vendredi 2 octobre 2009

Mathieu Bock-Côté et Joëlle Quérin sur le programme ECR

Mathieu Bock-Côté et Joëlle Quérin, tous deux doctorants en sociologie à l'UQAM, ont accepté l’invitation des publications universitaires et se sont rendus dans les nouveaux studios de CHOQ FM pour répondre à quelques questions. Dans cette entrevue, il a été question de plusieurs sujets :
  1. Pourquoi parler « d’une censure pluraliste » appliquée à ceux qui contestent le cours ÉCR ?
  2. Quel est le lien entre le cours d’ÉCR et la pratique des accommodements raisonnables ?
  3. Pourquoi, et à quelle fin, ce cours a-t-il été mis sur pieds ?
  4. En quoi ce nouveau cours pose-t-il problème par rapport à la conception de l’identité du Québec ?
  5. Pourquoi dire de ce cours qu’il correspond à un « endoctrinement des élèves » ?


Pour écouter cette entrevue, cliquez sur le lecteur ci-dessous.



Calendrier multiinterculturel officiel mentionné par Mathieu Bock-Côté.



Cliquer sur l'image pour l'agrandir.

Ou version PDF (8½″ x 11″) pour vos classes d'interculturalisme.






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1 commentaire:

Jonathan a dit…

On trouve sur ce blogue de nombreux exemples qui prouvent que le cours ECR cherche en effet à déconstruire l'identité nationale québécoise et faire la promotion du multiculturalisme, une doctrine de Pierre Trudeau pour casser le mythe d'un Canada né d'un pacte entre deux peuples fondateurs par celui d'un Canada composé d'une multitude de solitudes ethnoculturelles et ainsi marginaliser la Nation québécoise ou canadienne-française. Que le multiculturalisme soit imposé avec une feuille d'érable ou une fleur de lys, le résultat sera le même.

Mais où est la mobilisation anti-ECR des nationalistes, des souverainistes, des indépendantistes purs et durs, de la SSJB et de tout ces mouvements arborant le drapeau de 1837 devant ce grave danger?

On peut bien critiquer la CLÉ et les parents croyants en disant « qu'ils ne parlent pas des vrais problèmes que posent ECR », reste que ce sont eux qui mènent à bout de bras ce combat et réussisent à amasser des fonds et mobiliser des gens. Les chrétiens du Québec seraient-ils plus dynamiques et combatifs que les nationalistes de nos jours? Faut croire que les mourants ne sont pas ceux qu'on pense.