lundi 20 mai 2024

Mai 1660 — Bataille du Long-Sault et mort d'Adam Dollard des Ormeaux

Adam Dollard des Ormeaux naquit le 23 juillet 1635 à Ormeaux et décéda le 21 mai 1660 à la bataille de Long-Sault, à Carillon en Nouvelle-France.

Il vit le jour en France en 1635, dans le village briard d’Ormeaux, aujourd’hui sur le territoire de la commune de Lumigny-Nesles-Ormeaux, dans le département de Seine-et-Marne.

En 1658, à l’âge de 22 ans, Dollard des Ormeaux arriva en Nouvelle-France. Il fut le commandant de la garnison du Fort Ville-Marie (future Montréal). Paul Chomedey de Maisonneuve, gouverneur de Montréal, le recrute et lui concède également une terre de 30 arpents pour qu’il s’établisse en ce lieu. 

Peu après, un prisonnier iroquois confia aux Français que les Iroquois planifiaient depuis l’automne 1659 une invasion de la Nouvelle-France dont ils voulaient chasser les Français. Le plan débutait à Montréal, se poursuivait aux Trois-Rivières et devait se terminer par la destruction de Québec. 

Devant cette menace, Dollard et un petit groupe de 16 volontaires de condition modeste, accompagnés de leurs alliés, quelque 40 Hurons et quatre Algonquins, partirent de Ville-Marie le 19 avril 1660.

Après 10 jours de canot sur le Saint-Laurent et sur la rivière des Outaouais, ils débarquèrent le 1er mai près d’un fortin abandonné non loin des rapides de Long-Sault.

L’attaque iroquoise

Peu de temps après leur arrivée à Long-Sault, soit le 2 mai, le groupe de Dollard fut attaqué par l’avant-garde iroquoise. Celle-ci était composée de 200 à 300 guerriers. Après un bref combat, les Iroquois appelèrent des renforts et attendirent une force d’environ 700 Iroquois, dont 500 Agniers (Mohawk en anglais) et Onneiouts. Les Français prirent donc refuge dans le fortin (sans porte) et réussirent à tenir contre le grand nombre d’Iroquois pendant une semaine jusqu’à ce que l’eau et la poudre s’épuisent. Les renforts iroquois arrivèrent le 8 mai. Quelques Hurons qui combattaient avec les Iroquois (ayant été adoptés ou enlevés par les Iroquois à l’issue d’autres combats) ont commencé à persuader leurs frères de se joindre aux Iroquois pour éviter une mort certaine s’ils restaient avec les Français. Ce stratagème réussit et de nombreux guerriers Hurons, qui avaient été du combat avec les Français, firent défection pour rejoindre les rangs des Iroquois.

Avec la perte de leurs alliés, le sort de Dollard et de ses compagnons fut scellé, car il ne restait que 22 hommes dans le fortin. Les Iroquois attendaient leurs renforts avant l’assaut final sur les Français.

Le combat dura jusqu’au 9, au 10 ou au 12 mai suivant, selon les sources. Après plusieurs assauts, un combat sans merci s’engage. Les Français tentent de lancer un baril de poudre sur leurs assaillants, mais une erreur fait exploser la bombe à l’intérieur de leur retranchement. Ceci provoque une brèche qui permet aux attaquants de pénétrer la palissade de protection des positions françaises où ils ne trouvent que neuf survivants.

Aucun Français ne revient vivant et seuls quelques Amérindiens réussissent à s’échapper pour rapporter les événements à Ville-Marie et à Québec.  Tous les Français furent tués lors du siège au moment de l’assaut final ou torturés et tués par la suite.

Les Iroquois auraient si décontenancés d’avoir perdu plus de quatre-vingts guerriers contre un si petit nombre (17 Français et 6 Amérindiens), qu’ils ne poursuivirent pas leur attaque sur Ville-Marie et renoncèrent (momentanément) à anéantir la colonie. 

Notons qu’un rapport hollandais signé d’un « La Montagne » (un huguenot ?) et daté de Fort Orange le 15 juin 1660 donne des chiffres différents : « les Agniers et les Iroquois supérieurs, au nombre de six cents, ont attaqué un fort défendu par dix-sept Français et cent sauvages ; […] ils ont perdu quatorze personnes tuées ; dix-neuf furent blessés. » Rappelons cependant que Fort Orange était rival de la Nouvelle-France et  armait les Iroquois contre la colonie du Saint-Laurent.

La défense avancée de Dollard au Long-Sault eut pour effet de détourner un certain temps de son objectif l’armée iroquoise, permettant ainsi aux colons de faire les moissons et d’échapper à la famine, et à Radisson d’atteindre Ville-Marie sain et sauf avec une cargaison de fourrures évaluée à 200 000 livres.

