Le ministre de l'Éducation, Yves Bolduc, a confirmé mercredi son intention d'entreprendre des démarches pour fermer les écoles juives illégales qui sont exploitées clandestinement.
Sa déclaration fait suite à la diffusion sur les ondes de TVA Nouvelles en début de semaine d’un reportage sur une école dite clandestine de la communauté juive hassidique Kyrias Tosh, à Boisbriand, dans Lanaudière.
Des voisins avaient informé la Ville de la présence quotidienne de jeunes filles qui affluent vers une résidence du chemin de la Rivière-Cachée, tout près de l'important quartier habité par 3000 juifs hassidiques.
« Au niveau des écoles juives, on a trois catégories d'écoles, a rappelé le ministre Bolduc mercredi matin, à Québec. Il y a des écoles qui ont un permis, qui sont légales, et qui répondent aux critères du ministère de l'Éducation. Donc, à ce moment-là, il n'y a pas de difficultés. Il y a des écoles légales qui ont besoin d'ajustements. Et il y a les écoles illégales qu'on ne tolérera pas. »
« On est en train de regarder ce qui peut être fait, a-t-il ajouté. Il y a une réunion entre différents ministères afin de voir les actions à poser. Mais je tiens à le dire, il ne doit pas y avoir d'écoles illégales. Il faut que les étudiants reçoivent l'éducation recommandée par le ministère. »
Voir aussi
Les écoles juives et la liberté du choix d'éducation des parents québécois
Sa déclaration fait suite à la diffusion sur les ondes de TVA Nouvelles en début de semaine d’un reportage sur une école dite clandestine de la communauté juive hassidique Kyrias Tosh, à Boisbriand, dans Lanaudière.
Des voisins avaient informé la Ville de la présence quotidienne de jeunes filles qui affluent vers une résidence du chemin de la Rivière-Cachée, tout près de l'important quartier habité par 3000 juifs hassidiques.
« Au niveau des écoles juives, on a trois catégories d'écoles, a rappelé le ministre Bolduc mercredi matin, à Québec. Il y a des écoles qui ont un permis, qui sont légales, et qui répondent aux critères du ministère de l'Éducation. Donc, à ce moment-là, il n'y a pas de difficultés. Il y a des écoles légales qui ont besoin d'ajustements. Et il y a les écoles illégales qu'on ne tolérera pas. »
« On est en train de regarder ce qui peut être fait, a-t-il ajouté. Il y a une réunion entre différents ministères afin de voir les actions à poser. Mais je tiens à le dire, il ne doit pas y avoir d'écoles illégales. Il faut que les étudiants reçoivent l'éducation recommandée par le ministère. »
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