Carnet voué à la promotion d'une véritable liberté scolaire au Québec, pour une diversité de programmes, pour une plus grande concurrence dans l'enseignement.
Le Devoir titre que l'Office national du film du Canada (ONF) atteint la parité quand en réalité les femmes monopolisent 63 % des œuvres, 66 % des budgets (2 fois plus que les hommes donc) et trustent 70 % du montage. Les mots perdent leur sens au Québec matriarcal.
L’Office national du film du Canada (ONF) atteint encore une fois cette année la parité hommes-femmes dans ses productions, dont 63 % sont réalisées actuellement par des femmes ou par des équipes dans lesquelles celles-ci sont aussi, voire plus nombreuses que leurs collègues masculins.
Par ailleurs, 66 % des budgets de production des projets en cours ont été alloués à des productions dirigées par des femmes, a précisé l’ONF par voie de communiqué mercredi.
L’organisme fédéral vient ainsi encore une fois honorer son engagement pris il y a sept ans d’atteindre la parité hommes-femmes tant dans le nombre de productions que dans les budgets de production.
L’objectif était également d’atteindre la parité dans les principaux postes de création. En scénarisation, la présence des femmes se chiffre à 67 %, tandis qu’elle atteint 70 % en montage.
L’ONF a précisé mercredi qu’il lancera le 1er avril prochain
un questionnaire d’autodéclaration facultatif et confidentiel auprès des
cinéastes et des équipes de productions travaillant à la réalisation de
films, afin « d’évaluer les progrès accomplis au chapitre de ses
engagements et d’en rendre compte publiquement ».
Car il faut encore « progresser » à l'avenir question « parité ».
Voir aussi
L'État se féminise et se « diversifie » (m à j) [Les femmes comptaient pour 59,5 % de l’effectif régulier de la fonction publique québécoise en mars 2021, comparativement à 58,6 % en
mars 2017 et 55,6 % en 2007.]
Les trois coautrices du Rapport du comité d’expertes sur la maîtrise du français au collégial font un constat sans équivoque : « il est temps plus que jamais de passer à l’action », selon elles.
Ce qu’elles ont découvert, après analyse de nouvelles données, c’est que la maîtrise de la langue française à la sortie du secondaire est un gage de réussite des études collégiales.
Les étudiants ayant obtenu moins de 75 % à l’épreuve de français de secondaire V représentent 40 % des nouveaux admis au collégial depuis 2010. Environ 50 % de ces étudiants n’obtiendront pas leur diplôme d’études collégiales. Alors que, parmi les étudiants ayant obtenu plus de 75 % à l’épreuve unique de français en secondaire V, 84 % repartiront du cégep diplômés. Mais à peine un étudiant sur deux ayant obtenu une note plus faible terminera avec succès son parcours collégial.
Pourquoi le gouvernement de François Legault a-t-il décidé de retenir le Rapport du comité d’expertes sur la maîtrise du français au collégial pendant une année ? C’est la question que se pose la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN), alors que ce même rapport vient d’être rendu public.
« Pourquoi une telle attente si le français est une priorité pour le gouvernement ? A-t-il choisi de ne pas faire de vagues avant les élections de l’automne dernier ? », s’interroge la présidente de la FNEEQ-CSN, Caroline Quesnel.
être plus rigoureux, utiliser des méthodes avérées dans cet enseignement, être strict, ne pas se pâmer devant un texte truffé de fautes parce qu’il ne faut pas heurter l’âme sensible du jeune, si créatif et si sensible.
Non seulement les étudiants arrivent au collégial en présentant de graves lacunes en français, mais les établissements d’enseignement sont contraints par la pénurie de main-d’œuvre d'embaucher des professeurs qui ne satisfont pas à leurs attentes en matière de français écrit. Les auteures du rapport notent que la rareté de la main-d’œuvre place les établissements devant des «choix difficiles au regard des compétences langagières du personnel recruté». (Source)
Un membre d'une minorité (femme, trans, non-blanc) est à la fois une victime impuissante et un héros autonome fort et sûr de lui, jusqu'à ce qu'un événement se produise qui l'amène à choisir l'état qui lui est le plus bénéfique.
