne compte aucune école publique de niveau secondaire depuis que l'école Wagar a fermé il y a cinq ans. Pour M. Wise, qui en était le directeur à l'époque, la baisse démographique a certainement eu un impact. «Mais on n'a pas été aussi compétitifs qu'on aurait dû l'être», a-t-il reconnu. »
Il y a plusieurs écoles privées à Côte-Saint-Luc, on voit là les bienfaits de la concurrence scolaire : l'école publique tente de satisfaire les parents, ces contribuables. Quelle idée novatrice !
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