mardi 22 novembre 2011

Université contre la discrimination à l'encontre des handicapés mentaux...

Étrange règle de l'Université Victoria qui interdit toute discrimination à l'encontre des handicapés mentaux....




Est-ce que les universités ne discriminent pas en permanence contre les minus habens ? Est-ce qu'elles ne favorisent pas les plus intelligents sans cesse ? Hmmm. Tout compte fait, quand on considère l'inflation des notes dans les universités nord-américaines...


Source



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6 commentaires:

On s'interroge a dit…

... sur la pertinence de ce billet.

Les "mental disabilities" ou handicaps intellectuels sont multiples et ne présentent pas tous la même gravité. Ils n'empêchent pas tous les apprentissages, même d'un niveau élevé.

On peut postuler que l'université veut éviter que l'on écarte a priori une personne au seul motif qu'elle a un handicap intellectuel, sans avoir évaluer ses forces et ses faiblesses.

Marre des cuistres a dit…

On s'interroge

... sur le sens de l'humour de On-s-interroge...

"On peut postuler que l'université veut éviter que l'on écarte a priori une personne au seul motif qu'elle a un handicap intellectuel, sans avoir évaluer ses forces et ses faiblesses."

Ce n'est pas ce qui est écrit dans les règles qui sont bien écrites de manières idiote.


"Les "mental disabilities" ou handicaps intellectuels sont multiples et ne présentent pas tous la même gravité. Ils n'empêchent pas tous les apprentissages, même d'un niveau élevé."

Enfumage et noyade de poissons. Donnez au moins des exemples, je veux bien admettre les handicaps physiques mais mentaux !?

Donnez des exemples quand des handicaps mentaux (il n'y a pas écrit intellectuels) chez des étudiants ou des professeurs ne devraient pas faire l'objet de discrimination !

Rappelons à On-s'interroge qui parle jargon que discrimination signifie "choix", "sélection" et en rien rejet systématique.

Roger Girard a dit…

Je ne suis pas sûr que vous interprétez correctement le sens de cette politique universitaire. En effet, elle englobe toute la communauté universitaire, incluant les visiteurs. Il arrive souvent que des personnes affectées d’un handicap mental se retrouvent sur un campus universitaire, pour une activité quelconque ou même pour un travail cadrant avec leurs capacités. Dans votre billet, vous réagissez comme s’il ne s’agissait que des étudiants qui s’inscrivent et qui seront éventuellement diplômés. (Néanmoins, il faudrait vérifier si certains handicaps mentaux peuvent être surmontés et ainsi ne pas empêcher une personne d’entreprendre des études universitaires…)

Pour une école libre a dit…

Roger Girard,

Nous avons très bien compris que cette politique pourrait avoir un sens pour ce qui est de certains visiteurs ou même d'un certain personnel d'entretien par exemple, mais elle inclut tout le personnel et là cette politique (je soupçonne copiée-collée de la commission des droits de l'homme de C.-B.) est mal rédigée, mais assez typique.

Anonyme a dit…

L'Université de Victoire est connue comme étant l'antre du politiquement correct et du féminisme dévoyé.

Ce texte est simplement ce politiquement correct poussé à l'absurde, ils ne réfléchissent pas à ce qu'ils écrivent, ils se sentent d'abord supérieurs et puis viennent sermonner « on peut postuler » avec de grosses lunettes de Schtroumpf à lunettes.

Anonyme a dit…

Faudrait savoir ... vous parlez d'handicapé intellectuels ??? Je pause la question car on ne dit pas handicapé mental. On dit handicapé intellectuel ou malade mental et se sont deux choses différentes. Je le sais pour être moi même maman d'un enfant handicapé intellectuels. Cela n'a rien à voir avec la maladie mental. Attention tout de même !!!
Charline