vendredi 22 janvier 2021

22 janvier 1890 : le français aboli comme langue officielle et d'enseignement au Manitoba

Durant les années qui ont suivi la pendaison de Louis Riel en novembre 1885, les tensions linguistiques sont à leur comble dans un Canada divisé entre catholiques et protestants, entre francophones et anglophones.

Au Canada anglais, un fort mouvement d’opposition au fait français s’organise. Parmi les figures de proue de ce mouvement, D’Alton McCarthy, bras droit de John A. Macdonald à partir de l’élection des conservateurs en 1878. McCarthy est convaincu qu’on aurait dû éliminer le français au Canada dès la Conquête. Il milite pour un fédéralisme centralisateur, projet menacé, selon lui, par la présence des francophones et des traditions juridiques françaises (Code civil) au sein de la Confédération.

Sous son influence, certains politiciens tentent de l’imiter, en cherchant à éradiquer le fait français dans l’Ouest canadien. Ils tentent ainsi d’éliminer les garanties en faveur du français contenues dans l’Acte des Territoires du Nord-Ouest de 1875. Le Manitoba était majoritairement francophone en 1870. C’est dans un tel contexte que le 22 janvier 1890, le gouvernement manitobain de Thomas Greenway soumet un projet de loi qui vise l’abolition du français comme langue officielle du Manitoba. La loi est adoptée en mars 1890. La même année, le gouvernement Greenway adopte une loi visant l’élimination des écoles publiques catholiques dans la province.

Avant le Manitoba

Avant la création de la Confédération canadienne en 1867, la Grande-Bretagne et le gouvernement canadien entreprirent le processus d'annexion des terres arrosées par des rivières coulant vers la Baie d'Hudson. Toutefois, le Canada déclara sa prise de possession des terres avant que la population locale ne soit consultée, soit quelque 100 000 personnes. La plupart étaient des Esquimaux, des Amérindiens (Cris, Tchippewayans, Couteaux-Jaunes, Esclaves, Flancs-de-Chien, Lièvres et Kaskas) et des Métis. Les Métis des territoires du Nord-Ouest, appelés aussi les «Sang-Mêlés», formaient le groupe le plus revendicateur et constituait trois groupes linguistiques distincts: les Métis de langue française (majoritaires), les Métis anglophones d'origine écossaise, dits «de la baie d'Hudson», et les Métis assimilés aux Amérindiens et parlant leur langue autochtone. Les habitants de ces territoires résistèrent agressivement à la transaction imposée.

Ce furent les Métis de la Rivière-Rouge (région de Winnipeg), qui se sentirent les plus spoliés par l'achat des Territoires du Nord-Ouest. Leur population était d'environ 12 000 habitants, dont 5757 Métis francophones, 4083 Métis anglophones, 1500 Canadiens (marchands de fourrure et spéculateurs fonciers) et 558 Amérindiens. Au cours de la décennie suivante, près de 4000 Canadiens français de la province de Québec iront s'installer au Manitoba. Les 10 000 Métis vivaient sur ces terres depuis 200 ans; ils chassaient le bison, possédaient des fermes (découpées en rangs comme sous le Régime français) et pratiquaient le commerce avec les Américains. Les arpenteurs du gouvernement arrivèrent en propriétaires. Tout en menaçant les Métis d'expropriation, ils se réservèrent les meilleures terres et ne tentèrent aucune conciliation.

Les Métis décidèrent de s'opposer aux arpenteurs fédéraux et, sous la conduite de Louis Riel (1844-1885), ils créèrent un gouvernement provisoire et négocièrent l'entrée de la province du Manitoba dans la Confédération canadienne. Finalement, ils exigèrent du gouvernement fédéral le droit à la propriété de leurs terres et la reconnaissance de leurs droits religieux.

Cependant, l'un des arpenteurs, Thomas Scott, un orangiste anticatholique, se rebella contre le gouvernement de Louis Riel et, après un procès sommaire, finit par être exécuté en 1870. Cet événement mit le feu aux poudres et la crise prit une ampleur nationale. Si les francophones voyaient en Riel le défenseur de la religion catholique et de la langue française dans l'Ouest, les anglophones de l'Ontario, pour leur part, voyaient T. Scott comme un martyr qu'il fallait venger; Riel fut désigné comme le principal instigateur de la rébellion antigouvernementale.

