jeudi 6 mai 2010

La science climatique à l'école québécoise...


Page 64 du manuel d'éthique (!) et culture religieuse Près de moi, manuel A, pour la 1re année du primaire, publié par les éditions CEC

Reynald du Berger, un des professeurs fondateurs de l'Université du Québec à Chicoutimi où il a enseigné la géophysique pendant plus de 30 ans, revient sur sa visite à une école où il a donné six conférences sur la climatologie.

M. du Berger regrette le fait que la climatologie, et plus particulièrement le réchauffement climatique, y soit traitée comme un acte de foi plutôt que présenter tous les faits, y compris les faits dérangeants et les faiblesses de certains raisonnements et modèles.

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Audio également disponible ici.

Voir aussi :

Gare à l'hystérie climatique par Richard S. Lindzen du MIT, « Depuis 14 ans, il n’y a pas eu de réchauffement global net statistiquement significatif ».

Régis Debray sur le succès de l'écologisme et l'enracinement.

Phil Jones à la BBC : pas de réchauffement depuis 1995.

Complément ECR et les questions éthiques liées au climat : L'intox autour des glaciers himalayens.

Les « changements climatiques » vus par des jeunes passés par l'école québécoise.

Supplément ECR pour contrer l'unanimisme du prêt-à-penser écologiste des manuels

Rififi chez les réchauffistes (suite)

1 commentaire:

Françoise D a dit…

Commentaire sur un autre site qui pointe vers cette page :

Aaargh! Je viens de voir la page 64 du manuel destiné aux enfants de 1ère année.

On réfère au biologiste Jean Lemire comme personne scientifique ayant étudié les effets du réchauffement dans l’antarctique.

Ah bon?!? À part son film montrant de belles images de cette inaccessible endroit (ainsi que de sa propre personne), y avait-il des résultats scientifiques publiés dans des revues spécialisées qui ont découlé de son beau voyage?

Jean Lemire…un autre fumiste hypermédiatisé qui se pait des trips au frais des contribuables. D’ailleurs sur la page de Radio-Canada relatant sa “mission”, M. Lemire dit ceci: “Mission Antarctique regroupe les conditions parfaites pour exprimer mes trois grandes passions : le cinéma, l’écriture et la photographie.”

Bien sûr, il nous dit qu’il aime la nature mais, curieusement, aucune science n’est exprimé dans ces passions.

Et dans le manuel de ECR, il est décrit comme un scientifique.

Allô??

On ne sait même pas ce que c’est que de la véritable recherche chez les fonctionnaires québécois qui nous ont concocté cette réforme.

Ça va mal…Très mal.