L’Université de Hasselt (au Limbourg en Belgique) a instauré un cours de français général en première année de licence pour combler les lacunes, grandissantes selon une enseignante interrogée, des jeunes étudiants flamands. Ce cours précède celui de français des affaires qui est offert en deuxième de licence commerciale.
Ces lacunes s’expliquent par un enseignement insuffisant du français au secondaire (pénurie de professeurs de français, réduction du nombre d’heures de français, qualité variable des manuels, manque de pratique des élèves). Conscient de l’impact de cette faiblesse dans la maîtrise du français souvent requise sur le marché du travail en Belgique, le gouvernement flamand songe à améliorer le niveau de français des jeunes Flamands.
Voir aussi
L’étonnant « yes » des nationalistes flamandes à l’anglicisation des universités flamandes
Belgique — présence obligatoire d'écoliers dans les manifestations « pour le climat »
Ces lacunes s’expliquent par un enseignement insuffisant du français au secondaire (pénurie de professeurs de français, réduction du nombre d’heures de français, qualité variable des manuels, manque de pratique des élèves). Conscient de l’impact de cette faiblesse dans la maîtrise du français souvent requise sur le marché du travail en Belgique, le gouvernement flamand songe à améliorer le niveau de français des jeunes Flamands.
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