Les six victimes |
En 2016, l’Assemblée nationale avait décrété le 15 janvier Journée nationale du vivre-ensemble. Une date choisie à la mémoire des disparus.
Carnet voué à la promotion d'une véritable liberté scolaire au Québec, pour une diversité de programmes, pour une plus grande concurrence dans l'enseignement.
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Nous l’avions déjà mentionné : Pierre Poilièvre courtise le vote immigré. Notons que le chef du Parti conservateur du Canada serait élu Premier ministre selon deux sondages si des élections avaient lieu aujourd’hui.
Non seulement Poilièvre tente-t-il de séduire les Néocanadiens, mais il dit qu’il pense que l’immigration serait la solution aux difficultés. C’est un avis « original » quand on sait que la majorité des économistes pensent que l’immigration n’est pas du tout une solution miracle et que la crise du logement qui frappe le Canada au premier chef est en partie due à l’immigration de masse actuelle.
Le passage (obséquieux apparemment) de Poilièvre à une radio sikhe a suscité cette réaction colorée de la part d'un chroniqueur nationaliste :
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Championnats d’Europe de patinage artistique 2023 à Espoo en Finlande.
Les cérémonies d’ouverture de l’événement présentent une performance solo de Minna-Maaria Aktikainen, un quinquagénaire qui a décidé qu’il était en fait une charmante « princesse des glaces ». Veuillez regarder la vidéo pour voir comment cela s’est passé.
Passion Patinage résume la chose ainsi : « Le drapeau finlandais est porté par Minna-Maaria Antikainen, patineuse transgenre, ce qui je pense est une première. Combien de pays auraient eu cette ouverture d’esprit ? »
La Russie et la Biélorussie ont été interdites de participer à ce championnat. L'or y a été remporté par la Russe Anastasia Goubanova qui concourt sous les couleurs de la Géorgie depuis 2021.
Déjà affaiblies par la crise sanitaire, les universités américaines voient leur nombre d’inscrits chuter progressivement. Selon un rapport du centre de recherche de l’ONG National Student Cleainghouse (NSCRC), publié en octobre dernier, le nombre d’étudiants inscrits a diminué de 1.1% par rapport à 2021.
Ce n’est pas la première fois que l’enseignement supérieur aux États-Unis perd des recrues: cette diminution est observée pour la troisième année d’affilée . En premier cycle, notamment, le nombre d’inscrit a chuté d’environ 7% depuis trois ans. En 2019, le nombre d’étudiants avait déjà baissé de 11% (soit environ 2 millions en moins) par rapport à 2011. Autre donnée conséquente: sur les près de 4000 établissements de l’enseignement supérieur, environ 200 ont fermé leurs portes au cours des 10 dernières années.
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L'historien (Stanford) Victor Davis Hanson sur le sujet
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L'historien (Stanford) Victor Davis Hanson sur le sujet
Travailler plutôt que de multiplier les années universitaires
Cette désertion progressive a plusieurs explications. D’abord, le coût exorbitant des études aux États-Unis. Les universités publiques coûtent entre 10.000 et 26.000 dollars par an aux étudiants, quand les universités privées demandent en moyenne 30.000 dollars. Les frais de scolarité des établissements les plus prestigieux, comme Harvard, Columbia et Stanford, peuvent atteindre les 60.000 dollars, selon le Times Higher Education. Des sommes colossales, qui font souvent l’objet d’un prêt étudiant et que les concernés mettent parfois plusieurs décennies à rembourser.
Résultat: les Américains tendent à se passer de diplômes. D’après un sondage Gallup, en 2013, 70% des Américains estimaient «très important» d’obtenir ce sésame contre seulement 50% en 2019, explique L’Express . La principale hypothèse, soulevée par la presse américaine, est l’attractivité du marché du travail pour les étudiants. Avec un taux de chômage assez bas et des salaires en augmentation, les jeunes préfèrent travailler rapidement plutôt que de multiplier les années à l’université.
Les petites universités sont davantage concernées
Si les établissements les plus réputés comme Yale, Stanford ou Harvard sont peu concernés, les plus petits et moins onéreux sont particulièrement touchés. Pour continuer à attirer les candidats, certains diminuent leurs frais de scolarité, ce qui réduit de facto leurs budgets.
En conséquence, le nombre de professeurs ou l’offre de cours diminuent et les universités deviennent moins attractives. À l’instar de John Hopkins, université privée qui rayonne dans tout le pays pour ses enseignements en médecine et ses travaux de recherche. L’établissement qui prévoyait un excédent de 72 millions de dollars pour 2022 table finalement sur une perte nette de plus de 100 millions de dollars, relève la radio américaine NPR. Des chiffres inquiétants qui forcent les universités à s’adapter en développant notamment leurs cours en ligne.
Des petites universités conservatrices voient, toutefois, affluer les demandes d'inscription. C'est le cas par exemple de Hillsdale College qui n'a jamais accueilli autant d'étudiants en 2021 et 2022 et qui n'a jamais été aussi sélectif dans son choix de candidats.
Sources : Figaro étudiant et Daily Wire
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