Gavé d'une immigration massive (temporaire ou non) bon marché [voir Le Canada doit cesser de dépendre d'une main-d'œuvre étrangère bon marché, déclare le ministre de l'immigration Marc Miller], le Canada investit très peu dans la robotisation. Le capital disponible est absorbé en grande partie par la construction pour accueillir ces millions d'immigrants (voir aussi Immigration et niveau de vie ne riment pas).
Graphique publié le 4 avril dans le Financial Times de Londres:
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| Source : International Federation of Robotics |
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