vendredi 2 novembre 2007

Vidéo sur la marche de la Coalition pour la Liberté en Éducation

Courte vidéo au sujet de la marche que la Coalition pour la Liberté en Éducation a organisée le 20 octobre 2007 à Québec pour s'opposer à la volonté du gouvernement québécois d'imposer son programme d'« Éthique et de culture religieuse » à tous les enfants du primaire ou du secondaire, qu'ils fréquentent une école publique ou une école prétendue privée au Québec, qu'elle soit confessionnelle ou non.

1 commentaire:

Tym_Machine a dit…

Au Québec, on a toujours le don de frapper sur les mauvais clous et également le don de prendre des vessies pour des lanternes sans oublier celui de noyer le poisson.

Encore une fois, la nouvelle génération athéiste des babys boomers ceux qui nous ont montré la vraie vie: le manque d’autorité, l’indiscipline, le non-usage d’un uniforme ou d’un code vestimentaire adéquat pour travailler, le non-respect des autres, le me-myself and I, le matérialisme à outrance, l’usage abusif de la marijuhana (un petit joint de pot avant d’aller travailler ou aller à l’école, y a rien là…), le manque de fiereté dans l’usage de notre langue française, le parlé joual mais surtout le rejet des valeurs religieuse et le rejet de notre patrimoine catholique.

On a préféré la social-démocratie à la religion, l’étatisme et la non-responsabilisation des individus. Ce qui était vu comme une vocation dans le passé (ex: l’éducation) devient un prétexte à l’escroquerie syndicale et à la prise en otage des citoyens. Ce qui était avant géré par l’Église dans un rapport étroit avec l’état a été pris en charge par ce dernier avec des résultats médiocres de nivellement par le bas et des records de politiques d’indiscipline et d’absentéisme au travail.

Aujourd’hui, on prône la laïcité ce qui n’est pas une mauvaise chose en soi. De toute façon l’Église étant ce qu’elle est considérée aujourd’hui, un pâle vestige d’une époque ancienne ne pourrait pas être d’une grande aide. La population vocationnelle catholique est doublement affecté par le vieillissement de sa population et ses communautés malgré toutes les exentions de taxes auquelles elles ont droit peinent à s’auto-suffire.

Il était à une certaine époque que le refus de payer sa dime pouvait entraîner l’excommuniation. Aujourd’hui, même certains catholiques pratiquants adoptent une attitude de méfiance face à ce don qu’on se fait à soi-même, certains non-pratiquants adoptent même une attitude très aggressive face à ces demandes de charité. Parmi ces derniers certains riraient à gorge déployée de se voir excommunié. On dirait même que l’Église vient qu’à avoir peur de son ombre, peur de quêter, peur d’exister même.

Certains parlent même d’éliminer toute référence religieuse dans tous les lieux publics. Ils osent même appeler cela la laïcité. Hors, la laïcité, ce n’est pas l’auto-destruction de la religion de la majorité qu’on croit ou non aux préceptes de l’Église catholique. C’est plutôt le contraire.

Supprimer toute référence religieuse dans notre quotidien sera bien entendu une tâche très ardue pour nous Québecois francophones puisque nos jurons sont constitués de références religieuses. Ce pourrait être vu comme une bonne chose puisqu’on assistera peut-être à un rafinement du langage populaire mais ce sera seulement le seul aspect positif de la chose. L’accomodement déraisonnable que l’on fait aux autres religions, c’est de sacrifier la nôtre en espérant de ne pas trop voir la leur.

Ce que l’on fait au niveau religieux, c’est comme si on avait dit au niveau de la partie affichage de la loi 101, on ne veut pas voir les autres langues et surtout pas l’anglais dominer au niveau des enseignes, affiches et pancartes, alors nous allons interdire TOUS les mots sur les pancartes, affiches et enseignes. Ridicule comme proposition? Alors pourquoi est-ce que ça ne le serait pas pour la religion???

Les tenants fanatiques de la langue française, nos Ayatollah linguistiques qu’on pourrait les appeler nous rappelle constamment l’aspect “culturel” de la langue et justifient l’existence de la loi 101 de cette façon. À l’argument que la langue, ce n’est qu’un outil de transmission de message et de connaissance, ils rétorquent que cela fait partie de notre identité culturelle collective. Je ne suis pas tout à fait d’accord mais assumons qu’ils ont raison.

Pourquoi en est-il autrement pour la religion? Nous sommes encore 80% de catholiques malgré que la majorité soit devenue non-pratiquante et que plusieurs sont dans les faits athées. La majorité n’aurait pas le droit de citer en ce domaine et elle aurait tous les droits dans la langue.

Pourquoi, pour certaines personnes, cette bataille de la langue passe par l’athéisme collectif et la suppression de la religion. Notre religion catholique n’aurait donc pas contribué à forger notre identité nationale collective?

La réponse est simple, nos nouveaux dieux qui sont des veaux d’or, by the way, sont le nationalisme, le syndicalisme et la suprémacie du français. Ces peureux de la révolution tranquille, ces syndicalistes en puissance avaient besoin de plusieurs cibles. Premièrement, c’était d’identifier comme bouc émissaire premier, les méchants anglais capitalistes du West Island. Maintenant que les anglais du West Island ont déserté pour des terres plus fertiles et qu’on ne peut plus les taxer puisqu’ils ont déserté le Québec, il faut trouver d’autres cibles. La nouvelle cible: Nous-même. Eh oui. Quoi de plus réjouissant que de s’auto-varger dessus à grands coups de poings. Quoi de plus jouissif que ce sado-masochisme à outrance.

Oui les syndicalistes totalitaires nationalistes athéistes étatistes qui ont le culte du collectivisme et de l’Ayatollah-isme de la suprémacie de la langue française en terres québecoises sont de grands sadiques, ça on le sait depuis des lunes, c’est un secret de polichinelle. En fait, ils ont besoin de ces éternels combats pour continuer à exister.

Ce qu’on savait moins c’est qu’ils étaient également de grands masochistes. En effet, vous êtes vous déjà demandé pourquoi sado et maso allait ensemble de pair dans 99,9% des cas?

Parce que ce que l’on fait à d’autres, inconsciemment ou consciemment, on accepte de se le faire à soi-même. Lorsqu’on “varge” sur quelqu’un d’autre, c’est sur soi que l’on frappe en premier.

Donc, si l’on s’aperçoit que dans notre sadisme, la réplique tarde à venir, on sera les premiers à s’auto-détruire, à détruire notre propre château.

L’un des plus grands sadiques de tous les temps Adolf Hitler était également un grand masochiste. Dans sa colère de voir l’Allemagne s’écrouler, il désirait aider l’ennemi en détruisant soi-même les villes et villages allemands. On connaît la fin de l’histoire, il a fini avec une balle dans la tête.

Loin de moi l’idée de comparer nos syndicaleux de pécadille avec les régimes totalitaires terroristes de l’Allemagne nazie, du communisme Stalinien ou de l’Islamo-fascisme, cependant nos mentalités devront changer et prendre conscience de tout le tort que l’on s’auto-inflige et que si la façon de faire pour sonner le réveil est la caricature, alors je dis, ainsi soit-il.