Tiré du Monde du 31 octobre 2007 : « Les écoliers français battent, de fait, des records de présence en classe avec leurs 936 heures annuelles, contre une moyenne OCDE de 769 heures pour les 7-8 ans et de 814 heures pour les 9-11 ans. Pour des résultats pas forcément meilleurs : selon une enquête internationale citée par le ministre, portant sur les compétences des élèves en lecture et en écriture, la France serait tombée « dans les 6 dernières places sur 40 », désormais placée derrière la Bulgarie. »
Se pourrait-il que l'introduction de méthodes de lecture sujettes à controverses, l'ajout de nombreuses matières accessoires comme l'anglais dès le primaire (hé, oui!) et la réduction du temps imparti à l'étude du français — alors qu'il s'agit d'une langue au code orthographique et au vocabulaire complexes de par son recours aux racines scientifiques pour les mots les plus simples (semaine/hebdomadaire, jour/diurne) — aient un rapport avec ce mauvais classement ?
Quel est également l'impact de l'immigration non francophone sur ces résultats désolants ? Xavier Darcos et Claude Allègre ont maintenu que son rôle n'était pas négligeable.
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