samedi 27 août 2016

Littérature — Perceval ou le Conte du Graal





Film d’Éric Rohmer réalisé en 1964 pour la série En profil dans le texte de collection la « Lettres » de l’Institut Pédagogique National. Découverte et lecture de larges passages du « Roman de Perceval » illustré par les miniatures conservées par la Bibliothèque Nationale de France.

Québec — Garçons décrochent plus et pourtant la priorité devrait être les filles ?

Dans une analyse publiée jeudi en collaboration avec l’organisme féministe Relais-femmes, la FAE revient sur une étude qu’elle avait réalisée en 2012 et qui détaillait les causes et les conséquences du décrochage scolaire des filles. Depuis, le monopole de l’Éducation du Québec a reconnu l’importance de la scolarisation des jeunes filles, mais n’aurait pas adapté son plan d’action, souligne la vice-présidente au secrétariat de la FAE et responsable du dossier de la condition des femmes, Joanne Bertrand.



« Rien ne se fait de manière spécifique pour le décrochage scolaire des filles. Il y a quelques éléments pour le décrochage des garçons, mais nous, ce qu’on pense, c’est que la clé de voûte concerne celui des filles parce que ça va favoriser la réussite scolaire de tous leurs enfants, peu importe leur sexe », dit-elle.


Au Québec, le décrochage scolaire est toujours plus important chez les garçons que chez les filles. Mais les répercussions du décrochage d’une élève sont plus grandes, fait valoir la FAE dans son rapport.


Selon les organismes féministes, le décrochage scolaire des garçons et des filles est grandement lié à la pauvreté et à la sous-scolarisation des mères. Une élève qui renonce aux études se retrouve par ailleurs dans une situation financière généralement plus précaire qu’un décrocheur. Cette élève devenue mère est donc plus susceptible d’avoir des enfants qui seront à leur tour moins scolarisés.

Ce que ne dit pas Le Devoir c'est que c'est surtout dû aux mères célibataires et à la charge des enfants. On pourrait lutter contre la monoparentalité et ses conséquences néfastes, mais cela voudrait dire qu'il faudrait valoriser le mariage, ce qui est inaudible au Devoir et à la FAE. Il est préférable d'avoir plus d'État, plus de subventions et plus de mesures qui visent en priorité les filles pour aider les garçons bien sûr...


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