Cependant, la petite colonie n’était toujours pas sauvée du danger des Iroquois. Dès l’automne 1660, ceux-ci mirent sur pied une armée de 600 guerriers décidés à éradiquer la Nouvelle-France. En cours de route, leur chef mourut d’un accident. Croyant à de mauvais augures, ils se dispersèrent. En 1661, les Iroquois menèrent une autre attaque, tuant plus de 100 Français.

En 1665, le roi Louis XIV consentit à envoyer le régiment de Carignan-Salières pour repousser les attaques Iroquois. Ce régiment d’élite finit par leur imposer la Grande Paix de Montréal de 1701.

La présentation sélective et tronquée des faits par Isabelle Hachey

Isabelle Hachey affirme dans La Presse du 19 mai 2024 que demander des preuves solides est un réflexe « très blanc ».


Billet du 28 janvier


Isabelle Hachey est une journaliste de La Presse. Son employeur et elle ont été blâmés il y a quelques semaines par le Conseil de la Presse « pour informations incomplètes, manque d’équilibre et apparence de conflit d’intérêts ».


Mme Hachey a consacré un long article samedi à quelques lignes extraites du plus récent livre de Mathieu Bock-Côté, Le Totalitarisme sans le goulag. Elle prétend que Bock-Côté y « tord la vérité ». Dans un passage de son livre, Bock-Côté dresse un portrait de ce qui arrive aux gens trop rétifs à l’idéologie woke ou diversitaire.

Afin de fournir le contexte, voici le passage, tiré de l’ouvrage, sur le sort de quelques opposants à l’idéologie du genre ; il concentre quatre des six critiques de Mme Hachey (les deux autres portent sur l’immigration) :

À l’automne 2021, un homme accusé de mégenrage à l’endroit d’un de ses anciens collègues, qui se déclarait non-binaire, dans un restaurant, a été condamné à payer plusieurs dizaines de milliers de dollars en dommage au non-binaire en question — quant au restaurant, il était obligé d’imposer à ses employés une formation en sensibilisation à la diversité. En Allemagne, à l’été 2023, une loi a été votée pour punir d’une amende allant jusqu’à 10 000 euros le simple fait de rappeler l’identité de genre antérieure d’une personne trans 31. En France, on assiste aux premiers procès pour mégenrage, comme on l’a vu avec la poursuite engagée contre la militante féministe Dora Moutot, pour avoir affirmé qu’elle voyait en Marie Cau, une femme trans, non pas une femme mais un homme. En Grande-Bretagne, à la fin de l’été 2023, le Parti travailliste envisageait de faire du mégenrage un crime haineux. Il n’est pas insensé de croire à une radicalisation des peines conduisant jusqu’à la prison, malgré la dénégation des partisans de ces lois. À tout le moins, à l’été 2023, on apprenait que près de la moitié de la génération des milléniaux aux États — Unis était favorable à la criminalisation du mégenrage.

En Irlande, un professeur ayant annoncé qu’il refuserait d’utiliser les nouveaux pronoms trans pour parler à ses étudiants a vu son école lui demander de ne plus y remettre les pieds. Puisqu’il s’y est présenté quand même, la police l’a arrêté. En Ontario, au Canada, un élève a dû faire l’expérience de la police car il refusait la présence de garçons s’identifiant comme filles dans le vestiaire de ces dernières. Dans ces deux cas, la punition idéologique était à demi avouée : le professeur fut officiellement arrêté parce qu’il n’avait pas respecté l’interdiction de revenir à son école s’il ne se convertissait pas à l’utilisation des pronoms trans. Le même argument fut utilisé au Canada. Que faire de ceux qui ne consentent pas à ce que leurs enfants, s’ils le demandent, s’engagent dans une thérapie de changement de sexe ? Le refus des parents de se plier à l’idéologie trans sera alors assimilé à une forme de maltraitance parentale. En Colombie — Britannique, toujours au Canada, un père s’est vu condamner à six mois de prison car il a refusé de reconnaître la transition de genre de son enfant, et continuait de voir en sa fille une fille et de l’interpeller par un pronom féminin.
Il n’était pas dans l’idée de Bock-Côté de s’appesantir sur chacun des cas, mais plutôt de relever ce qu’ils ont en commun : l’opposition à la théorie du genre sera punie. Plus l’opposition sera déterminée, plus la punition sera grande.
 
1. Le père en Colombie-Britannique.
 
Pour Mme Hachey, « [e]n fait, le père n’a pas été condamné pour son refus d’accepter la transition de son enfant, mais pour avoir étalé sur la place publique des informations personnelles et médicales à son propos, violant ainsi une ordonnance imposée par un tribunal pour protéger sa vie privée. […] Il y a deux semaines, cette caricature de la réalité a été dénoncée sur 𝕏 [par André Pratte, ancien sénateur libéral nommé par Justin Trudeau, ancien éditorialiste en chef de La Presse et donc ex-collègue de Mme Hachey…], et ça m’a incitée à me plonger dans l’essai. »

C’est en effet ce que prétend le « régime diversitaire ». Mais allons un peu plus dans les détails dont est si avide la vétilleuse Hachey.
 
