Le principe de précaution — en français démodé, la prudence — a récemment été érigé en étalon de toutes les décisions gouvernementales, décisions de plus en plus centralisées et souvent planétaires.
On a donc eu récemment la grippe porcine A/H1N1 décrétée pandémie mondiale par l'OMS et qui aurait fait moins de morts que la grippe saisonnière. Mais, principe de précaution oblige, les gouvernements se sont précipités pour dépenser des milliards en campagnes de vaccination et de propagande peu suivies dans plusieurs pays (pas le Québec où nos médias centralisés ont réussi à « informer » les citoyens). Gouvernements qui se retrouvent avec des millions de doses inutilisées. Ce cafouillage serait d'ailleurs la faute des nouveaux médias selon l'OMS !
On a actuellement le « nuage de cendres » qui — principe de précaution oblige — immobilise le trafic aérien européen. Plusieurs compagnies aériennes commencent à mettre en doute la réalité des menaces basées sur des modèles informatiques du Met Office britannique (voir Climategate) et non des mesures empiriques. Voir « Vols d'essai concluants pour KLM et Lufthansa » et « Après KLM et Lufthansa, Air France a bravé le nuage de cendres entre Roissy et Toulouse ».
Qu'en est-il de l'éducation ?
Tout à coup là, en éducation, plus de principe de précaution, mais un monopole de plus en plus grand de la part de l'État sur les programmes et en matières de pédagogie. Il suffit de contempler le panorama québécois : réformes à gogo appliquées à toutes les écoles même privées sans subventions, impositions d'en haut du « renouveau pédagogique », du cours d'éthique et de culture religieuse à toutes les cohortes en même temps, sans aucune exemption même sur demande motivée des parents. Des experts s'opposent à ces réformes, identifient des risques, des dangers, Aucune importance, il faut les appliquer à tous !
Non, quand il s'agit d'imposer l'ordre du jour « éducatif » des gouvernements, plus aucune prudence apparemment, mais un monopole jacobin intolérant au nom de la tolérance et de gestion de la diversité.
On a donc eu récemment la grippe porcine A/H1N1 décrétée pandémie mondiale par l'OMS et qui aurait fait moins de morts que la grippe saisonnière. Mais, principe de précaution oblige, les gouvernements se sont précipités pour dépenser des milliards en campagnes de vaccination et de propagande peu suivies dans plusieurs pays (pas le Québec où nos médias centralisés ont réussi à « informer » les citoyens). Gouvernements qui se retrouvent avec des millions de doses inutilisées. Ce cafouillage serait d'ailleurs la faute des nouveaux médias selon l'OMS !
On a actuellement le « nuage de cendres » qui — principe de précaution oblige — immobilise le trafic aérien européen. Plusieurs compagnies aériennes commencent à mettre en doute la réalité des menaces basées sur des modèles informatiques du Met Office britannique (voir Climategate) et non des mesures empiriques. Voir « Vols d'essai concluants pour KLM et Lufthansa » et « Après KLM et Lufthansa, Air France a bravé le nuage de cendres entre Roissy et Toulouse ».
Qu'en est-il de l'éducation ?
Tout à coup là, en éducation, plus de principe de précaution, mais un monopole de plus en plus grand de la part de l'État sur les programmes et en matières de pédagogie. Il suffit de contempler le panorama québécois : réformes à gogo appliquées à toutes les écoles même privées sans subventions, impositions d'en haut du « renouveau pédagogique », du cours d'éthique et de culture religieuse à toutes les cohortes en même temps, sans aucune exemption même sur demande motivée des parents. Des experts s'opposent à ces réformes, identifient des risques, des dangers, Aucune importance, il faut les appliquer à tous !
Non, quand il s'agit d'imposer l'ordre du jour « éducatif » des gouvernements, plus aucune prudence apparemment, mais un monopole jacobin intolérant au nom de la tolérance et de gestion de la diversité.
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