La ligne rouge montre ainsi que la proportion des « anglos » (souvent simplement des enfants d’allophones assimilés à l’anglais depuis plus longtemps que les « allos ») ne fait que chuter dans les programmes préuniversitaires dans les cégeps anglophones au Québec et qu’ils y représentent désormais moins de 40 %. Ces établissements qui anglicisent les étudiants sont massivement financés par un gouvernement, la CAQ, que certains pensent nationalistes québécois.
Source : Frédéric Lacroix
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