Paradoxe du chat de Schrödinger. Un chat est enfermé dans une boîte avec un flacon de gaz mortel et une source radioactive. Si un compteur Geiger détecte un certain seuil de radiations, le flacon est brisé et le chat meurt. Selon l'interprétation de Copenhague,
le chat est à la fois vivant et mort. Pourtant, si nous ouvrons la
boîte, nous pourrons observer que le chat est soit mort, soit vivant.
Une illustration de l'expérience dite du chat de Schrödinger.
Elon Musk demande la libération du « chamane QAnon » alors que surgit après plus de 2 ans une vidéo où l'on voit le chamane demander à l'aide d'un haut-parleur aux manifestants de rentrer chez eux et de rester pacifiques. Il a été condamné à 4 ans de prison...
Résumé des vidéos de « l’assaut du Capitole », jusqu’à récemment tenues secrètes par les démocrates qui avaient la majorité au Congrès, telles que décryptées par Tucker Carlson. En français.
Ci-dessous, montage humoristique des vidéos récemment publiées sur l’émeute du Capitole du 6 janvier 2020 :
Chuck Schumer wasn’t the only politician outraged by our January 6 reporting. He was joined by a cascade of Republicans, including Mitch McConnell. pic.twitter.com/8P95x0W8Ij
Le policier américain décédé après l’émeute du Capitole de janvier a subi deux incidents vasculaires cérébraux et est mort de causes naturelles, a statué le médecin légiste en chef de Washington DC.
L’autopsie de l’agent Brian Sicknick n’a trouvé aucune preuve d’une réaction allergique aux produits chimiques ni de blessures internes ou externes, a déclaré le Dr Francisco Diaz.
L’officier Sicknick, 42 ans, défendait le bâtiment du Capitole contre les partisans du président de l’époque Donald Trump qui s’y sont introduits le 6 janvier. Il s’est effondré après être retourné à son bureau et est mort le lendemain à l’hôpital.
Dans sa décision, le Dr Diaz a conclu que l’agent Sicknick était décédé d’un problème de santé qui n’avait pas été causé par une blessure. Il serait décédé de deux incidents vasculaires (AVC), techniquement d’« infarctus du tronc cérébral et du cervelet dus à une thrombose aiguë de l’artère basilaire ».
Rappelons que les médias progressistes (comme la SRC ci-dessus) avaient d’abord affirmé que Brian Sicknick était mort de coups d’extincteur, et ceci jusqu’au début mars 2021 (voir capture d’écran ci-dessous) alors que l’on savait déjà que le corps de Brian Sicknick ne portait aucune trace de coup. On avait ensuite parlé d’une réaction allergique à un vaporisateur (un chasse-ours). C’est cette dernière hypothèse qui vient d’être infirmée.
Jusqu’au 3 mars 2021, la journaliste Lebeuf de Radio-Canada (vos impôts à l’œuvre) soutenait que le policier Brian Sicknick était mort de coups d’extincteurs. On savait déjà depuis des semaines que c’était faux (l’objet du billet ci-dessous). Notons qu’une seule personne est morte lors de l’émeute du Capitole : Ashli Babbitt, une femme désarmée tuée à bout portant par un policier du Capitole dont le nom est tenu secret. Brian Sicknick est donc mort de causes naturelles. Les trois autres morts sont décédés de problèmes médicaux et non pas à cause de violences subies lors de l’émeute du 6 janvier.
Dans un article publié ce jour sur le site du diffuseur fédéral intitulé
Plus de 300 personnes accusées en justice pour avoir assailli le Capitole, on lit que l’« assaut [du Capitole] s’est soldé par la mort de cinq personnes, dont un policier, frappé à coups d’extincteur ».
Rien ne prouve que le policier, Brian Sicknick, ait été frappé à coups d’extincteur. C’est une rumeur non fondée, un hypothèse sans preuve exploitée par les démocrates et leurs médias.
