vendredi 12 janvier 2024

Le gouvernement du Québec annonce un plan de 23,7 millions de dollars pour promouvoir l’idéologie LGBT

Le gouvernement du Québec a annoncé un financement de 23,7 millions de dollars pour lutter contre « l’homophobie » et la « transphobie ».

Le Québec est actuellement gouverné par le parti Coalition Avenir Québec (CAQ), qui a été qualifié de « centre droit » et de « conservateur ». Toutefois, la Ministre des Relations internationales et de la Francophonie, Responsable de la Condition féminine, Martine Biron, s’est engagée à financer le « milieu communautaire » LGBT et la supposée « reconnaissance de la diversité sexuelle et de genre ». Mme Biron semble d’ailleurs s’intéresser nettement plus au dossier LGBTQ2SAI+ qu’à ses responsabilités ministérielles principales.


Mme Biron a déclaré que ce plan était destiné à lutter contre les discours haineux et à rendre le Québec plus ouvert et plus accueillant.

« Je veux que ce plan soit une réponse, une façon de travailler pour contrer la montée de la violence, la montée de l’intimidation, la montée de l’intolérance », a-t-elle déclaré.

Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie, basé à Montréal, a déclaré que les allégations de violence étaient largement exagérées.

« Ils donnent l’impression que les gens se font tabasser dans les ruelles avec des bouteilles cassées », a-t-il déclaré. « Ce qui se passe en réalité, c’est qu’il y a une réaction contre l’endoctrinement LGBT dans les écoles ».

Selon M. Buscemi, le gouvernement québécois fait notamment référence à un incident survenu à Montréal, au cours duquel un drapeau de la « fierté » a été arraché par des lycéens.


« Il pourrait également s’agir d’une réaction contre les marches pour les droits parentaux », a-t-il déclaré, faisant référence à la marche pacifique d’un million de personnes pour les enfants, qui s’est déroulée en octobre 2023.

« Le Québec est généralement à gauche. Même les soi-disant “partis de droite” sont, en toute objectivité, à gauche du centre. », a-t-il ajouté. « Le gouvernement québécois des dernières décennies a été à l’avant-garde de ces projets progressistes et de ces causes ».

L’une des menaces à l’hégémonie pro-LGBT du Québec est l’immigration. M. Buscemi soupçonne que les nouveaux arrivants seront la cible des nouveaux programmes de « formation ».

« Ces nouveaux immigrants n’ont pas encore reçu le mémo et n’ont pas été suffisamment endoctrinés, ils doivent être formés rapidement », a déclaré Buscemi avec sarcasme. « Il faut donc injecter plus d’argent dans ces diverses entités qui se répandront ensuite — probablement dans tout le système éducatif ».

M. Buscemi a précisé que les fonds destinés à l’« environnement communautaire » iront probablement à des organismes qui se consacrent à l’endoctrinement LGBT auprès des enfants.

« Ce qu’ils font souvent, ce sont des visites d’écoles », a-t-il expliqué. « Ils rackettent les écoles. Il s’agit d’une sorte de chantage qui consiste à aller dans une école et à dire : “Est-ce que vous nous acceptez et nous payez pour venir ?” Et si les responsables de l’école répondent par la négative, alors ils ont des ennuis ».

Les 23,7 millions de dollars seront distribués au cours des cinq prochaines années à diverses organisations à travers la province. Près de la moitié de cette somme est allouée aux « groupes communautaires », qui devraient recevoir 11 millions de dollars collectivement.

Un montant de 4,6 millions de dollars est consacré à la « reconnaissance de la diversité sexuelle et de genre », tandis qu’un autre montant de 1,6 million de dollars est destiné au « renforcement de la cohérence et de l’efficacité des actions ».

Selon Radio-Canada (CBC), le diffuseur public financé par le gouvernement fédéral, les militants sont néanmoins insatisfaits du retard pris par le gouvernement du Québec dans l’apposition du signe X sur les cartes d’identité provinciales.

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La moitié des enfants ukrainiens d'âge scolaire en Pologne ne vont pas à l'école

Le nombre d'enfants ukrainiens dans les écoles polonaises diminue.

Sur les 300 000 enfants ukrainiens, seuls 47 % étudient dans des écoles polonaises. "Nous ne savons pas ce qu'il advient de 150 000 élèves et écolières ukrainiens". - alerte "Gazeta Wyborcza".

Le Centre pour l'éducation civique a produit un rapport intitulé "Les élèves réfugiés dans le système éducatif polonais. Que disent les nouvelles données ?" L'étude montre que plus de 53 % des réfugiés en âge d'être scolarisés sont en dehors du système éducatif polonais. Parmi eux, 112,8 milliers d'enfants en âge de fréquenter l'école primaire et 43,6 milliers de jeunes en âge de fréquenter l'école secondaire. En une seule année, 4,5 milliers d'élèves ukrainiens, garçons et filles, ont disparu des écoles polonaises. Il s'agit des données collectées jusqu'en octobre 2023.

Au total, la Pologne compte 300 000 enfants d'origine ukrainienne. "Nous ne savons pas ce qu'il advient de 150 000 élèves et écolières d'Ukraine", écrivait la Gazeta Wyborcza de jeudi. Comme le souligne le directeur général de l'organisme le Dr Jędrzej Witkowski, les parents de tous ces enfants ont déclaré qu'ils poursuivaient leur éducation ukrainienne à distance. Cependant, il n'existe pas d'outils permettant de vérifier si c'est réellement le cas.

- Pour les enfants traumatisés par la guerre, la routine scolaire est très importante. Car c'est aussi la présence d'adultes qui peuvent réagir, aider à se rendre chez un spécialiste", souligne le Dr Jędrzej Witkowski dans les pages de Gazeta Wyborcza.

Source : Gazeta Wyborcza

France — Disparition du ministère de la Famille

Dans le nouveau gouvernement Macron, le ministère des Solidarités et des Familles a disparu du nouveau gouvernement. Aurore Bergé devient « chargée de l’Égalité femmes-hommes et de la Lutte contre les discriminations. »  Le Figaro prétend sans rire que le nouveau gouvernement est teinté à droite (voir le chapeau de deux articles ci-dessous, en page 3 de l'édition de ce vendredi). Entretemps, la natalité de la France baisse encore.



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