Un cours universitaire de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) a tourné au vinaigre il y a une semaine, un cours d’anatomie auquel assistaient plusieurs étudiants en visioconférence.
La chroniqueuse du 98.5 Sabrina Rivet raconte ce qui s'est passé alors que la professeure de biologie expliquait l’influence des chromosomes, les hormones, les cellules et les organes qui sont propres à un genre, donc soit à l'homme ou à la femme.
Elle disait que tous ces aspects pouvaient influencer l’identité d'une personne et son orientation sexuelle.
« Une étudiante a interrompu la classe pour donner son point de vue sur la matière; elle disait être mal à l’aise par rapport au contenu. La jeune fille avançait que l’identité de genre et que l’orientation sexuelle n'avaient pas d’origine biologique et que c’était des construits sociaux, que ça ne viendrait pas de l'intérieur de nous. », raconte Sabrina Rivet.
Elle ajoute : « Plusieurs étudiants ont décrit la scène comme étant une confrontation; l'étudiante tutoyait carrément la prof [...] Après 20 minutes de débats envenimés en classe, la prof a décrété une pause et ensuite le retour a été très difficile. Pour l’instant, on ne sait pas encore si l’étudiante en question a porté plainte dans cette affaire. »
Voir aussi
Biologie — L'expression de 6 500 différences génétiques distinguent l'homme de la femme
Méta-étude — Différences entre les sexes dans les préférences des enfants en matière de jouets
Plusieurs grandes études : l'égalité juridique des sexes renforce les différences sexuelles
Le paradoxe de l'égalité entre les sexes c. la théorie du genre
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire