samedi 8 février 2020

Le Prof. Jordan Peterson se remet d'une grave dépendance aux tranquillisants, aurait failli mourir

Le professeur Jordan Peterson (ci-contre) se remettrait d’une grave dépendance aux tranquillisants de la famille des benzodiazépines. Il aurait récemment failli mourir dans un coma induit, a déclaré sa fille Mikhaila.

Il est soigné dans une clinique en Russie après avoir été mal diagnostiqué à plusieurs reprises dans plusieurs hôpitaux en Amérique du Nord, a-t-elle déclaré.

Le psychologue de l’Université de Toronto, devenu un héros intellectuel auprès d’un public mondial en conjuguant sa théorie de s’améliorer soi-même avec une rhétorique anti-progressiste

Des médecins avaient prescrit au professeur torontois ces tranquillisants pour la première fois il y a quelques années pour traiter son anxiété apparue après l’apparition, dans les termes de sa fille Mikhaila, d’une réaction auto-immune à la nourriture. Depuis lors, Jordan Peterson avait une diète principalement carnivore. Sa dépendance physique aux benzodiazépines est devenue évidente pour sa famille en avril dernier, lorsque la femme de Peterson, Tammy, a été diagnostiquée d’un cancer.

Cette dernière année, qui l’a vu se retirer de la vie publique après être rapidement devenu l’un des auteurs les plus célèbres du monde, a été un « enfer absolu », a déclaré Mikhaila, elle-même une conférencière bien connue en matière de régime alimentaire qui préconise de ne manger que du bœuf.


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En novembre, il s’est rendu dans un centre de réadaptation à New York. Jordan Peterson a déjà décrit son long combat avec la dépression.

Jordan Peterson est chroniqueur au National Post, sa plus récente chronique remonte à novembre.

Son état s’est aggravé pendant l’hiver, a déclaré Mikhaila. Il a été conduit à des pensées suicidaires par un trouble du mouvement appelé akathisie, un effet secondaire bien connu de divers médicaments pour les maladies mentales. C’est un sentiment d’agitation et une incapacité à rester assis.

« Il est devenu évident qu’il vivait une réaction paradoxale au médicament, ce qui signifie que les benzos ont fait le contraire de ce qu’ils sont censés faire. Ces réactions sont rares, mais pas inconnues », a déclaré Mikhaila sur une vidéo.

Elle a déclaré que la famille s’était tournée vers un traitement alternatif en Russie parce qu’elle avait découvert que les hôpitaux nord-américains l’avaient mal diagnostiqué et qu’ils prescrivaient « plus de médicaments pour couvrir la réponse qu’il ressentait avec les benzodiazépines », a déclaré Mikhaila. « Il a failli mourir plusieurs fois. »

Elle et son mari l’ont emmené à Moscou le mois dernier, où une pneumonie a été diagnostiquée. Les médecins l’ont mis dans un coma induit pendant huit jours. Elle a dit que son sevrage a été « horrible », pire que tout ce dont elle avait jamais entendu parler. Elle a déclaré que les médecins russes ne sont pas influencés par les sociétés pharmaceutiques et ne se sentent pas obligés de traiter les effets secondaires d’un médicament avec plus de médicaments et qu’ils « ont le courage de désintoxiquer médicalement quelqu’un des benzodiazépines ».

Jordan Peterson vient juste de sortir d’une unité de soins intensifs, a déclaré Mikhaila. Il souffre de lésions neurologiques et qu’il a un long chemin devant lui avant de récupérer complètement. Il prend des médicaments antiépileptiques et ne peut ni taper ni marcher sans aide, mais il est « en voie de guérison » et son sens de l’humour est de retour.

« Il sourit à nouveau pour la première fois depuis des mois », a-t-elle déclaré.

Source : National Post

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Pays-Bas — 65 % des sondés pour une réduction de l'immigration

Aux Pays-Bas, une majorité de la population estime que l’immigration doit être réduite.

C’est ce qui ressort d’un sondage effectué par l’institut Kantar pour le quotidien néerlandais De Telegraaf (n=1700 de plus de 18 ans). Il s’agit du journal le plus important du pays, avec une diffusion quotidienne de près de 400 000 exemplaires.

Près des deux tiers (65 %) désirent une réduction de l’immigration. Vingt-un pour cent des personnes sondées ne se prononcent pas alors que 14 % pensent qu’il ne faudrait pas limiter l’immigration aux Pays-Bas.

