Dans l'esprit pluraliste normatif, si cher à Georges Leroux et au cours ECR, une église québécoise de Thetford Mines a inclus un minaret.
Au Québec, on demeure discret sur la construction de minarets. Toutefois, il ne faudrait pas croire qu'il n'y en a pas. À Pontbriand, près de Thetford-Mines, un minaret a été inclus à la nouvelle église Versant-la-Noël, également appelée le « pavillon œcuménique ». Le nom est incorrect, puisque l'œcuménisme ne vise que les confessions chrétiennes. Le minaret, en saillie, domine en hauteur certains pignons et concurrence le clocher. Ne pointez surtout pas les musulmans du coin, car c'est un prêtre catholique, à l'origine de ce projet, qui a décidé d'inclure le minaret. Le pavillon « œcuménique » a été ouvert en septembre 2008.
Le Québec une fois de plus en avance...
Le minaret est la tour brune érigée à l'extrême droite du bâtiment. Elle arbore un croissant de lune.
L'Église catholique du Québec fait la publicité de ce centre. Sur son site, elle décrit la chanson La croix, l'étoile et le croissant du prêtre responsable de ce centre comme un « chant œcuménique ». C'est inexact, c'est un chant interreligieux. [Le responsable du site ecdq.tv nous informe que ce site à corriger cette inexactitude.]
Jocelyne Hudon, ex-agente de pastorale actuellement en service bénévole à ce même centre Versant-La-Noël, veut devenir prêtre comme nous l'apprend Sentier de foi, journal réticulaire qui se penche sur les « expériences humaines et spirituelles novatrices » et où l'on s'adresse à « Dieu/e ».
Mme Hudon y déclare, notamment, que « Si c’est vrai que le prêtre est l’homme de l’eucharistie, qui donne Jésus au monde, alors Marie, une femme, qui a justement donné Jésus au monde, est la première prêtre de l’humanité ! » Mme Hudon a récemment mit fin à son mandat d'agente pastorale après 17 années. Elle commente ainsi ce tournant dans sa vie : « Mon lien avec l’Église n’est pas rompu. Je reste un témoin de l’Évangile. Je crois toujours que je suis appelée au ministère ordonné, car bien des gens m’ont reconnue ainsi. »
Pour avoir infligé la mièvre chansonnette du prêtre du centre Versant-la-Nöel, nous proposons un extrait d'une œuvre rétrograde ni interreligieuse, ni syncrétique au niveau religieux, le Stabat mater dolorosa de Pergolèse, compositeur italien du XVIIIe siècle mort à 26 ans.
Source partielle
Au Québec, on demeure discret sur la construction de minarets. Toutefois, il ne faudrait pas croire qu'il n'y en a pas. À Pontbriand, près de Thetford-Mines, un minaret a été inclus à la nouvelle église Versant-la-Noël, également appelée le « pavillon œcuménique ». Le nom est incorrect, puisque l'œcuménisme ne vise que les confessions chrétiennes. Le minaret, en saillie, domine en hauteur certains pignons et concurrence le clocher. Ne pointez surtout pas les musulmans du coin, car c'est un prêtre catholique, à l'origine de ce projet, qui a décidé d'inclure le minaret. Le pavillon « œcuménique » a été ouvert en septembre 2008.
Le Québec une fois de plus en avance...
Le minaret est la tour brune érigée à l'extrême droite du bâtiment. Elle arbore un croissant de lune.
L'Église catholique du Québec fait la publicité de ce centre. Sur son site, elle décrit la chanson La croix, l'étoile et le croissant du prêtre responsable de ce centre comme un « chant œcuménique ». C'est inexact, c'est un chant interreligieux. [Le responsable du site ecdq.tv nous informe que ce site à corriger cette inexactitude.]
Jocelyne Hudon, ex-agente de pastorale actuellement en service bénévole à ce même centre Versant-La-Noël, veut devenir prêtre comme nous l'apprend Sentier de foi, journal réticulaire qui se penche sur les « expériences humaines et spirituelles novatrices » et où l'on s'adresse à « Dieu/e ».
Mme Hudon y déclare, notamment, que « Si c’est vrai que le prêtre est l’homme de l’eucharistie, qui donne Jésus au monde, alors Marie, une femme, qui a justement donné Jésus au monde, est la première prêtre de l’humanité ! » Mme Hudon a récemment mit fin à son mandat d'agente pastorale après 17 années. Elle commente ainsi ce tournant dans sa vie : « Mon lien avec l’Église n’est pas rompu. Je reste un témoin de l’Évangile. Je crois toujours que je suis appelée au ministère ordonné, car bien des gens m’ont reconnue ainsi. »
Pour avoir infligé la mièvre chansonnette du prêtre du centre Versant-la-Nöel, nous proposons un extrait d'une œuvre rétrograde ni interreligieuse, ni syncrétique au niveau religieux, le Stabat mater dolorosa de Pergolèse, compositeur italien du XVIIIe siècle mort à 26 ans.
Source partielle
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