samedi 20 janvier 2024

Suite au rejet de son appel, Jordan Peterson prêt à perdre sa licence de psychologue plutôt que se soumettre à une rééducation woke (m à j)

On a reproché à Jordan Peterson d'avoir déclaré qu'une des couvertures de Sport Illustrated mettant en vedette une femme « forte et ronde » n'était pas belle.

Cette couverture faisait partie de la volonté de la part du magazine de s'ouvrir à la diversité des corps.

Voilà que Sports Illustrated a annoncé vendredi qu'il licenciait la plupart, sinon la totalité, de son personnel syndiqué. L’avis est venu des membres du syndicat du magazine qui l’ont partagé sur les réseaux sociaux.

Le transgenre Kim Petras en couverture du numéro « maillot de bain » 2023

L’année dernière, le magazine a été plongé dans un scandale après que certains aient affirmé que la rédaction utilisait l’intelligence artificielle pour produire certains de ses articles, sous le nom de faux auteurs.

En décembre, le PDG Ross Levinsohn a été licencié par le conseil d’administration. Le président des opérations et chef de l’exploitation Andrew Kraft, le président des médias Rob Barrett et l’avocate de la société, Julie Fenster, ont également été licenciés.

Le périodique, publié depuis 1954, également perdu de vue son public principal en mettant la photo d'un transgenre en couverture de leur célèbre édition « maillots de bain », à commencer par Leyna Bloom en 2021 et Kim Petras (ci-dessus) en 2023. Sport Illustrated a également commencé à utiliser des modèles cliniquement obèses dans sa très populaire édition annuelle « maillots de bain » (ci-dessous, celle corpulente de 2022), publiée depuis 1964. Tout cela n'est pas sans rappeler le faux pas transgenre de Bud Light à la suite d'une volonté de se conformer à la doxa diversitaire.  Faux pas très coûteux pour la brasserie.




Billet du 17 janvier

Un tribunal de l’Ontario a rejeté l’appel de Jordan Peterson d’une décision antérieure qui donnait raison à l’Ordre des psychologues de l’Ontario.

Jordan Peterson affirme que « la guerre vient à peine de commencer » après avoir échoué dans sa tentative visant à faire interdire par les tribunaux la décision de l’Ordre des psychologues de l’Ontario de l’obliger à suivre une formation corrective sur les médias sociaux.

Mardi, un groupe de trois juges de la Cour d’appel de l’Ontario a rejeté la demande d’autorisation d’appel de M. Peterson contre une décision antérieure de la Cour divisionnaire de l’Ontario. Aucun motif n’a été donné, ce qui est habituel pour la cour d’appel.

« Un tribunal supérieur au Canada a décidé que l’Ordre des psychologues de l’Ontario avait le droit de me condamner à un camp de rééducation. Il n’y a plus d’autres voies légales qui s’offrent à moi maintenant », a écrit Peterson sur X. « Le choix est de capituler devant les petits bureaucrates et la foule en colère ou de perdre ma licence professionnelle ».

M. Peterson a déclaré que l’université avait « gagné cette manche », mais que la guerre n’était pas terminée.

« Il n’y a rien que vous puissiez me prendre que je ne sois pas prêt à perdre », a-t-il écrit. « Alors, faites attention. Sérieusement. Vous êtes prévenus. »

Howard Levitt, qui représentait le célèbre psychologue et auteur de livres à succès, a déclaré qu’ils n’étaient pas en mesure d’interjeter appel.

« Je pense que cela va permettre aux organismes de réglementation d’être plus agressifs », a déclaré M. Levitt, avocat spécialisé dans le droit du travail à Toronto et chroniqueur au Financial Post.

Dans un autre gazouillis, posté mercredi matin, M. Peterson a déclaré qu’il souhaitait que « l’ensemble des sous-fifres actuels de l’Ordre des psychologues s’excusent publiquement et démissionnent ». Il a lancé un sondage sur X afin que ses partisans puissent parier sur le fait que cela se produira ou que son permis d’exercer la psychologie sera suspendu. 

Comment les médias traitent le collège catholique Stanislas (seuls les témoignages à charge sont retenus)

Geoffroy Lejeune sur l'enquête du Journal du dimanche sur le traitement médiatique concernant l'établissement Stanislas : « On a découvert la manière dont certains médias, publics et privés, ont décidé de mettre une cible sur Stanislas et détruire Stanislas et sa réputation ».

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École privée : sortir de l’hypocrisie

Mise au point de Charlotte d’Ornellas sur les attaques contre Stanislas:

21 janvier 1948 — le drapeau du Québec flotta pour la première fois sur l’Hôtel du Parlement

C’est en l’an 507 qu’apparaît pour la première fois la fleur de lys sur le drapeau de Clovis, Roi des Francs. La fleur de lys devait à jamais symboliser la royauté française.

Au XVIe siècle, la fleur de lys fait son apparition en Nouvelle-France lorsque Jacques Cartier, débarquant à Gaspé, plante une croix portant les armoiries de la France où sont représentées trois fleurs de lys d’or.

L’ancêtre direct de notre drapeau actuel est la bannière dite de « la bataille de Carillon ». De couleur bleu ciel, elle portait au centre l’écu de France et les coins étaient ornés de quatre fleurs de lys d’argent.

Après la chute de Québec en 1760, les couleurs françaises disparaissent de notre coin de pays. Elles furent remplacées par celles de la Grande-Bretagne, soit l’Union Jack.

Après 1760, le peuple du Québec manifeste régulièrement son intention d’adopter un drapeau national. En 1832, les Patriotes choisissent le tricolore vert blanc et rouge disposé en bandes horizontales. Il deviendra le drapeau de la révolte de 1837-38. Il sera cependant abandonné après que la révolte des Patriotes fut écrasée.

