Selon un sondage mené par l’IFOP, la majorité des Italiens (64 %), des Français (63 %) et des Allemands (54 %) sont mécontents de l’enseignement primaire et secondaire dans leur pays. Parmi les citoyens de ces États seuls 31 %, 28 % et 41 % respectivement se disent satisfaits. 9 % des Français et 5 % des Italiens et des Allemands ont répondu « je ne sais pas ». L’étude a été menée par l’IFOP à la demande de l’agence d’information et radio Spoutnik.
En Italie, le nombre de citoyens mécontents de l’enseignement primaire et secondaire est important chez les 18-34 ans — 62 % de mécontents contre 33 % de personnes satisfaites — et les plus de 35 ans — 65 % contre 30 %. 5 % des représentants des deux groupes ont répondu « je ne sais pas ».
En France il y a une différence notable entre les deux groupes : 53 % contre 37 % respectivement dans le premier — et 10 % de personnes sans réponse — et 66 % contre 25 % dans le deuxième — plus 9 % de « je ne sais pas ».
En Allemagne, on constate une différence notable entre les réponses des hommes et des femmes. 57 % de ces dernières sont mécontentes de la qualité de l’éducation primaire et secondaire, contre 38 % de personnes contentes et 5 % hésitantes. Chez les hommes cette proportion est de 50 %, 45 % et 5 % respectivement. 50 % des personnes sondées ayant moins de 35 ans sont contentes de la qualité de l’enseignement contre 47 % de citoyens non satisfaits et 3 % de « je ne sais pas ». Le groupe plus âgé est plus mécontent : 56 % contre 38 % et 6 % de personnes qui ne se sont prononcées.
En Allemagne de l’Ouest, il s’agit respectivement de 51 %, 44 %, et 5 % contre 61 %, 33 % et 6 % en Allemagne de l’Est. Berlin enregistre le plus grand nombre de mécontents : 74 % contre 24 % de personnes satisfaites et 2 % de « je ne sais pas ».
Le sondage a été organisé par l’IFOP, l’institut français le plus ancien d’études de l’opinion publique, du 28 juin au 4 juillet 2016. L’échantillon était constitué de 3 006 personnes, dont 1000 Allemands, 1004 Français et 1002 Italiens âgés de plus de 18 ans. L’étude est représentative de la population du pays par sexe, âge et géographie. La marge d’erreur ne dépasse pas 3,1 % avec un intervalle de confiance de 95 %.
Source
En Italie, le nombre de citoyens mécontents de l’enseignement primaire et secondaire est important chez les 18-34 ans — 62 % de mécontents contre 33 % de personnes satisfaites — et les plus de 35 ans — 65 % contre 30 %. 5 % des représentants des deux groupes ont répondu « je ne sais pas ».
En France il y a une différence notable entre les deux groupes : 53 % contre 37 % respectivement dans le premier — et 10 % de personnes sans réponse — et 66 % contre 25 % dans le deuxième — plus 9 % de « je ne sais pas ».
En Allemagne, on constate une différence notable entre les réponses des hommes et des femmes. 57 % de ces dernières sont mécontentes de la qualité de l’éducation primaire et secondaire, contre 38 % de personnes contentes et 5 % hésitantes. Chez les hommes cette proportion est de 50 %, 45 % et 5 % respectivement. 50 % des personnes sondées ayant moins de 35 ans sont contentes de la qualité de l’enseignement contre 47 % de citoyens non satisfaits et 3 % de « je ne sais pas ». Le groupe plus âgé est plus mécontent : 56 % contre 38 % et 6 % de personnes qui ne se sont prononcées.
En Allemagne de l’Ouest, il s’agit respectivement de 51 %, 44 %, et 5 % contre 61 %, 33 % et 6 % en Allemagne de l’Est. Berlin enregistre le plus grand nombre de mécontents : 74 % contre 24 % de personnes satisfaites et 2 % de « je ne sais pas ».
Le sondage a été organisé par l’IFOP, l’institut français le plus ancien d’études de l’opinion publique, du 28 juin au 4 juillet 2016. L’échantillon était constitué de 3 006 personnes, dont 1000 Allemands, 1004 Français et 1002 Italiens âgés de plus de 18 ans. L’étude est représentative de la population du pays par sexe, âge et géographie. La marge d’erreur ne dépasse pas 3,1 % avec un intervalle de confiance de 95 %.
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