Une bande de jeunes filles âgées de 9 à 15 ans a été interpellée hier soir en France pour une tentative de vol avec violence. Une délinquance féminine en augmentation.
Elles volent, s'habillent et jurent comme les garçons. Les policiers du commissariat central du XVe arrondissement de Paris n'en sont pas encore revenus. Hier soir, dans le parc Citroën (Paris XVe), une bande d'une dizaine d'adolescentes a agressé deux jeunes femmes de 25 ans pour leur voler leurs téléphones portables. Six d'entre elles ont été interpellées après que les victimes, légèrement blessées mais très choquées, ont alerté la police. La plus jeune des adolescentes, âgée de 9 ans, a été confiée à son père. Une autre, âgée de 12 ans, a été auditionnée avant d'être remise en liberté. Les quatre dernières, d'origine africaine et âgées de 13 à 15 ans, formellement reconnues par les victimes, ont été placées en garde à vue.
De plus en plus de mineures
« Ce phénomène de bandes de filles qui volent ou rackettent a tendance à se développer, observe un responsable policier. Aujourd'hui, certaines filles, par manque de repères, s'identifient aux garçons pour exister dans leur quartier. » En cinq ans, la part des mineures mises en cause dans les faits de délinquance a augmenté de 24,4 %, alors qu'elle a baissé de 2,9 % pour les garçons (1). Elle représentait 3,1 % des mis en cause pour les crimes et délits, contre 14,7 % côté garçons. Un phénomène sans doute sous-évalué. En effet, il existerait une prime à la féminité. « On a tendance à considérer les jeunes délinquantes comme des victimes et à les orienter vers le champ thérapeutique, plutôt que le judiciaire », explique un policier. En fait, lorsque des mineures se retrouvent au tribunal, ce sont souvent pour des délits assez graves.
Source
Elles volent, s'habillent et jurent comme les garçons. Les policiers du commissariat central du XVe arrondissement de Paris n'en sont pas encore revenus. Hier soir, dans le parc Citroën (Paris XVe), une bande d'une dizaine d'adolescentes a agressé deux jeunes femmes de 25 ans pour leur voler leurs téléphones portables. Six d'entre elles ont été interpellées après que les victimes, légèrement blessées mais très choquées, ont alerté la police. La plus jeune des adolescentes, âgée de 9 ans, a été confiée à son père. Une autre, âgée de 12 ans, a été auditionnée avant d'être remise en liberté. Les quatre dernières, d'origine africaine et âgées de 13 à 15 ans, formellement reconnues par les victimes, ont été placées en garde à vue.
De plus en plus de mineures
« Ce phénomène de bandes de filles qui volent ou rackettent a tendance à se développer, observe un responsable policier. Aujourd'hui, certaines filles, par manque de repères, s'identifient aux garçons pour exister dans leur quartier. » En cinq ans, la part des mineures mises en cause dans les faits de délinquance a augmenté de 24,4 %, alors qu'elle a baissé de 2,9 % pour les garçons (1). Elle représentait 3,1 % des mis en cause pour les crimes et délits, contre 14,7 % côté garçons. Un phénomène sans doute sous-évalué. En effet, il existerait une prime à la féminité. « On a tendance à considérer les jeunes délinquantes comme des victimes et à les orienter vers le champ thérapeutique, plutôt que le judiciaire », explique un policier. En fait, lorsque des mineures se retrouvent au tribunal, ce sont souvent pour des délits assez graves.
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2 commentaires:
Allons, allons
ce n'est pas là et vous le savez bien une conséquence du féminisme... c'est une conséquence de l'immigration sub-saharienne.
Comment ? Dia !
L'immigration aurait des conséquences néfastes et ne nous enrichirait pas ????
Rrraaciste !
Et puis, les filles africaines en Afrique sont-elles aussi violentes ? Si ce n'est pas le cas... Pourquoi deviennent-elles violentes en Occident ?
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