mercredi 11 novembre 2009

Même si l'école est obligatoire jusqu'à 16 ans au Québec, le décrochage existe et augmente parmi les 13-14 ans

Même si, au Québec, l'école est obligatoire jusqu'à l'âge de 16 ans, 5 400 jeunes de 13 ou 14 ans décrochent avant d'avoir terminé leur deuxième secondaire. Un chiffre qui a augmenté de 15 % depuis cinq ans. Les élèves de la réforme n'y échappent pas, bien au contraire.

Les décrocheurs au premier cycle

Année

Élèves inscrits

Décrocheurs

Taux de décrochage

2002-2003

207 805

4 690

2,26 %

2003-2004

216 986

4 974

2,30 %

2004-2005

218 809

5 083

2,32 %

2005-2006

216 014

5 245

2,43 %

2006-2007

211 167

5 380

2,55 %


Source: MELS, via Le Soleil






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Jacques Brassard critique une vache sacrée, il n'a plus sa chronique

Jacques Brassard ancien ministre péquiste, pourfendeur des marottes du correctivisme politique et du prêt-à-penser multiinterculturaliste, dont le programme ECR qu'il comparaît à une « bouillabaisse de religions », imposée subrepticement, n'a plus de chronique au Quotidien de Saguenay.

Son crime ? Avoir osé défier Steven Guilbeault porte-parole d'Équiterre et les « faits établis et reconnus par la communauté scientifique internationale ». Comme si le panurgisme était un argument scientifique, comme si des scientifiques n'émettaient pas des doutes quant à l'origine purement anthropogénique du réchauffement climatique, comme si celui-ci devait nécessairement être mauvais pour des pays comme le Québec, la Russie, l'Alaska, le Canada, la Scandinavie, bref, une très grande partie des terres émergées.

Rappelons que l'ombudsman de Radio-Canada, Mme Miville-Deschênes, avait déjà dénoncé en mai 2009 le manque de diversité à la SRC en citant précisément M. Steven Guilbeault : « Un exemple : à lui seul, Steven Guilbeault, ex-directeur de Greenpeace au Québec, a été entendu 120 fois à la radio et à la télévision de Radio-Canada en 2007. »

Mario Dumont parle de la sanction pour crime de lèse-correctivisme politique qui frappe Jacques Brassard



Les éléments du délit :

La Chronique de Jacques Brassard : « La prophétie d'Andy Warhol se réalise ».

Extraits :
« L'un des prélats les plus en vue de l'épiscopat écolo-réchauffiste est Steeve Guilbeault.

Le géologue et sismologue à la retraite de l'UQAC, Reynald Du Berger, aussi ingénieur de formation, s'est intéressé récemment à cet expert auto-proclamé. Il a découvert que les études supérieures que Steeve Guilbeault avait abordées étaient théologiques. Il ne s'est pas rendu, cependant, jusqu'au diplôme, mais en a gardé la propension au dogmatisme. C'est ce théologien inachevé qui, depuis des années, nous sermonne sur le climat, la forêt et l'énergie. Et qui est sujet d'une vénération flagorneuse de la part de tous les médias, plus particulièrement de Radio-Canada, Télé-Québec et du Devoir.

Avis

Auparavant, Steeve Guilbault pontifiait à partir de Greenpeace; maintenant, il prêche la bonne parole à Équiterre, une congrégation écolo québécoise. Il est, à toutes fins utiles, le Professeur Tournesol attitré de Radio-Canada. Récemment, en zappant le matin (ce qui m'arrive rarement), je l'ai vu aux «Lionnes». Il pérorait sur le climat tout en dénigrant le Stephen Harper. Les animatrices étaient en extase devant ce «guide spirituel».

En fait, à ma connaissance, je n'ai jamais vu ce fat personnage sérieusement questionné ou talonné par les animateurs-bureaucrates de la société d'État. Ces derniers ne sont toujours que des faire-valoir, lui permettant de présenter sa salade sur la forêt ou le climat. Jamais de questions embarrassantes qui risqueraient de mettre à nu les lacunes de son bric-à-brac doctrinal. »

Équiterre défend Steven Guilbeault.

Supplément pour contrer l'unanimisme écologiste des manuels et cahiers ECR

Débat entre universitaires à l'Université de Nantes le 7 juin 2009 sur le réchauffement climatique (1/4)



Serge Galam : « le réchauffement climatique n'est pas prouvé »





Écrivez (courtoisement) pour vous plaindre de cette troublante entrave au débat et à la libre expression :

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Le Quotidien
1051, boul. Talbot
Saguenay, Québec
Canada, G7H 5C1

Téléphone : 418 545-4474

Sans garderies gouvernementales, sans congés parentaux généralisés, la natalité canadienne augmente plus vite que la québécoise

En 2007, il est né environ 13 000 bébés de plus que l'année précédente au Canada.

Au total, 367 864 enfants sont nés en 2007, soit 3,7 % de plus qu'en 2006. Statistique Canada révèle ce matin que les provinces de l'Alberta, de l'Ontario, du Québec et de la Colombie-Britannique sont responsables de la presque totalité de cette croissance. Près d'un nouveau-né sur cinq au Canada en 2007 était Québécois. Il s'agit d'une progression de 3 % du nombre de bébés au Québec entre 2006 et 2007.

Naissances et indice synthétique de fécondité, Canada, 1987 à 2007


L'indice synthétique de fécondité, soit le nombre moyen d'enfants par femme, s'est accru pour passer de 1,59 en 2006 à 1,66 en 2007.

Bien qu'il s'agisse de l'indice synthétique de fécondité le plus élevé enregistré depuis 1992, ce dernier s'est situé encore nettement en dessous du seuil de remplacement de 2,1 enfants par femme. Ce seuil représente le niveau qu'il faut maintenir pour remplacer la population en l'absence de migration.

Bien que sa croissance démographique soit plus forte que celle du Québec, le reste du Canada n'a pas mis en place les mesures sélectives et non universelles choisies par la Belle Province : garderies très fortement subventionnées pour les femmes qui retournent travailler, congés parentaux prolongés. Ces mesures sélectives ont été préférées au Québec à des mesures universelles d'aide à tous les parents.

Voir également :






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