L’affaire était bien connue des seules personnes vraiment concernées : les élèves de son école et ses voisins, si l’on en croit l’avocat du père. Toutes ces personnes savaient que la fille du père en question (plus de détails ici) faisait une transition. Comme le soulignait l’avocat du père, « aucune preuve » n’a été apportée que les commentaires publics de son client aient entraîné un quelconque préjudice. Et d’ailleurs de quelles informations personnelles et médicales parle Mme Hachey ? Elle reste vague, cest commode. Le Federalist l'a interrogé et, étant régi par les lois américaines, n'a jamais retiré son entretien avec le père. Quel est donc l'information révélée qui contrevient à sa « vie privée » ? Dire « ma fille » ? Simple syntagme qui contrevenait déjà à l’ordonnance de protection.
[1] AB, un garçon transgenre [une fille biologique donc] de 14 ans, demande une ordonnance de protection pour empêcher son père, CD, de publier, de parler ou de donner des interviews sur cette affaire ou sur les informations personnelles et médicales d’AB.

a) CD doit être empêché de :
  1. tenter de persuader AB d’abandonner le traitement pour la dysphorie de genre ; 
  2. s’adresser à AB par son nom de naissance ; et 
  3. se référer à AB comme une fille ou avec des pronoms féminins, que ce soit à AB directement ou à des tiers ;
b) CD ne publiera ni ne partagera, directement ou indirectement par l’intermédiaire d’un agent ou d’un tiers, des informations ou des documents relatifs au sexe, à l’identité de genre, à l’orientation sexuelle, à la santé mentale ou physique, à l’état de santé ou aux thérapies de AB.
Cette ordonnance de « protection » (contre quoi ?) est clairement excessive.

Cette injonction forçait le père à se taire complètement, il ne pouvait pas dire à son enfant ni à quiconque dautre : « j’ai une fille »  ou « ma fille ». Son opposition ne pouvait avoir lieu que dans son for intérieur. Il s’agissait beaucoup plus à notre avis de tout faire pour ne pas ébruiter ce genre d’affaires et non de « protéger » l’enfant. C’est une de ces ruses administratives communes à plus d’une affaire.

En résumé, l’emprisonnement du père (Robert Hoogland) vient bien de son refus d’accepter la « transition » de sa fille qu’il considère comme dangereuse notamment sur le plan médical, et ce même après qu’on lui a intimé de se taire complètement et de se transformer en une tombe. C’est bien son refus devant cette transition, obstiné pour d’aucuns, héroïque pour d’autres, qui l’emprisonnera.

2. Un homme accusé de mégenrage 
 
Isabelle Hachey opine : « Sauf qu’en épluchant les articles publiés en Colombie-Britannique, où se sont déroulés les évènements, on découvre que l’employé non binaire, Jessie Nelson, a reçu 30 000 $ non pas pour avoir été mégenré, mais pour avoir été injustement mis à la porte après avoir demandé à ses collègues de l’appeler par les pronoms de son choix. Ce n’est pas une mince nuance. »
 
Il est vrai que cette personne a été dédommagée parce que renvoyée, mais quelle est donc cette discrimination qui rend ce renvoi injustifié et donc sujet à dédommagement ? « Le tribunal des droits de l’homme a estimé que le travailleur avait fait l’objet d’une discrimination parce que le restaurant n’avait pas pris en compte les mégenrages à l’encontre de l’employé ». Le mégenrage ! Et c’est ce que retenait l’avocate de la plaignante, Adrienne Smith : « Cette “lourde” somme est un signal adressé aux employeurs ». « Cela devrait être un signal indiquant que les employeurs doivent être respectueux. Les pronoms corrects pour les individus ne sont pas facultatifs. Les employeurs ne sont pas libres de s’adresser aux gens avec les pronoms qu’ils choisissent ».

Tout part du mégenrage qui envenime la situation et qui permet d’obtenir un dédommagement. Bref, Isabelle Hachey pinaille.
 
3. Le cas de Josh Alexander, élève de 16 ans en Ontario

Mathieu Bock-Côté :
« En Ontario, au Canada, un élève a dû faire l’expérience de la police car il refusait la présence de garçons s’identifiant comme filles dans le vestiaire de ces dernières. »

L'idéologie LGBTQ/trans dans le nouveau cours de culture et citoyenneté québécoise

Dans le Devoir par Normand Baillargeon :

Vous le savez sans doute, je souhaitais qu’on mette fin au cours Éthique et culture religieuse et qu’on le remplace par un cours axé sur la citoyenneté. C’est chose faite. Et les responsables de sa conception ont fort bien travaillé. Chapeau. Jugez-en. Voici le programme pour le primaire et celui pour le secondaire.

