Apparently, a Jewish safety patrol called Jforce has shown up at the University of Toronto.
— 𝗡𝗶𝗼𝗵 𝗕𝗲𝗿𝗴 ♛ ✡︎ (@NiohBerg) September 7, 2024
Their goal is to protect Jewish students from insane pro-Hamas encampments, harassment and assaults like we saw earlier in the spring.
This is making them so mad lol. pic.twitter.com/fCWj34JoZZ
Carnet voué à la promotion d'une véritable liberté scolaire au Québec, pour une diversité de programmes, pour une plus grande concurrence dans l'enseignement.
samedi 7 septembre 2024
Vigiles juifs patrouillent le campus de l'Université de Toronto
À la fin du XIXe siècle, l’État belge décide que les enfants retourneraient chez eux à midi afin de maintenir des liens familiaux
Aujourd'hui au Québec, le parti politique Québec Solidaire prône un repas dit « gratuit » à l'école pour tous (une mesure qui coûterait près de 2 milliards de $ par an, payée par les parents qui paient leurs impôts).
Source : C'était au temps où Bruxelles bruxellait
Voir aussi
Ce petit texte de Mathieu Bock-Côté sur la proposition de repas dits « gratuits » (quelqu'un paie...) :
Québec solidaire a proposé récemment ce qu’il appelle un «programme universel d’alimentation scolaire».
Il tient dans une idée simple, censée remporter immédiatement l’adhésion: chaque enfant devrait avoir droit à un repas gratuit à l’école.
QS avance deux arguments.
D’abord, un enfant sur cinq se présenterait à l’école le ventre vide. C’est évidemment un scandale.
Responsabilité
Ensuite, cela permettrait de soutenir les familles en général dans un contexte de hausse du coût du panier d’épicerie.
Mais nous sommes ici, quoi qu’on en dise, devant une fausse bonne idée.
Pour une raison morale d’abord: c’est la responsabilité élémentaire des parents de nourrir leur marmaille.
Une société qui demande à l’État de se substituer aux parents pour une tâche aussi élémentaire les infantilise.
C’est l’État-nounou, ce que reconnaît involontairement Sol Zanetti sur X en demandant: «Qui a envie d’arrêter de préparer des lunchs?»
Comme si le collectif devait en toutes circonstances se substituer aux individus. Sans s’en rendre compte, une telle société brise ses ressorts.
Théoriquement, le débat devrait se clore ici. Chacun devrait reprendre ses esprits.
Certes, l’État peut soutenir les familles en difficulté, quand des enfants viennent à l’école le ventre vide, parce que leurs parents n’ont pas su remplir leur devoir vital, il doit les aider.
Mais on ne saurait en tirer un programme universel.
Il y a une différence entre aider les pauvres et faire comme si tout le monde était désœuvré.
D’autant plus que ces repas, quoi qu’en dise QS, ne seront pas «gratuits». Il n’existe rien de gratuit en ce monde. Ils seront payés par l’argent public. Donc par l’impôt.
On l’oublie trop souvent.
Il existe évidemment des dépenses plus graves. Mais cette proposition est révélatrice de la mentalité de QS, qui considère que la responsabilité des parents devant leurs enfants est un réflexe réactionnaire.
La boucle est bouclée.