Le tout commence le lendemain de l’émeute au Capitole quand, selon le New York Times, deux sources anonymes auraient déclaré au journal, notoirement anti-Trump, que Sicknick avait été blessé à coups d’extincteur. Cependant, aucune preuve ne corrobore cette version anonyme. CNN rapporte que les médecins légistes n’ont trouvé aucun signe de traumatisme contondant. En conséquence de quoi le New York Times a publié une correction à son article initial : « Les enquêteurs ont trouvé peu [!!!] de preuves pour étayer l’attaque avec l’extincteur comme cause du décès, a déclaré le responsable. Au lieu de cela, ils soupçonnent de plus en plus le fait que l’agent Sicknick aurait été aspergé au visage par une sorte d’irritant, comme du poivre de Cayenne ou un répulsif à ours (aussi appelé chasse-ours) ». Le chef du syndicat de la police du Capitole a déclaré qu’il avait eu un accident vasculaire cérébral. Depuis, le corps de l’agent Sicknick a été incinéré.
Un service funèbre pour le policier du Capitole Brian Sicknick alors que ses cendres reposaient dans la rotonde du Capitole américain le mercredi 3 février.
Les démocrates ont fait grand cas de cette mort inexpliquée, organisant avec forte pompe une veillée solennelle de la dépouille de l’agent Sicknick dans la Rotonde capitoline. La République était en danger, heureusement les démocrates sont arrivés à temps pour la préserver des vandales ventrus et cornus, ils sauront venger cette mort, tremblez racistes et suprémacistes blancs !
Radio-Canada parle de 5 morts, mais qui sont-ils ? Pas un mot de la part de l’organisme gouvernemental financé par plus d’un milliard de $ de subventions par an. On a l’impression qu’ils sont tous victimes de la barbarie brutale des assaillants pro-Trump…
Les cinq victimes de l’émeute du Capitole
Voici ce qu’en disait Tucker Carlson de Fox News le 10 février.
Quatre des cinq morts ce jour-là étaient des partisans de Trump. Le cinquième était un policier de Capitol Hill qui a apparemment également soutenu Donald Trump.
Pourquoi est-ce pertinent ? Bien sûr, les opinions politiques du défunt ne devraient pas avoir d’importance, mais malheureusement, dans ce cas, elles en ont. La députée démocrate Alexandria Ocasio-Cortez (New York) et de nombreux autres élus démocrates affirment que la foule venait pour leur faire la peau ce jour-là. Pourtant, les seules victimes enregistrées le 6 janvier sont des personnes qui ont voté pour Donald Trump.
La première d’entre elles était une femme de Géorgie de 34 ans appelée Rosanne Boyland. Les autorités ont initialement annoncé que Boyland était décédé d’une « urgence médicale ». Des séquences vidéo ultérieures suggèrent qu’elle a peut-être été accidentellement piétinée par la foule. Nous ne sommes toujours pas sûrs, mais c’est la meilleure hypothèse.
La deuxième victime est Kevin Greeson, 55 ans, décédé d’une insuffisance cardiaque alors qu’il parlait avec son téléphone portable à sa femme à l’extérieur du Capitole. « Kevin avait des antécédents d’hypertension artérielle », a déclaré plus tard sa femme, « et au milieu de l’excitation, il a subi une crise cardiaque. »
Le troisième était Benjamin Phillips, 50 ans, de Ringtown, en Pennsylvanie. Phillips était un partisan de Trump qui a organisé un voyage en bus à Washington pour le rassemblement ce jour-là. Il est mort d’un accident vasculaire cérébral sur le terrain du Capitole. Il n’y a aucune preuve que Phillips a participé à l’émeute ou a été blessé par des émeutiers ou même qu’il est entré dans le bâtiment du Capitole.
La quatrième personne à mourir, la seule à avoir été victime de violence intentionnelle, était Ashli Babbitt, 35 ans, un ancien combattant de San Diego. Babbitt portait une cape Trump lorsqu’elle a été abattue par un lieutenant de police de Capitol Hill. La mort de Babbitt a été filmée, la sienne est donc la mort la mieux documentée qui ait eu lieu ce jour-là. Pourtant, il est surprenant de constater à quel point nous en savons peu.
