Selon le Journal de Québec, Jean-François Lisée n’a pas l’intention de laisser le monopole du débat identitaire à Bernard Drainville et il peaufine sa position sur la laïcité.
Depuis la France, où il a passé les dernières semaines à s’occuper de son nouveau-né, le député de Rosemont milite pour que le Québec affirme la primauté de la norme sociale sur la religion. «Hors du temple, c’est la norme sociale, laïque, qui doit avoir préséance», plaide-t-il, dans un document obtenu par le Bureau parlementaire. Gageons que cette norme sociale sera bien à gauche, bien « progressiste ».
Mais le Québec ne doit pas refaire les erreurs commises par le gouvernement Marois, qui est allé trop vite en voulant bannir en bloc les signes religieux dans l’ensemble de la fonction publique, prévient l’aspirant chef péquiste.
Selon le député péquiste, les attentats perpétrés contre le journal satirique Charlie Hebdo à Paris constituent un tournant dans le débat sur la laïcité. «Il y a un avant et un après-Charlie.»
Et, pour respecter «l’esprit Charlie», la primauté de la norme sociale sur la religion devrait être au menu des cours d’Éthique et de culture religieuse que suivent les jeunes Québécois et être communiquée clairement aux nouveaux arrivants. Quelle est cette norme ? Qui la déterminera ?
Jean-François Lisée propose d'éteindre graduellement, sur une période de 15 ans, le financement public d’écoles à vocation religieuse. Pourquoi ? L'article du Journal de Montréal ne le dit pas. En outre, M. Lisée veut « Baliser strictement les écoles non subventionnées à vocation religieuse ».
De moins en moins de libertés dans des écoles de plus en plus « laïques ».... Afin d'intégrer les « immigrants » ? Les catholiques et protestants du Québec écoperont-ils encore ?
Depuis la France, où il a passé les dernières semaines à s’occuper de son nouveau-né, le député de Rosemont milite pour que le Québec affirme la primauté de la norme sociale sur la religion. «Hors du temple, c’est la norme sociale, laïque, qui doit avoir préséance», plaide-t-il, dans un document obtenu par le Bureau parlementaire. Gageons que cette norme sociale sera bien à gauche, bien « progressiste ».
Mais le Québec ne doit pas refaire les erreurs commises par le gouvernement Marois, qui est allé trop vite en voulant bannir en bloc les signes religieux dans l’ensemble de la fonction publique, prévient l’aspirant chef péquiste.
Selon le député péquiste, les attentats perpétrés contre le journal satirique Charlie Hebdo à Paris constituent un tournant dans le débat sur la laïcité. «Il y a un avant et un après-Charlie.»
Et, pour respecter «l’esprit Charlie», la primauté de la norme sociale sur la religion devrait être au menu des cours d’Éthique et de culture religieuse que suivent les jeunes Québécois et être communiquée clairement aux nouveaux arrivants. Quelle est cette norme ? Qui la déterminera ?
Jean-François Lisée propose d'éteindre graduellement, sur une période de 15 ans, le financement public d’écoles à vocation religieuse. Pourquoi ? L'article du Journal de Montréal ne le dit pas. En outre, M. Lisée veut « Baliser strictement les écoles non subventionnées à vocation religieuse ».
De moins en moins de libertés dans des écoles de plus en plus « laïques ».... Afin d'intégrer les « immigrants » ? Les catholiques et protestants du Québec écoperont-ils encore ?
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