En 1902, l’abbé Filiatrault, de Saint-Hyacinthe, hisse sur son presbytère un drapeau semblable à celui de Carillon, sauf que les fleurs de lys sont blanches. Ce drapeau fut, à ce qu’on dit, très bien accueilli par la population.

En 1903, on ajoute à ce drapeau un Sacré-Coeur entouré de feuilles d’érables. Ce drapeau deviendra en 1926, par vote de l’Assemblée législative, l’emblème de la Société Saint-Jean-Baptiste de Québec.

En 1935, l’Assemblée législative décide d’enlever le Sacré-Coeur sur le drapeau, car la présence d’un emblème religieux pose des problèmes. Cette année-là, le drapeau prend le nom de fleurdelisé.

Le 2 décembre 1947, le député René Chaloult dépose une motion à l’Assemblée qui doit être débattue le 21 janvier 1948. Maurice Duplessis est alors Premier ministre du Québec. Il n’est pas opposé au fleurdelisé mais il a quelques réserves. Il pense placer au centre les armoiries du Québec, ou encore une couronne rouge, qui symboliserait celle de France ou d’Angleterre.

Le matin même où la motion Chaloult doit être discutée en Chambre, un arrêté reçoit l’approbation unanime du Conseil des ministres, consacrant le fleurdelisé comme drapeau officiel du Québec.

C’est donc le 21 janvier 1948, peu avant trois heures, que le drapeau du Québec, tel que nous le connaissons aujourd’hui, flotta pour la première fois sur l’Hôtel du Parlement. Devant les députés qui l’ovationnent, Maurice Duplessis présente son drapeau au Québec. Le fleurdelisé devient l’emblème distinctif du Québec, des Québécoises et des Québécois.

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Histoire — Le 8 juillet 1758 eut lieu la victoire de Fort Carillon

Étude — Les bloqueurs de puberté administrés aux enfants risquent d'abaisser leur quotient intellectuel

Les puissants « bloqueurs de puberté » administrés à des centaines de jeunes gens qui ne savent pas exactement quel est leur sexe risquent de faire baisser leur quotient intellectuel, a mis en garde un éminent expert scientifique.

Dans une étude alarmante, Sallie Baxendale (ci-contre), professeur de neuropsychologie clinique à l’University College London, a appelé à des recherches « urgentes » sur l’impact de ces médicaments sur les fonctions cérébrales des enfants.

L’année dernière, le NHS England a cessé de prescrire systématiquement ces médicaments, qui stoppent les changements corporels de la puberté, après qu’une étude accablante a révélé que le traitement pouvait interrompre le processus de maturation du cerveau.

Mais les cliniques privées spécialisées dans les troubles de l’identité sexuelle continuent de prescrire des suppresseurs de puberté aux moins de 16 ans au Royaume-Uni, et les activistes transgenres insistent sur l’innocuité de ces médicaments.

Aujourd’hui, le professeur Baxendale a présenté des preuves de « l’impact préjudiciable » de ces médicaments controversés sur le quotient intellectuel des jeunes.

Sallie Baxendale, professeur de neuropsychologie clinique à l’University College London, demande que des recherches soient menées d’urgence sur l’impact des médicaments sur les fonctions cérébrales des enfants. Sallie Baxendale, professeur de neuropsychologie clinique à l’University College London, a demandé des recherches « urgentes » sur l’impact des médicaments sur les fonctions cérébrales des enfants.

De puissants médicaments « bloqueurs de puberté » administrés à des centaines de jeunes gens désorientés quant à leur sexe risquent d’abaisser considérablement leur QI

Les puissants médicaments « bloqueurs de puberté » administrés à des centaines de jeunes gens qui ne savent pas trop à quoi s’en tenir sur leur sexe risquent de faire baisser considérablement leur QI.

Une étude portant sur 25 jeunes filles traitées avec des bloqueurs de puberté a révélé une baisse moyenne de sept points de leur QI. Une patiente a subi une « perte significative » de 15 points ou plus, a déclaré le professeur Baxendale. Les jeunes filles souffraient toutes d’une « puberté précoce » qui les conduisait à l’âge adulte avant l’heure.

« Les jeunes et leurs familles ne sont pas en mesure de donner un consentement véritablement éclairé pour ces traitements, car leurs médecins ne peuvent pas leur dire quels seront les effets à long terme sur leur développement cognitif », a déclaré le professeur Baxendale.

Stephanie Davies-Arai, de Transgender Trend, qui a fait campagne contre la prescription de bloqueurs de puberté aux jeunes, a déclaré : « Aucune étude appropriée à long terme n’a jamais été réalisée pour prouver leur innocuité.

C’est un mythe que les bloqueurs sont “réversibles” lorsqu’ils sont administrés au moment de la puberté naturelle. Ils empêchent une période critique de croissance et de développement cognitif ».
 

Points clés de l’étude
  1. L’adolescence est une période critique du développement neurologique et la puberté joue un rôle essentiel dans ces processus neuro-développementaux.
  2. La suppression de la puberté a un impact sur la structure du cerveau et le développement des fonctions sociales et cognitives chez les mammifères ; les effets sont complexes et souvent spécifiques au sexe.
  3. Aucune étude humaine n’a exploré systématiquement l’impact neuropsychologique de la suppression de la puberté chez les adolescents transgenres avec une base de référence et un suivi adéquats.
  4. Des études animales, des rapports de cas uniques et des études sur l’impact des bloqueurs de puberté chez les enfants présentant une puberté précoce indiquent que ces traitements peuvent être associés à des réductions du QI.
  5. L’impact de la suppression de la puberté sur les mesures des fonctions neuropsychologiques devrait être une priorité urgente pour les recherches futures.

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