Babbitt a été abattue alors qu’elle tentait de se faufiler à travers une fenêtre cassée dans l’antichambre de la présidente de la Chambre. Nous n’en savons guère plus. Les autorités ont refusé de divulguer le nom de l’homme qui l’a abattue ou de divulguer les détails de l’enquête qu’elles disent avoir menée. Nous ne saurons peut-être jamais exactement pourquoi ce policier anonyme de Capitol Hill lui a pris la vie.
Selon l’avocat de cet officier, « il n’y a aucun moyen de regarder les preuves sans penser qu’il est un héros. » Bien sûr, nous ne pouvons pas vraiment examiner ces preuves, car on les occulte. On nous cache même l’identité de ce policier. Tuer une femme non armée peut être justifié dans certaines circonstances spécifiques, mais depuis quand est-ce héroïque ? Suffit-il que la personne tuée ait parcouru des sites Web de QAnon ? Les républicains ne posent pas cette question.
Le député républicain Markwayne Mullin (Oklahoma) a déclaré qu’il avait immédiatement serré dans ses bras l’officier qui avait tiré sur Ashli Babbitt et lui avait dit : « Écoutez, vous avez fait votre devoir. » L’officier devait-il vraiment faire cela ? On ne le sait pas. Nous savons qu’Ashli Babbitt n’avait pas d’arme lorsqu’elle a été tuée. Cela n’a pas empêché le député démocrate David Cicilline (Rhode Island), lors du procès de destitution au début février de décrire ce qui s’est passé au Capitole comme d’« une insurrection armée ».
Cicilline est un ancien avocat de la Mafia, il sait donc reconnaître un crime commis avec une arme à feu. Il n’y a aucune indication que des émeutiers au Capitole le 6 janvier aient tiré avec une arme à feu ou aient menacé quiconque avec une arme à feu. Alors, de quoi parle exactement David Cicilline ?
Apparemment, il fait allusion à la mort de l’agent Brian Sicknick. Dans les heures qui ont suivi l’émeute, le New York Times a rapporté que des partisans de Trump avaient brutalement battu à mort l’agent Sicknick avec un extincteur. La nouvelle de la mort de Sicknick par la violence a été rapidement reprise par d’innombrables autres médias qui l’ont répétée puis amplifiée. [Coucou Radio-Canada !]
Ce récit est à la base du mythe que les démocrates ont construit autour du 6 janvier. Des flots de politiciens, qui quelques mois auparavant déclaraient que les flics [surtout blancs comme Sicknick] étaient racistes par définition, ont salué en Brian Sicknick un héros. Ils avaient finalement trouvé un policier qui servait leurs objectifs politiques.
Mais il y a un hic ! Le récit qu’ils racontaient était un mensonge du début à la fin. L’agent Sicknick n’a pas été battu à mort, ni avec un extincteur ni quoi que ce soit d’autre. Selon une nouvelle analyse exhaustive et fascinante sur Revolver News, il n’y a aucune preuve que Brian Sicknick a été frappé avec un extincteur à un moment quelconque le 6 janvier. Le corps de l’officier ne présentait apparemment aucun signe de traumatisme. En fait, dans la nuit du 6 janvier, bien après que les émeutiers du Capitole aient été arrêtés ou dispersés, Brian Sicknick a envoyé un texto à son frère depuis son bureau. Selon son frère, Sicknick a déclaré qu’il avait été « pulvérisé deux fois », mais que, par ailleurs, il était « en bonne forme ». Vingt-quatre heures plus tard, l’agent Brian Sicknick était mort.
Comment est-il décédé ? Le chef du syndicat de la police du Capitole a déclaré qu’il avait eu un accident vasculaire cérébral. Son corps a immédiatement été incinéré et les autorités ont refusé de publier son autopsie. Personne n’a été inculpé pour sa mort et aucune accusation n’est en cours. Ce qui est arrivé à Brian Sicknick était tragique, évidemment, mais c’était aussi très différent de ce qu’ils nous ont dit. Ils ont menti sur la façon dont il est mort. Ils ont beaucoup menti.