Comment Hollywood (Cecil B. DeMille) en 1940 voyait Louis Riel, les métis, la rébellion de 1885 et la prairie de la Saskatchewan... Après la rébellion de la rivière Rouge de 1869-70, nombre de Métis se déplacèrent du Manitoba vers la Saskatchewan pour fonder la colonie de Batoche. Mais des colons anglophones commencèrent à arriver d'Ontario, imposant — comme au Manitoba — la distribution des terres selon le système de concessions carrées « à l'anglaise » plutôt que d'après le système seigneurial de la Nouvelle-France de bandes perpendiculaires à la rivière (les rangs) que les Métis avaient hérité de leurs ancêtres canadiens français.

La naissance du Manitoba (1870)

Le premier ministre du Canada, John A. Macdonald, constata qu'une action militaire était impossible au Manitoba, puisque les distances à parcourir étaient trop considérables, en raison de l'absence de lien ferroviaire vers l'ouest. De plus, comme le gouvernement britannique n'avait pas encore ratifié le transfert des Territoires du Nord-Ouest au Canada, les Métis n'avaient enfreint aucune loi canadienne.

Après d'intenses négociations, le gouvernement canadien décida de créer la province du Manitoba (du nom proposé par Louis Riel), en tenant compte de la plupart des revendications des Métis. Il acceptait de ne pas priver les Métis de leurs terres, de leur réserver une grande étendue de territoire pour la chasse, et de reconnaître leurs droits à la religion catholique et à la langue française. Le 2 mai 1870, John A. Macdonald présenta au Parlement fédéral la Loi sur le Manitoba, qui recevait la sanction royale le 12 mai.

En 1870, la province du Manitoba couvrait alors un minuscule territoire (36 000 km², un peu plus que la superficie de la Belgique) dans la vallée de la rivière Rouge du Manitoba. À cette époque, la province était connue comme «la province au timbre-poste» , en raison de sa forme carrée et de la faible étendue de son territoire qui ne couvrait que le 1/18e de la taille actuelle du Manitoba.

De plus, le Manitoba de 1870 n'était pas égal aux autres provinces, car le gouvernement fédéral lui refusait la maîtrise de ses ressources naturelles (forêts, ressources minérales, eaux, etc.) et de la colonisation de son territoire au cours des 60 années ultérieures. Une décennie plus tard, les limites du territoire furent élargies en 1881 (182 000 km² de plus), puis en 1912 pour acquérir les proportions actuelles de 650 000 km².

Mais les anglophones de l'Ontario trouvèrent dangereuses les concessions faites à cette province en matière de langue. Ils craignaient que le Manitoba ne devienne une autre province française et que des Canadiens français du Québec n'émigrent alors massivement dans l'Ouest, ce qui risquait de d'augmenter la petite majorité francophones manitobaine. Pour contenir cette possibilité, il fallait organiser une immigration anglophone (ou à défaut non francophone) intensive et rapide de cette province.

Droits linguistiques

Le recensement de 1871 chiffrait la population à 5700 Métis francophones, 4000 Métis anglophones et 1600 représentants de population blanche (Écossais et Canadiens français). Les francophones étaient donc en droit de s'attendre à une certaine protection linguistique; ils l'ont en fait obtenue aussi longtemps qu'ils ont formé une importante minorité.

Ainsi, parallèlement à l'article 133 de la Loi constitutionnelle de 1867, l'article 23 de la Loi sur le Manitoba prévoyait que l'anglais et le français étaient permis à la Législature manitobaine et que les registres, procès-verbaux et lois devaient être rédigés et publiés dans les deux langues; les deux langues pouvaient également être utilisées dans les tribunaux manitobains de la province. L'article 22 de la Loi de 1870 sur le Manitoba garantissait un système d'écoles publiques confessionnelles subventionnées par la province.

Imposition de l'anglais au nom de « l'unité »

Illustration faisant la promotion des écoles non confessionnelles anglaises (« pour tous ») au Manitoba après 1890

L'imposition d'une solution unique et du monopole étatique en matière scolaire est souvent faite sous le prétexte de rassembler les élèves, de ne pas les diviser, d'apprendre à « vivre ensemble » au-delà des barrières confessionnelles.

Ce fut le cas au Manitoba quand les écoles catholiques et francophones furent fermées et remplacées par des écoles anglophones et non catholiques.

