Zéro pointé pour la France qui est passée de 15,2 % d'élèves en difficulté en 2000 à 21,7% en 2006 ! C'est le principal constat du rapport annuel sur les systèmes d'enseignement de l'Union européenne, que la Commission européenne vient de présenter.
Les experts de l'Éducation nationale estiment que la France est tirée vers le bas par l'augmentation du nombre des enfants en difficulté qui serait du à leur grande hétérogénéité !
Qu'en termes politiquement corrects cela est dit. De quelle hétérogénéité et diversité s'agit-il donc ? Pourquoi les choses ont-elles empiré ?
Parmi les pays bons élèves, la Finlande est en tête, très loin devant tout le monde, avec seulement 4,8 % de mauvais élèves, suivie de l'Irlande (12,1 %) et de l'Estonie (13,6 %).
Rappelons que, selon la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mme Valérie Pécresse, la France se classerait mal dans les classements comme ceux du PISA à cause d'un très fort taux d'immigration, contrairement à la Finlande qui est un pays très « fermé ».
Voir également
- Les succès scolaires de la Finlande s'expliquent-ils d'abord par « l'absence d'immigration » (Xavier Darcos) ?
- Compétence en lecture et en écriture, la France derrière la Bulgarie.
- Finlande — Immigration à 2 % dont beaucoup de Caréliens et de Russes.
- Tabou : impact de l'immigration sur les résultats et coûts scolaires (Claude Allègre).
- Le Figaro
- Le seul communiqué de presse « en français » de l'Union européenne sur le sujet (il contient en réalité plus d'anglais que de français et cela de la part d'une Union qui se targue de promouvoir le multilinguisme).
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