Le Son de la Liberté vient d’atteindre des recettes de 124,748 millions de dollars sur le marché nord-américain. Le budget total de cette production n’a été que de 14 millions de dollars. À titre de comparaison, le dernier Indiana Jones aurait coûté
Le Son de la liberté résiste très bien : cette fin de semaine il a dépassé le dernier Mission impossible sorti la semaine passée et bat nettement l’ultime opus de la série Indiana Jones sorti le 30 juin.
Le chef du parti conservateur du Québec a été voir le film et il a tenu à remettre les pendules à l’heure :
Billet du 16 juillet
Les chiffres de la fin de semaine :
On apprend ce même jour que l’auteur d’une critique de Bloomberg sur le film est une personne peu recommandable. En effet, il s’agit de l’activiste de gauche Noah Berlatsky @nberlat. Il était le porte-parole du groupe de défense MAP (personne attirée par les mineurs), Prostasia. En 2017, il a tweeté que les pédophiles sont un groupe stigmatisé qui est désigné comme déviant à des fins haineuses.
Le lien vers les représentations du « Son de liberté » aux cinémas Guzzo
Deux cinémas Cinestarz le présentent également à Côte-des-Neiges et Cavendish.
Billet du 12 juillet
Ces deux derniers jours, le film Sound of Freedom trône toujours en tête des recettes de cinéma devant le dernier Indiana Jones qui s’essouffle rapidement.
La gauche ne pouvant continuer d’ignorer le film, tente de le saboter
Les médias subventionnés ne peuvent plus ignorer le succès du film aux États-Unis, ils ont donc commencé à en parler. Ce qui est étonnant c’est qu’ils parlent très peu du film en tant qu’œuvre cinématographique : est-il bon, bien filmé, fidèle à l’histoire vraie sur laquelle il dit être basé, les acteurs convaincants, etc. ? Au lieu de cela, on assiste à un tir groupé de ces médias de gauche qui attaquent le film de conserve en faisant les mêmes amalgames : il plairait à de sombres complotistes de la droite la plus radicale, la plus extrême, etc.
Exemple la Voix d’Ottawa, Radio-Canada :
Exemple Le Parisien :
Ce sont là les mêmes éléments de langage, le même récit, utilisés par la gauche dite progressiste américaine et ses organes de propagande, ses médias : Rolling Stones, New York Times, Washington Post, CNN, etc.
Sur CNN, l’auteur de gauche Mike Rothschild s’est récemment moqué de Sound of Freedom et de Caviezel, affirmant qu’ils s’adressaient à QAnon et soutenaient QAnon.
Le Guardian a publié un article sur le
film, le qualifiant de « proche de QAnon » et de « paranoïaque », tandis que Rolling Stone s’est moqué du film, le qualifiant de « triomphe pour les adeptes de QAnon ».
QAnon est un terme fourre-tout utilisé par la gauchosphère pour désigner les personnes qui croient qu’il existerait des réseaux mondiaux de trafic sexuel d’enfants impliquant une grande partie de l’élite mondiale.
Le sens de ce terme vague s’est encore élargi ces dernières années pour englober tout conservateur qui croit en une quelconque théorie du complot.
Le réalisateur de Sound of Freedom, Alejandro Monteverde, a déclaré lors d’une séance de questions-réponses que la couverture médiatique négative n’avait pas découragé le public, bien au contraire.
Sound of Freedom est inspiré de l’histoire de Tim Ballard et de
son organisme Operation Underground Railroad (OUR). Ils mènent des opérations pour sauver des victimes de trafic d’enfants.
Les critiques de gauche se fondent sur des « enquêtes » à charge du bien nommé et défunt média de gauche Vice. Ces reportages visent à décrédibiliser l’importance du travail effectué par le réseau OUR. Vice Media a fait faillite en mai 2023. C’est une source militante et qui n’est pas exempte de taches. En effet, Vice a été critiqué par d’anciens employés pour avoir publié les travaux de Terry Richardson, un photographe accusé d’abus sexuels par plusieurs mannequins. Dans un autre documentaire, une ancienne employée qui couvrait un reportage sur les prostituées dans un pays en développement a déclaré que Vice avait tenté de « faire du sensationnel et d’exploiter » les femmes représentées. À une occasion, les producteurs ont demandé à l’employée en question de se faire passer pour une prostituée, ce qu’elle a refusé.