En 1890, le Manitoba vota la Loi sur les écoles du Manitoba, abolissant le français comme langue officielle de la province, et retirant le financement pour les écoles catholiques. Ceci était en contradiction à la Loi sur le Manitoba de 1870. Les catholiques du Manitoba, encouragés par le premier ministre John A. Macdonald, en appelèrent à la Cour suprême de la province, mais la Loi sur les écoles imposant l'anglais fut soutenue. Ils portèrent l'affaire en appel à la Cour suprême du Canada, qui trancha en faveur de la Loi sur le Manitoba d'origine. Toutefois, le Comité judiciaire du Conseil privé au Royaume-Uni annula la décision, favorisant la Loi sur les écoles. Pendant ce temps, en 1892, les Territoires du Nord-Ouest abolirent également le français comme langue officielle.

L’élection fédérale de 1896 portera sur la question des écoles au Manitoba. Le Parti libéral dirigé par Wilrid Laurier prône l’autonomie provinciale en matière d’éducation et gagne l’élection. Laurier négocie avec le gouvernement provincial un accord appelé le compromis Laurier-Greenway qui autorise l’enseignement bilingue (anglais-français, anglais-allemand, anglais-polonais, anglais-ukrainien, etc.) alors que l’enseignement de la religion se fera en dehors des heures normales de classe.

En 1916, le Manitoba revient sur le compromis-Greenway : l'anglais sera la seule langue d'enseignement.

Les écoles bilingues étaient interdites. En ce faisant, il supprimait les écoles protestantes bilingues allemandes de la communauté pacifiste mennonite, reniant de la sorte ses promesses faites quelque 40 ans plus tôt. Bien que germanophones, les mennonites se voulaient strictement neutres et pacifiques. Ajoutons qu'ils étaient venus de Russie où ils s'étaient établis depuis de nombreuses générations et que la Russie était l'alliée du Canada à l'époque.


Le point 10 de cette entente solennelle stipule clairement que les écoles mennonites jouiraient d'une autonomie pleine et entière. C'est munis de cette promesse que les mennonites décidèrent de quitter l'Ukraine et la Russie pour s'établir au Manitoba. À la suite du reniement de cette promesse, de nombreux mennonites émigrèrent au Mexique ainsi que d'autres pays d'Amérique latine.

Les écoles bilingues anglais-ukrainien, anglais-polonais furent également abolies au Manitoba en 1916 alors que l'Empire Russe qui comprenait la Pologne et l'Ukraine était l'allié du Canada.

Il faudra attendre l'adoption par le gouvernement Schreyer de la loi 113 du Manitoba en 1970 pour que le français soit  à nouveau reconnu en droit comme langue d’enseignement sur un pied d’égalité avec l’anglais.


L’éléphant Babar accusé de faire l’apologie du colonialisme

D’après la radio publique française France Culture, les premiers Babar réalisés dans les années 1930 seraient considérés comme racistes et faisant l’apologie du colonialisme.

Babar a fêté son anniversaire, mais il aurait peut-être mieux valu s’en passer… À l’occasion des 90 ans de la fameuse histoire de l’éléphant en costume vert, France Culture a pointé du doigt la morale et les messages des livres pour enfants. La radio s’est, en effet, interrogée jeudi 21 janvier : « Babar est la bonhomie incarnée. Mais derrière l’éléphant tiré à quatre épingles, faut-il lire une apologie du colonialisme ? »

Dans une vidéo du média, l’anthropologue Gilles Boëtsch a assuré qu’il était important de « dire que ces livres pour enfants ne sont plus forcément pour enfants aujourd’hui ». Cette histoire est sortie en 1931. La période a été marquée par la montée du nazisme en Europe et… par le colonialisme. Gilles Boëtsch a rappelé qu’en 1931 « l’exposition coloniale a eu lieu au bois de Vincennes », afin d’y exposer les prouesses de la France et présenter « les peuples qu’on avait colonisés ». Le livre « Babar en voyage » serait considéré comme « raciste » selon France Culture. Des Africains y seraient dépeints comme « des vilains cannibales sauvages ». Un passage supprimé plus tard, rappelle la radio.

« Ça rappelle les populations colonisatrices »

 

Or, l’histoire de Babar ne ferait que reprendre les codes de la société de 1931 dans lesquels vivaient les deux auteurs parisiens : le couple Jean et Cécile de Brunhoff. Alors qu’il n’est encore qu’un éléphanteau, Babar est chassé de sa forêt par un braconnier. Il se retrouve en ville et adopte les coutumes des humains. Il rentre ensuite dans sa forêt et devient le roi. Babar apprend alors aux autres éléphants à se « civiliser » comme il l’a fait. « Il fait penser à un Africain qui serait allé en France et qui aurait assimilé la culture française, donc la culture “coloniale” par rapport à l’Afrique, et qui serait revenu au pays avec le costume trois pièces etc », a commenté Gilles Boëtsch sur France Culture. « Babar va construire des villes » dont Célesteville, avec des théâtres et ses soirées mondaines et « tous les éléphants en costumes ». Gilles Boëtsch en a ainsi conclu : « Évidemment ça rappelle les populations colonisatrices, ça c’est évident ».