Julie Kelly a examiné les accusations portées contre plus de 200 personnes arrêtées pour inconduite criminelle liée au 6 janvier. Elle a constaté que seuls 14 accusés faisaient face à des accusations liées à des armes. Les infractions varient ; les actes d’accusation vont de la possession d’une arme « mortelle » pour des motifs « restreints » à l’agression d’un policier. Les armes utilisées évoquées vont du poivre de Cayenne, à un casque en passant par un bouclier.
Dans une interview télévisée de 2007 avec David Letterman, Joe Biden, alors sénateur démocrate du Delaware, a déclaré qu’il avait été arrêté au Capitole des États-Unis quand il avait 21 ans.
Letterman a demandé à Biden ce qu’il avait ressenti quand il avait pénétré dans la Chambre du Sénat des États-Unis après avoir été élu à l’âge de 29 ans. Biden s’est alors vanté d’avoir pénétré plus tôt dans cette Chambre et d’avoir été arrêté pour intrusion illégale par la suite.
Des recherches récentes menées à l’université Northwestern et de l’université de l’Oregon indiquent que les scores de QI ont diminué aux États-Unis pour la première fois depuis des décennies.
Les chercheurs ont cherché à savoir si l’effet Flynn — l’augmentation constante des scores de QI d’une génération à l’autre — avait changé entre 2006 et 2018 aux États-Unis.
On « s’attend » à ce que les jeunes générations aient un QI plus élevé que le groupe d’âge précédent. Depuis 1932, les scores moyens de QI ont augmenté d’environ trois à cinq points par décennie, expliquent les chercheurs.
Les chercheurs ont noté qu’il y avait eu peu d’études axées sur les États-Unis en comparaison aux pays européens. Une étude norvégienne de 2018 avait suggéré que les scores de QI diminuaient dans ce pays depuis des décennies. (VoirL’inquiétant recul du quotient intellectuel)
Dans leur étude, les chercheurs se sont penchés sur près de 400 000 tests de QI effectués en ligne par des adultes américains entre 2006 et 2018 dans le cadre du projet SAPA (Synthetic Aperture Personality Assessment Project) et des données de l’ICAR (International Cognitive Ability Resource) entre 2011 et 2018.
Ils ont utilisé les données des deux tests pour les comparer. Les deux tests ont servi à établir les tendances et à comparer deux types de résultats : l’un lié aux capacités cognitives et l’autre lié à des compétences telles que le raisonnement matriciel et verbal.
Un test de QI mesure généralement une variété de capacités cognitives, selon VeryWell Mind, et est censé aider à comprendre les capacités intellectuelles d’une personne et son potentiel.
Toutefois, le test a fait l’objet de critiques, car il peut parfois être mal interprété selon Discover Magazine. Cela peut se produire lorsque les personnes se basent sur certaines parties du test, et non sur le résultat global, pour obtenir des informations sur leur intelligence. Le magazine note également que le score de QI d’une personne peut changer en fonction de sa motivation à passer le test ou de l’effort qu’elle y consacre.
Le psychologue Stefan C. Dombrowski, qui travaille à l’université de Rider dans le New Jersey, a toutefois déclaré au magazine que lorsque les tests sont compris correctement, ils ont une « signification » et sont des « mesures correctes de l’intelligence ».
Leurs résultats suggèrent qu’il y avait un effet Flynn inversé présent dans ces deux tests, ce qui signifie que les scores de QI diminuent et non augmentent.
Cependant, il y avait un domaine du test qui a augmenté, ont-ils noté, dans le score de rotation tridimensionnelle, qui a à voir avec le raisonnement spatial.
Les personnes ayant un faible niveau d’éducation ont également vu leurs scores diminuer. Les personnes ayant un niveau d’éducation plus élevé, tel qu’un diplôme de quatre ans, ont connu une baisse moins importante, mais pas les plus jeunes, suggèrent les chercheurs.
« Les scores étant plus faibles pour les participants les plus récents, quel que soit leur niveau d’éducation, cela pourrait suggérer que le niveau d’éducation a diminué dans l’échantillon de cette étude ou qu’il y a eu un changement dans la valeur perçue de certaines compétences cognitives, ou les deux », écrivent les auteurs dans l’étude.