Pour la théorie du genre, les différences psychologiques et comportementales entre hommes et femmes ne s’expliqueraient que par les influences de la société, l'identité sexuelle ne serait que construction sociale et non plus influencée par la biologie. Bref, il n’y a plus de sexe biologique qui définit les hommes et les femmes mais des formes de sexualités (hétérosexuels, homosexuels, hétérosexuels, bisexuels, transsexuel, etc).
Cette idéologie est enseignée au primaire en France. Comble : dans une école dite catholique. Ainsi, les CM2 [9-10 ans] de l’institution Sévigné à Narbonne (Aude, sud de la France) ont dû travailler sur un texte de Bernard Friot, baptisé : « Il ou elle » (voir la reproduction en bas du billet).
Une jeune mère de famille inquiète a contacté la presse : « Dans ce texte, on y trouve une grande perversité idéologique : un enfant s’enferme dans sa salle de bain, se maquille, se rase, met des boucles d’oreilles, une cravate et s’interroge devant sa glace : Suis-je un garçon ? Suis-je une fille ? La conclusion est encore pire : pas la peine de choisir, être les deux n’est pas plus mal », déplore la maman. « Ce texte a même fait l’objet d’un contrôle afin de vérifier que l’enfant a bien compris cette conclusion : “Retrouve une phrase qui montre sa décision d’être une fille et une autre qui montre le contraire” » (voir la copie du document ci-dessous), témoigne la mère.
Cette idéologie est enseignée au primaire en France. Comble : dans une école dite catholique. Ainsi, les CM2 [9-10 ans] de l’institution Sévigné à Narbonne (Aude, sud de la France) ont dû travailler sur un texte de Bernard Friot, baptisé : « Il ou elle » (voir la reproduction en bas du billet).
Une jeune mère de famille inquiète a contacté la presse : « Dans ce texte, on y trouve une grande perversité idéologique : un enfant s’enferme dans sa salle de bain, se maquille, se rase, met des boucles d’oreilles, une cravate et s’interroge devant sa glace : Suis-je un garçon ? Suis-je une fille ? La conclusion est encore pire : pas la peine de choisir, être les deux n’est pas plus mal », déplore la maman. « Ce texte a même fait l’objet d’un contrôle afin de vérifier que l’enfant a bien compris cette conclusion : “Retrouve une phrase qui montre sa décision d’être une fille et une autre qui montre le contraire” » (voir la copie du document ci-dessous), témoigne la mère.
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