Mais. Car il y a des mais.

L’école est une institution particulière

Pour y venir, il faut se rappeler et sérieusement prendre en compte des choses qui font que l’école est à ce point une institution particulière.

On y transmet des savoirs, on socialise, on qualifie, certes. Mais on s’adresse à des enfants et à des jeunes. On doit veiller à ne pas les faire adhérer inconditionnellement à des idées ou à des pratiques débattues et débattables ou, pire, dangereuses. La philosophe Hannah Arendt pensait qu’on devait se montrer conservateur à son endroit, de manière à permettre aux nouveaux venus dans un monde déjà vieux d’y innover à leur tour.

Si nous adoptons cette sage perspective, on voudra toujours, d’abord et avant tout, ne pas faire de mal. Ni psychologique ni physique. Primum non nocere.

Imaginez à présent un sujet complexe, polémique et hautement diviseur dans la société, parmi les adultes. Pour diverses raisons, on doit ou on veut en parler à l’école, aux enfants.

Des feux rouges s’allument aussitôt.

Pour agir sagement, on souhaitera, partout où c’est possible, se baser sur le savoir le mieux établi.

On se demandera aussi, très sérieusement, à partir de quel âge on peut parler de ce délicat sujet et ce qu’on peut alors en dire. On veillera surtout à ne pas endoctriner et à ne pas faire de mal. On mettra tout en place pour que l’enseignant ne se mue pas en militant d’une cause et la classe, en champ de bataille idéologique. On fera tout cela et on le fera plus encore si ce qui sera enseigné peut avoir de graves conséquences pour les enfants.

En ce moment, vous le savez, toutes les questions relatives au sexe, au genre et aux personnes trans sont de cet ordre.

En faisant appel au savoir le plus solidement établi, on apprendra qu’il existe un immensément large consensus parmi les biologistes nous disant que le sexe est une réalité biologique, qu’il est binaire et défini par les gamètes. On visionnera à ce sujet le riche matériel proposé par le biologiste François Chapleau.

On apprendra aussi que des pratiques médicales de transition et d’aide à la transition appliquées aux jeunes personnes et longtemps couramment employées sont désormais ici remises en question et là interdites, par exemple en Norvège, en Angleterre et en Finlande.

On lira avec horreur l’histoire de la clinique d’identité de genre Tavistock à Londres, récemment fermée, où des personnes non compétentes pour le faire prescrivaient des hormones ou des bloqueurs de puberté à des enfants, au nombre inexplicablement croissant et qui n’en tiraient trop souvent pas de bienfaits.

On lira le rapport Cass sur ces questions, produit d’années de travail par une équipe sérieuse et compétente. Il conclut notamment qu’il n’y avait que « des preuves remarquablement faibles » en faveur de l’utilisation de bloqueurs de puberté et de traitements hormonaux pour les enfants souffrant de troubles du genre.

Sans aucun doute, il faudra se parler entre adultes de tout cela et dans le respect de tout le monde et des droits de chacun. Mais que faire à l’école, avec les enfants ?

Mes mais…

Le sexe, veut-on enseigner dès le primaire, est, selon ce programme, une « catégorie sociale qui répartit la population entre femmes et hommes à partir de caractéristiques physiologiques ». J’en ai une autre définition, dira sans doute à l’élève son enseignant de biologie…

Dans le programme au secondaire, on nous parle de « sexe assigné à la naissance ». Vraiment ? Plusieurs affirment plutôt qu’on le constate. Et même avant la naissance.


Marie-Claude Girard, pour son intervention devant le comité des sages sur le sujet, a pris le temps de consulter des ressources et des outils qu’on suggère aux personnes intervenant auprès de la petite enfance et d’élèves du primaire et du secondaire sur le sexe et le genre. Elle y a trouvé de troublantes assertions présentées comme scientifiques, mais qui font pourtant débat. On remet en question la binarité du sexe et on affirme l’existence d’un troisième sexe (intersexe ou autre) ; on nie la réalité biologique des femmes (qui deviennent des cisgenres) en affirmant que ce mot n’est pas lié à l’anatomie de la personne. Et d’autres assertions encore.

Des feux rouges doivent s’allumer. Certes, on ne sait pas encore comment tout cela se traduira dans les incarnations concrètes de ce programme, en classe, ni comment les enseignants et les autres intervenants vont traiter de toutes ces questions. Mais prudence.

Et tout le monde, parents, scientifiques, médecins et le public en général, doit porter une grande attention à ce qui va se passer. Primum non nocere. Les enfants d’abord.

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