Une école primaire privée catholique est sous le feu des critiques après que les élèves ont été « invités » à manifester leur solidarité avec les migrants en faisant cinq fois le tour d’un terrain, en pleine canicule. On notera que les travailleurs de la construction ou les agriculteurs qui travaillent dehors par la même température ne semblent pas mériter de solidarité.
Les enfants ont participé à la campagne « Partagez le chemin » lancée par le pape François, malgré des températures atteignant 33 °C et les avertissements du Ministère de la Santé de rester à l’écart du soleil.
Lundi, le jour de l’événement, était le jour le plus chaud de l’année.
Les parents d’élèves de l’école catholique St Gregory à Margate, dans le Kent, ont déclaré que cela n’aurait jamais dû se passer..
Un grand-père a qualifié l’événement de « dégoûtant ».
Il fulmine : « Alors, ma petite-fille est rentrée de l’école aujourd’hui en disant qu’ils devaient se promener et faire le tour du champ cinq fois pour se mettre à la place d’un réfugié »
Un autre parent déclare : « On n’a pas demandé aux enfants s’ils voulaient participer ou non, on leur a dit que c’était ce qu’ils devaient faire. Quelques membres du personnel étaient en désaccord avec le fait de faire cette activité en pleine chaleur, mais apparemment la hiérarchie a insisté. »
Ils avaient aussi un gars de CAFOD (l’Agence catholique pour le développement outre-mer) qui leur a fait un discours.
« Une de mes filles m’a dit que chaque fois qu’ils se promenaient, ils devaient s’arrêter et dire une prière et ce n’était pas fait à l’ombre ». Pour les « migrants » ?
Source
Les enfants ont participé à la campagne « Partagez le chemin » lancée par le pape François, malgré des températures atteignant 33 °C et les avertissements du Ministère de la Santé de rester à l’écart du soleil.
Lundi, le jour de l’événement, était le jour le plus chaud de l’année.
Les parents d’élèves de l’école catholique St Gregory à Margate, dans le Kent, ont déclaré que cela n’aurait jamais dû se passer..
Un grand-père a qualifié l’événement de « dégoûtant ».
Il fulmine : « Alors, ma petite-fille est rentrée de l’école aujourd’hui en disant qu’ils devaient se promener et faire le tour du champ cinq fois pour se mettre à la place d’un réfugié »
Un autre parent déclare : « On n’a pas demandé aux enfants s’ils voulaient participer ou non, on leur a dit que c’était ce qu’ils devaient faire. Quelques membres du personnel étaient en désaccord avec le fait de faire cette activité en pleine chaleur, mais apparemment la hiérarchie a insisté. »
Ils avaient aussi un gars de CAFOD (l’Agence catholique pour le développement outre-mer) qui leur a fait un discours.
« Une de mes filles m’a dit que chaque fois qu’ils se promenaient, ils devaient s’arrêter et dire une prière et ce n’était pas fait à l’ombre ». Pour les « migrants » ?
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