Nous avions déjà soulevé le fait qu'une des principales composantes du cours d'éthique et de culture religieuse était l'écologisme.
Or, voici qu'une affaire en Grande-Bretagne semble apporter de l'eau au moulin de ceux qui prévoyaient la sacralisation de l'écologisme auprès des tribunaux. Le Guardian (journal du meilleur aloi bobo et politiquement correct) rapportait ainsi dans son édition de dimanche :

Or, voici qu'une affaire en Grande-Bretagne semble apporter de l'eau au moulin de ceux qui prévoyaient la sacralisation de l'écologisme auprès des tribunaux. Le Guardian (journal du meilleur aloi bobo et politiquement correct) rapportait ainsi dans son édition de dimanche :
« Tim Nicholson, un cadre supérieur, affirmait qu'il avait été injustement licencié par une société d'investissements immobiliers parce que son opinion sur l'environnement rentrait en conflit avec « le mépris » des autres gestionnaires « quant à la nécessité de couper les émissions de carbone. »
Dans une première affaire de ce type, un tribunal du travail a statué que Nicholson, âgé de 41 ans, avait des opinions qui équivalaient à une « croyance philosophique dans le changement climatique », ce qui lui octroie une protection juridique contre les discriminations équivalente à celle qui protège les croyances religieuses. »