Notons l’ironie de tous ces médias qui nous disent sans cesse qu’il n’est pas grave que l’histoire réelle soit arrangée pour la mettre aux goûts progressistes du jour : des femmes dans des rôles clés inventés ; des racisés qui interprètent des blancs ; des comportements, des attitudes ou des gestes anachroniques progressistes, etc. Les voilà qui se plaignent ici que l’histoire serait romancée en citant des enquêtes très suspectes d’un média de gauche partisan lui-même lié à des histoires de sensationnalisme et de méconduites sexuelles.
Mel Gibson invite les spectateurs à voir Sound of Freedom :
29 juin 2023 Mel GIBSON
— 🇧🇪 𝕎𝒍𝕒𝒅𝕪𝒌.🅡 🇧🇪 (@PtaVla07) July 7, 2023
alerte sur la traite des enfants
et recommande de regarder
« Sound of Freedom »
L’un des problèmes les plus dérangeants dans notre Monde
aujourd’hui ; pic.twitter.com/9VgNeFw7Jr
L’avis d’un spectateur :
Rappel, le film sera en salles au Québec à partir du 14 juillet, mais uniquement en anglais (même pas de sous-titres apparemment) :
Billet du 7 juillet
Un film avec Jim Caviezel sur le trafic d’enfants, Sound of freedom, s’est hissé en haut du palmarès des sorties cinématographique, dépassant, le 4 juillet 2023, le dernier opus d’Indiana Jones.
Disney a possédé les droits de ce film pendant quatre ans et n’en a rien fait. C’est finalement les studios Angel Studio, qui produit également The Chosen (L’Élu ou Les Élus) qui a décidé de le produire. Le film a engrangé 14 millions de dollars de recette en une journée, il est devenu numéro un du box-office américain, dépassant ainsi la nouvelle aventure d’Harrison Ford qui n’a remporté que 11 millions de dollars le même jour.
Sound of freedom dépeint l’histoire vraie de Tim Ballard, joué par Jim Caviezel. Père de six enfants et agent fédéral, il a arrêté plus de 280 pédophiles. Persuadé que « les enfants de Dieu ne sont pas à vendre » et il va tout faire pour sauver une petite fille victime d’un trafic d’enfants.
Le film sortira au Québec dans les cinémas Guzzo le 14 juillet, uniquement en version anglaise, pendant une semaine.
La date de sortie du film en France n’est malheureusement pas encore connue.
#SoundOfFreedom c’est le signal que vous attendions : la guerre contre la pédocriminalité va enfin devenir le sujet central. #SoundOfFreedom raconte le combat de Tim Ballard, qui a filmé lui-même ses raids pour sauver des enfants victimes, destinés à devenir des objets sexuels,… pic.twitter.com/8qiFtFPGJw
— Karl Zero Absolu (@karlitozero) July 7, 2023
“Grâce aux fans de tout le pays, Sound Of Freedom a remporté la première place en tant que film numéro un américain le jour de l’indépendance. Nous avons reçu de nombreux messages nous informant que les cinémas sont pleins à craquer ou affichent complet. Ce film a maintenant pris vie de lui-même pour devenir quelque chose de plus que cela, un mouvement populaire », a partagé Neal Harmon, PDG d’Angel Studios. Un succès étonnant quand on sait que le film est distribué de manière indépendante !
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Juger la vie privée de Simone de Beauvoir (Elle a eu une relation avec une élève de 15 ans qui lui aurait valu son congédiement du lycée Molière à la fin des années 30. On relate aussi ses relations amoureuses avec des jeunes femmes qui étaient aussi ses étudiantes, qu’elle « rabattait » ensuite vers son compagnon Jean-Paul Sartre. En 2008, la Britannique Carole Seymour-Jones, auteure du livre A Dangerous Liaison, décrivait le comportement de Beauvoir comme un « abus d’enfant » se rapprochant de la « pédophilie ». En 2015, dans Simone de Beauvoir et les femmes, Marie-Jo Bonnet qualifiait de « contrat pervers » le modus operandi entre Beauvoir et Sartre. Le blogueur du Journal de Montréal Normand Lester accuse quant à lui Beauvoir d’être une « prédatrice sexuelle ».)
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