Extrait d'un entretien avec Jean-David Ponci, délégué de l’EASSE (European Association Single Sex Education) pour les pays francophones et germanophones.
Les classes non mixtes ne sont-elles pas un reliquat désuet du passé ?
Il existe aujourd’hui de nombreux établissements non mixtes dans tous les pays d’Europe, aussi bien dansl’enseignement public que privé. La légitimité juridique de ce mode d’éducation est reconnue par le droit international. Séparer filles et garçons pour les enseigner dans certaines matières ou dans toutes n’a rien de discriminatoire, puisque cela profite aux garçons comme aux filles.
Quelle est la situation au Royaume-Uni par exemple ?
Le Royaume-Uni compte 1902 écoles différenciées [unisexes], dont 416 écoles gouvernementales et 676 écoles indépendantes résultats au diplôme britannique de référence, le General Certificate of Secondary Schools, constituent l’un des arguments en faveur du maintien de cette option éducative, car, sur les 100 meilleures écoles de cette année, 81 sont des écoles différenciées, qu’elles soient étatiques ou indépendantes. C’est principalement pour réduire les écarts de résultats entre filles et garçons que l’Office for Standards in Education recommande la séparation selon le sexe dans les écoles.
Source : Les Chroniques de la Fondation, n° 3, juillet 2010.
Les classes non mixtes ne sont-elles pas un reliquat désuet du passé ?
Il existe aujourd’hui de nombreux établissements non mixtes dans tous les pays d’Europe, aussi bien dansl’enseignement public que privé. La légitimité juridique de ce mode d’éducation est reconnue par le droit international. Séparer filles et garçons pour les enseigner dans certaines matières ou dans toutes n’a rien de discriminatoire, puisque cela profite aux garçons comme aux filles.
Quelle est la situation au Royaume-Uni par exemple ?
Le Royaume-Uni compte 1902 écoles différenciées [unisexes], dont 416 écoles gouvernementales et 676 écoles indépendantes résultats au diplôme britannique de référence, le General Certificate of Secondary Schools, constituent l’un des arguments en faveur du maintien de cette option éducative, car, sur les 100 meilleures écoles de cette année, 81 sont des écoles différenciées, qu’elles soient étatiques ou indépendantes. C’est principalement pour réduire les écarts de résultats entre filles et garçons que l’Office for Standards in Education recommande la séparation selon le sexe dans les écoles.
Source : Les Chroniques de la Fondation, n° 3, juillet 2010.
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