Une proportion substantielle de Néerlandais d’origine non occidentale (48 %) partage ce point de vue. Pour cet aspect de l’étude, cinq cents Néerlandais d’origine non occidentale (turc, marocain, surinamais, antillais, autres) ont rempli le questionnaire.

19 millions en 2039 ?

L’étude est motivée par de nouvelles prévisions démographiques qui indiquent que les Pays-Bas pourraient compter 19 millions d’habitants en 2039. La croissance attendue est principalement due à l’immigration.

De nombreux Néerlandais craignent que la croissance démographique prévue n’entraîne de graves problèmes de soins et de logement. Une très grande proportion (91 %) pense qu’il n’y a pratiquement plus de place pour accueillir davantage d’habitants aux Pays-Bas. Les Pays-Bas ont une densité de 521 habitants par km2.

Croissance démographique en flèche

Il faut savoir que depuis trois ans, la croissance démographique aux Pays-Bas monte en flèche. Elle s’explique par l’immigration puisque les Néerlandais font très peu d’enfants : 1,66 enfant/femme, un peu plus que les Québécoises. Cette tendance se poursuit pour l’instant, selon le Bureau central des statistiques du pays.

Selon les prédictions démographiques, la population des Pays-Bas devrait atteindre 18 millions en 2024. Voire 19 millions d’ici 2039, alors que les Néerlandais ne font plus assez d’enfants pour se remplacer depuis plus de 40 ans. L’immigration est la principale cause de cet accroissement : 82 000 immigrants s’ajoutent en moyenne à la population chaque année.

L’an dernier, la croissance démographique a été d’environ 132 000 habitants. Parmi eux, 114 000 migrants, dont la moitié venaient d’Europe. Il y avait 16 000 migrants d’asile, selon le bureau de la statistique.

Les allochtones (les immigrants et leurs descendants) représentaient 19,3 % de la population des Pays-Bas en 2005, 21,6 % en 2015, mais 23,6 % en 2019.

Le pays est plein pour 91 %

Une très grande proportion des sondés (91 %) pense qu’il n’y a pratiquement plus de place pour accueillir davantage d’habitants. Une large majorité (77 %) de Néerlandais d’origine non occidentale partage également cette opinion. Seuls 6 % pensent que les Pays-Bas peuvent encore abriter plus de gens.

Fermer les frontières pour 44 %

Les frontières doivent être fermées à l’immigration de travailleurs manuels et intellectuels, même si l’économie doit en pâtir et moins croître, selon près de la moitié (44 %) de tous les Néerlandais. Ce pourcentage est plus faible parmi les « diplômés du supérieur » (33 %).

« Les moins instruits ont une attitude plus tranchée », explique Manuel Kaal, chercheur chez Kantar, qui signale une dichotomie sur la question.

Pas de réfugiés chez moi, mais bien ailleurs

Quelque 122 000 permis de séjour ont été accordés à des demandeurs d’asile entre 2014 et 2018.

Bien que 44 % des Néerlandais soient toujours pour l’admission illimitée de réfugiés. « Il s’agit d’un grand groupe », constate Bart Koenen, chercheur chez Kantar. « Mais un groupe encore plus grand dit : pas ici, mais plutôt ailleurs dans la région. Cela correspond aux tendances que l’on observe. Davantage de gens osent remettre en question l’immigration. Même le maire Halsema (GroenLinks, écolo de gauche) dit désormais que les demandeurs d’asile qui ont épuisé tous les recours légaux et qui commettent une infraction pénale, comme la dégradation d’un immeuble, doivent être détenus », explique Koenen. « C’est tout à fait remarquable pour un maire de GroenLinks. On voit les positions s’infléchir. »

Seul un petit groupe n’est pas inquiet

Seuls 10 % croient qu’il n’est pas nécessaire de restreindre l’immigration. Chez les immigrants non occidentaux, ce chiffre monte à 17 %. Près de six sur dix (59 %) considèrent que les règles relatives aux visas devraient être renforcées pour les pays non membres de l’Union européenne (UE) qui refusent de reprendre les immigrants illégaux. Une minorité (24 %) pense que le salut passe par les contrôles aux frontières nationales.

Une très grande partie des Néerlandais craint des problèmes (très) importants si la population augmente fortement. Surtout dans le domaine du logement (91 %) et les embarras de circulation (83 %). Un très grand groupe (81 %) estime que la disponibilité des soins sera également mise à rude épreuve. Mais peu placent leur espoir dans le parlement de La Haye. Seuls 12 % ont fort confiance que les politiciens pourront résoudre la situation.


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