mardi 11 août 2009

REAL Women s'oppose à l'ingérence du gouvernement québécois dans les écoles primaires

Récemment, alors que le gouvernement québécois décidait de « former » les enseignants et les enfants du primaire au sujet des familles dites homoparentales grâce à une trousse et une formation spéciale saluées par une association homosexuelle, le Journal de Québec n’avait interrogé qu’une militante homosexuelle (voir notre billet de samedi). Bel exemple d’information impartiale !

LifesiteNews est allé interroger des opposants à cette mesure gouvernementale. C’est ainsi que Diane Watts de REAL Women of Canada a critiqué le programme subventionné par les impôts des contribuables en particulier parce que celui-ci viole les droits naturels des parents : « Nous nous opposons à toute intrusion du gouvernement ou du système public d’enseignement dans la sphère parentale et l’éducation des enfants par les parents. Ce genre de mesures est imposé sans aucune consultation des parents et rentre en conflit avec les droits parentaux. »

« Si les parents s’opposent aux relations homosexuelles ou aux couples homoparentaux et qu’ils essaient d’enseigner des valeurs centrées sur la famille traditionnelle, a-t-elle poursuivi, ceci rentrera en conflit avec leur travail et ces parents n’auront aucune maîtrise sur ce qui sera enseigné à leurs enfants… Malheureusement, nos gouvernements provinciaux ne se soucient pas assez des droits et devoirs parentaux. »

Mme Watts considère la décision gouvernementale comme « une grande victoire pour le lobby homosexuel » et a souligné l’importance d’élever ses enfants dans un environnement familial traditionnel. « Les études sociologiques indiquent que le merlieeur cadre pour un enfant est la famille constituée d’une mère et d’un père. »

« Pour ce qui est de l’adoption, a-t-elle ajouté, quand les parents ne peuvent élever leur enfant, celui-ci devrait être adopté dans une famille formée d’un père et d’une mère. »

En 2004, REAL Women a publié un rapport qui énumère les études portant sur les problèmes observés chez les enfants adoptés par des couples de même sexe. Selon cette étude, les foyers homosexuels sont victimes d’un plus grand niveau de violences et affectés de plus de troubles sociaux et psychologiques, comme la maltraitance physique des enfants.