À Calgary, l'école catholique Sacred Heart séparera les filles et les garçons à la prochaine rentrée prochaine. La mesure concerne les classes de la maternelle à la sixième année. Il s'agit de la première fois qu'une école de Calgary sépare les enfants dans un même établissement.
Dans quelques mois, les élèves seront donc séparés. Les filles et les garçons se retrouveront seulement aux récréations et aux événements spéciaux.
La directrice de l'établissement, Diane Chomik, souhaite adapter les méthodes d'enseignement au sexe de l'enfant. Les méthodes seront plus actives pour les garçons et plus calmes pour les filles. Mme Chomik estime que chaque élève pourra y gagner en confiance et ainsi obtenir de meilleurs résultats.
Cet argument a d'ailleurs gagné le cœur de la plupart des parents des élèves de l'école. C'est notamment le cas d'Elizabeth Kenyon. Cette dernière pense que son garçon sera plus concentré en classe. De son côté, Bernard Ashrer croit qu'il y aura moins de concurrence et que les enfants apprendront mieux.
Quelques parents réticents
Quelques parents, comme Katherine Chappell, pensent néanmoins retirer leurs enfants de l'école. La professeure en éducation Yvette d'Entremont n'est pas convaincue non plus. Elle reconnaît que dans l'ensemble, les filles et les garçons apprennent différemment, mais elle insiste pour dire que certaines filles aiment bouger et que certains garçons aiment s'asseoir et lire.
Mme d'Entremont ajoute que le fait d'avoir des garçons et des filles dans la même classe permet à un professeur de varier ses stratégies d'enseignement, ce qui est une bonne chose, estime-t-elle.
Le programme de l'école catholique Sacred Heart pourrait s'étendre à d'autres écoles catholiques s'il s'avère satisfaisant.
Dans quelques mois, les élèves seront donc séparés. Les filles et les garçons se retrouveront seulement aux récréations et aux événements spéciaux.
La directrice de l'établissement, Diane Chomik, souhaite adapter les méthodes d'enseignement au sexe de l'enfant. Les méthodes seront plus actives pour les garçons et plus calmes pour les filles. Mme Chomik estime que chaque élève pourra y gagner en confiance et ainsi obtenir de meilleurs résultats.
Cet argument a d'ailleurs gagné le cœur de la plupart des parents des élèves de l'école. C'est notamment le cas d'Elizabeth Kenyon. Cette dernière pense que son garçon sera plus concentré en classe. De son côté, Bernard Ashrer croit qu'il y aura moins de concurrence et que les enfants apprendront mieux.
Quelques parents réticents
Quelques parents, comme Katherine Chappell, pensent néanmoins retirer leurs enfants de l'école. La professeure en éducation Yvette d'Entremont n'est pas convaincue non plus. Elle reconnaît que dans l'ensemble, les filles et les garçons apprennent différemment, mais elle insiste pour dire que certaines filles aiment bouger et que certains garçons aiment s'asseoir et lire.
Mme d'Entremont ajoute que le fait d'avoir des garçons et des filles dans la même classe permet à un professeur de varier ses stratégies d'enseignement, ce qui est une bonne chose, estime-t-elle.
Le programme de l'école catholique Sacred Heart pourrait s'étendre à d'autres écoles catholiques s'il s'avère satisfaisant.
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