Radio-Canada nous informe que
Cela n'a rien d'étonnant.
La tactique du Monopole de l'Éducation dans ce dossier a toujours été d'imposer sans dialoguer.
En trois ans, et malgré une demande annuelle de rencontre par la Coalition pour la liberté en éducation (CLÉ), aucun ministre de l'Éducation n'a daigné rencontrer les dirigeants de la CLÉ.
M. Jacques Pettigrew, responsable du dossier ECR au MELS, avait écrit à la vice-ministre de l'Éducation pour lui recommander « qu’il serait préférable de ne pas répéter [des] rencontres » d'information sur le cours ECR, qu'il valait mieux simplement l'imposer en douceur, en gommant au début de son implantation les aspects les plus contestés, plutôt que de dialoguer et de discuter avec les parents. Voir le procès-verbal de son contre-interrogatoire lors du procès de Drummondville. (Imaginez la même chose dans le dossier des gaz de schiste...)
Même lorsque Loyola a gagné son procès, M. Charest n'a pu sortir que des propos convenus et des banalités sur « l'importance du dossier » (sans jamais expliquer pourquoi) et que le débat sur les « écoles laïques » durait depuis des décennies. M. Charest n'a pas expliqué en quoi des écoles confessionnelles privées, comme le collège catholique Loyola, devraient être des écoles laïques...
Imposer, surtout pas dialoguer, même pas répondre dans les médias, en espérant que la polémique passe, les choses se tassent, les parents se lassent et s'assoupissent, voilà la tactique d'un gouvernement qui veut imposer un programme qui prétend prôner le « dialogue » et l'« ouverture ».
« La ministre de l'Éducation du Québec, Line Beauchamp, n'a pas commenté la décision de la Cour suprême. »
Cela n'a rien d'étonnant.
La tactique du Monopole de l'Éducation dans ce dossier a toujours été d'imposer sans dialoguer.
En trois ans, et malgré une demande annuelle de rencontre par la Coalition pour la liberté en éducation (CLÉ), aucun ministre de l'Éducation n'a daigné rencontrer les dirigeants de la CLÉ.
M. Jacques Pettigrew, responsable du dossier ECR au MELS, avait écrit à la vice-ministre de l'Éducation pour lui recommander « qu’il serait préférable de ne pas répéter [des] rencontres » d'information sur le cours ECR, qu'il valait mieux simplement l'imposer en douceur, en gommant au début de son implantation les aspects les plus contestés, plutôt que de dialoguer et de discuter avec les parents. Voir le procès-verbal de son contre-interrogatoire lors du procès de Drummondville. (Imaginez la même chose dans le dossier des gaz de schiste...)
Même lorsque Loyola a gagné son procès, M. Charest n'a pu sortir que des propos convenus et des banalités sur « l'importance du dossier » (sans jamais expliquer pourquoi) et que le débat sur les « écoles laïques » durait depuis des décennies. M. Charest n'a pas expliqué en quoi des écoles confessionnelles privées, comme le collège catholique Loyola, devraient être des écoles laïques...
Imposer, surtout pas dialoguer, même pas répondre dans les médias, en espérant que la polémique passe, les choses se tassent, les parents se lassent et s'assoupissent, voilà la tactique d'un gouvernement qui veut imposer un programme qui prétend prôner le « dialogue » et l'« ouverture ».
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