Source : V A

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Biden signe décret qui permet aux étudiants nés hommes de concourir chez les femmes s’ils se sentent femmes

Le président démocrate Biden a profité de ses premiers jours de fonction pour annoncer un décret qui, selon certains, obligera les écoles à inclure les athlètes nés hommes qui se disent transgenres dans les sports féminins.

L’ordonnance, intitulée « Prévention et lutte contre la discrimination fondée sur l’identité de genre ou l’orientation sexuelle », a été signée quelques heures seulement après l’entrée en fonction du nouveau président des États-Unis mercredi soir. 

Le trans né homme Gabrielle Ludwig, 52 ans et 2 m, joue dans l’équipe universitaire féminine à Santa Clara (Californie)
 
L’ordonnance ajoute : « C’est la politique de mon administration de prévenir et de combattre la discrimination fondée sur l’identité de genre ou l’orientation sexuelle ».

Biden affirme que de telles politiques anti-discrimination sont « inscrites dans les lois anti-discrimination du pays » et s’alignent sur une décision de la Cour suprême de 2020 interdisant « la discrimination sur la base de l’identité de genre de quiconque ».

Certains spéculent que les écoles publiques verront leur financement retiré si elles ne permettent pas aux athlètes féminines transgenres de participer à des sports féminins.

Le décret de Biden divise déjà les militants sur Internet. Bien qu’il ait été applaudi par les partisans des droits des transgenres, d’autres disent que ce décret pourrait involontairement discriminer les femmes « cis » (non transsexuelles).

La journaliste Abigail Shrier a écrit sur Twitter : « Le premier jour, Biden éviscère unilatéralement le sport féminin. Tout établissement d’enseignement qui reçoit un financement fédéral doit admettre des athlètes biologiquement masculins dans les équipes féminines, les bourses féminines, etc. Un nouveau plafond de verre vient d’être placé au-dessus des filles. »

Erielle Davidson, de l’Institut juif pour la sécurité nationale d’Amérique, a écrit : « Triste journée pour le sport féminin. Les femmes doivent rivaliser avec des hommes biologiques au risque de se blesser et de perdre leur titre, grâce à un nouvel ordre exécutif de Biden. Ne me dites jamais que c’est “pro-femme”. Ce ne l’est pas. C’est destructeur et malveillant. »

Peu de temps après, le mot-croisillon #BidenErasedWomen a commencé à être tendance sur Twitter.

Cependant, les militants LGBT ont riposté, affirmant que ce décret était simplement la tentative de Biden de progresser vers une société plus inclusive — comme il s’était engagé à le faire lors de son discours inaugural. 

Mais Tony Perkins, président du Family Research Council, a déclaré que Biden menace les croyants et va à l’encontre des faits.

« D’un trait de plume, le président Joe Biden a renversé la législation vieille de 50 ans sur les droits civiques, éliminant les protections pour les croyants », a déclaré Perkins dans un communiqué. « Le président Biden procède unilatéralement à un changement de politique radical qui n’a pas toujours réussi à obtenir l’approbation du Congrès, l’organe chargé par la Constitution d’adopter des lois. »

« Malheureusement, l’administration Biden prévoit d’aller beaucoup plus loin dans son assaut contre la réalité biologique et devrait ordonner aux écoles d’abolir les sports féminins et de forcer les garçons et les filles à utiliser les mêmes douches et les mêmes vestiaires, et peut-être même à coucher dans les mêmes chambres lors d’excursions scolaires », a déclaré Perkins. « Le parti qui prétend être le parti de la science fait progresser dès le premier jour des politiques qui nient la réalité. »

The Guardian, organe de presse britannique de gauche, a salué ce décret en titrant « L’ordonnance anti-discrimination sexuelle de Joe Biden offre de l’espoir aux jeunes athlètes trans ».

Le sportif australien qui se fait appeler Hannah Mouncey (1 m 90, 100 kg), anciennement joueur de la sélection masculine de handball, dans une compétition de handball féminine.

 

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